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"Théorie du genre" à l'école

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Il n’y a pas de théorie du genre à l’école... mais c’est bien pire. Ça fait six pages bien tassées.

Il n’y a pas de théorie du genre à l’école... mais c’est bien pire

Des fiches pour les profs. Des fiches pour les élèves. Schémas. Argumentaires. Questions. C’est ainsi que grâce à cette redoutable maîtresse dominatrice on a pu apprendre deux ou trois choses sur la méthode préconisée pour enseigner aux petits l’égalité des sexes. Il est également suggéré de « déconstruire la figure du Petit Chaperon rouge ». À les suivre, il n’y a aucune raison pour que nos vaillants pédagogues s’arrêtent à mi-chemin. Pour les élèves un peu plus mûrs, fin des années collège, début des années lycée, il faudra pousser la « déconstruction » beaucoup plus loin. Pour rester dans le domaine de nos ancêtres (les singes, pas les Gaulois), une très célèbre histoire, qui se raconte entre deux joints, sera opportunément modifiée. Un programme spécifique devra également être élaboré pour les populations scolaires « issues de la diversité ».

À droite, certains malveillants s’insurgent contre cet « ABCD ». Théorie du genre à l'école : le pape réveille la polémique. De retour de son voyage dans le Caucase, le pape François relate aux journalistes une anecdote dans l'avion : "Un père de famille française demande à son fils ce qu'il veut faire plus tard.

Théorie du genre à l'école : le pape réveille la polémique

L'enfant, âgé de 10 ans, répond qu'il veut être une fille. Le père s'est alors souvenu que dans les manuels scolaires du collège, on enseigne la théorie du genre", qui prône que devenir homme ou femme est un choix personnel. "C'est de la colonisation idéologique", a dénoncé le pape François. Au collège, "il n'y a rien sur la sexualité en sixième. Si on parcourt tous les livres, il n'y a rien avant la quatrième où l'on parle seulement de la différence fille et garçon d'un point de vue biologique, rien au niveau sociologique", assure Élodie Murcier, directrice de magasin Gibert Jeune.

Le JT. Théorie du genre à l’école : entre joie et scandale. La polémique ne faiblit pas.

Théorie du genre à l’école : entre joie et scandale

Chaque jour, des parents affolés découvrent les livres qu’on fait lire à leurs petits dès le primaire. Des livres orientés, au service d’une idéologie qui met particulièrement à mal la neutralité de l’école publique. Cette fameuse « théorie du genre » qui ne serait qu’une rumeur n’aura pu se cacher bien longtemps. On en sait plus maintenant sur l’objectif de ses promoteurs : déconstruire non pas les clichés, mais bien plus les identités elles-mêmes. En refusant qu’on soit d’abord déterminé par son identité sexuelle – homme ou femme – on refuse la spécificité de chaque identité, et donc leur complémentarité.

Assez ! Il y a une un vrai scandale à découvrir que cette idéologie destructrice s’infiltre auprès des enfants, donc des plus fragiles. « Malheur à celui qui scandalisera un de ces petits » avertissait Jésus (Mt 18,6). La vocation des parents La rumeur était vraie Ne soyons pas ébranlés par la réaction de nos dirigeants. Une vraie raison d’espérer. Fillon : la "tentation" de la théorie du genre à l'école "est forte" La théorie du genre continue de faire des vagues.

Fillon : la "tentation" de la théorie du genre à l'école "est forte"

Questionné sur son enseignement à l'école, François Fillon, invité de la matinale spéciale d'Europe 1, a reconnu qu'elle n'était pas dans les programmes, mais affirmé que "la tentation est forte" de l'enseigner. Il a aussi assuré que la gauche au pouvoir avait reculé en la matière, grâce à l'hostilité de l'opinion publique. "Les textes sont sur la table". "Je préférerais contrer la théorie du genre plutôt que de m'attaquer à tels ou tels lobbyistes, qui sont peut-être excessifs dans leur expression, mais qui n'ont pas inventé le débat qui a été mis sur la table", a d'abord répondu le candidat à la primaire de la droite à la centre à un auditeur qui l'interrogeait sur le sujet.