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Sciences : une étude scientifique révèle le secret des "mamies gâteaux" On appelle ça les "mamies gâteau", les grands-mères aux petits soins, câlines, attentives, d’une patience à toute épreuve.

Sciences : une étude scientifique révèle le secret des "mamies gâteaux"

Elles ont ce lien particulier avec leurs petits-enfants. Eh bien ! Cette connexion a une origine neurologique. Le cerveau des grands-mères est conçu pour s’attacher aux petits enfants et pour les protéger. C’est une équipe de chercheurs américains de l'université d'Emory, en Géorgie, qui l’a démontré en scrutant les IRM de leurs crânes pendant qu’elles regardaient des images de leurs petits enfants âgés de 3 à 12 ans. Vers une définition de l'émotion. Un anniversaire n'est pas seulement signe que le temps passe… C'est aussi, bien souvent, un événement chargé en émotions : fêter les dix ans de Cerveau & Psycho peut susciter joie, intérêt, fierté ou encore nostalgie.

Vers une définition de l'émotion

Pendant que Cerveau & Psycho se développait, les connaissances sur l'émotion ont connu un essor remarquable. De fait, les « sciences affectives » et avec elles la recherche scientifique sur les émotions se sont considérablement développées durant cette décennie. Les dernières découvertes ont renforcé certaines approches théoriques existantes et en ont produit de nouvelles.

Le cerveau émotionnel. Au contraire de la cognition, objet d’investigations multiples, l’émotion fut singulièrement négligée par la neurobiologie.

Le cerveau émotionnel

Depuis peu, encouragés par la découverte des fondements neuronaux de certaines fonctions cognitives, les neurobiologistes ont abordé de façon plus audacieuse le domaine des émotions. Pourquoi un intérêt si tardif ? Un héritage culturel malheureux a longtemps scindé la cognition et l’émotion, le cerveau et l’esprit. Les émotions, confinées au domaine de la psychologie et des maladies mentales, ont été clivées des sciences neurologiques. Le cerveau et les émotions. La base des émotions humaines : le cerveau reptilien. - libertero. ‎“Les méchants ont sans doute compris quelque chose que les bons ignorent.” - Woody Allen Source : anonyme - Mise en forme pour libertero@gmail.com (Reprise de l'article possible, il est conseillé d'inclure cette mention d'entête lisiblement pour en suivre les mises à jour) A l’aube d’un 3eme Millénaire, progrès techniques et culturels pourraient étendre le bonheur à la terre entière, pourtant l’humanité complètement déboussolée s’enferre de plus en plus dans une multitude de combats meurtriers.

La base des émotions humaines : le cerveau reptilien. - libertero

Les hommes, paniqués, apeurés font preuve de comportements égoïstes, pusillanimes ou belliqueux, d’un temps que l’on croyait à jamais révolu ! Qu’il est donc consternant de constater qu’à notre époque, ce sont encore : la force, la peur ou l’agressivité qui dirigent le Monde. Ce constat confirme la théorie d’A. L’homme est resté un animal sauvage ! Dossier : les émotions au cœur du cerveau. Les émotions ont longtemps été les laissées-pour-compte du domaine des neurosciences cognitives.

Dossier : les émotions au cœur du cerveau

Elles étaient considérées comme trop périlleuses à étudier du fait de leur caractère éminemment subjectif, ne se prêtant pas à une approche expérimentale en laboratoire, par opposition au noble domaine de recherche que constituait l'étude de la « raison ». L'amygdale et ses alliés. Le cerveau et les émotions… comment ça marche ? - Harmonie-Spirituelle.

Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 16:49 Bonjour, Comment allez-vous ?

Le cerveau et les émotions… comment ça marche ? - Harmonie-Spirituelle

C'est mardi 01 mars et il fait soleil et plutôt froid ^^ Comment le Cerveau Ressent. Une version de cet article est déjà parue dans Rapport, le journal de UK ANLPÉdition 58, Hiver 2002 et Suppose... vol.7 No.1 Mars 2004.

Comment le Cerveau Ressent

(Link to English original) Comment le Cerveau Ressent La construction de l’émotion et de la cognition3e partie Philip Harland Traduction de Danielle LeCavalier Les émotions ne surgissent tout simplement pas par hasard Si je vous demandais de prendre quelques instants pour penser, disons, à votre amoureux… votre hypothèque… une armée d’abeilles féroces … aux Blue Jays de Toronto… il y a fort à parier que vous passeriez par une série de changements physiologiques, imperceptibles mais mesurables néanmoins, que ce soit le changement dans la respiration, le battement de coeur et la réponse galvanique de votre peau, le tout relié à une kyrielle d’émotions, passant de la joie à l’indifférence et tout ça en l’espace de peu de temps.

La réponse se trouve dans la manière dont notre cerveau construit l’expérience, et c’est le sujet sur lequel repose cet article. Emotions : le cœur et le cerveau sont inséparables ! Emotions : le cœur et le cerveau sont inséparables !

Emotions : le cœur et le cerveau sont inséparables !

À l'occasion des rencontres britanniques des neurosciences, des chercheurs anglais ont montré pour la première fois que le cycle cardiaque affectait la façon dont notre cerveau traite les stimuli relatifs à la peur. Le docteur Sarah Garfinkel qui travaille à l'école médicale du Sussex (Brighton), précise que "Ces recherches montrent que de nombreux organes du corps interagissent avec le fonctionnement du cerveau pour façonner et influencer nos perceptions, nos émotions et nos pensées. Pour la première fois, nous avons pu démontrer que la façon dont nous traitons la peur dépend en partie de notre activité cardiaque". Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont équipé 20 volontaires de moniteurs cardiaques puis ont été exposés à des images effrayantes. Pendant ces expériences, un programme informatique analysait en temps réel les corrélations entre l'évolution des électrocardiographies et la visualisation de ces images.

Émotions (bases neurophysiologiques) Le cerveau des affects et des émotions. Aux origines des émotions : les neurosciences affectives. En 1998, Jaak Panksepp publiait un ouvrage de référence dont le titre, “Affective Neuroscience” (les neurosciences affectives, en français), allait devenir l’expression consacrée pour ce « jeune » champ de recherche qui étudie les mécanismes neuronaux derrières nos émotions.

Aux origines des émotions : les neurosciences affectives

Jeune, parce qu’on a longtemps considéré les émotions comme quelque chose se situant en dehors du champ d’investigation scientifique. Mais ce n’est plus le cas, et « The Archaeology of Mind: Neuroevolutionary Origins of Human Emotions”, que Panksepp vient de publier confirme dans un langage accessible à un public plus vaste la pertinence et l’intérêt grandissant des neurosciences affectives défrichées il y a près de 15 ans dans son livre éponyme. Et un moyen encore plus rapide de prendre contact avec les thèses de Panksepp, c’est d’écouter le récent entretien qu’il a accordé à Ginger Campbell pour le 91e épisode du toujours très attendu Brain Science Podcast.

Le cerveau masculin et les émotions - sexologie. L'amour est un «trouble» neurologique. Plus qu’une simple émotion (comme la joie, la tristesse ou le mépris) l’amour est une «fonction supérieure», avance le Dr Francesco Bianchi-Demicheli, psychiatre sexologue des Hôpitaux Universitaires de Genève.

L'amour est un «trouble» neurologique

En collaboration avec Stéphanie Ortigue, chercheuse à l'université de Syracuse, à New York, il est parvenu à mettre en lumière la sublime fonction de l’amour grâce à ce qu’ils appellent la «neuro-imagerie de l’amour», soit l’analyse des réactions du cerveau face au sentiment amoureux. Le fait d’aimer irait selon eux bien au-delà des simples aires émotionnelles du cerveau. Lorsque l’amour apparaît, c’est en effet pratiquement tout l’ensemble cérébral qui s’agite. «Bien entendu, les aires émotionnelles se réveillent, mais la neuro-imagerie a pu démontrer que les régions les plus évoluées du cerveau, là où s’élaborent les processus cérébraux les plus complexes, s’éveillent également, explique le médecin spécialiste.

L’amour n’est donc pas qu’une émotion, c’est bien plus que cela.» Notre cerveau reptilien nous pousse à faire le mal.