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Theatre d impro

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Un jeu certes physique, mais complètement caricatural sans histoire solide, une intervention programmée sortie de nul part qui tue la fin de l’impro… Bref, pas génial… Ce qui m’a rappelé cette vidéo de Jimmy Carr : Tout ça pour en venir à une discussion sur les contraintes… Car dans ce cas là, c’est trop ! Eh bien justement, c’est l’objet de cet article ! Le problème avec Keith Johnstone, ou la nécessité d’avoir un “système” Lien vers le GROUPE DE TRAVAIL KEITH JOHNSTONE Le problème avec Keith Johnstone, c’est que son approche est un “système”. Pour en prendre pleinement la mesure, il faut que l’ensemble du système soit intégré. Je peux enseigner les tilts, mais pour que cela soit utile, il faut que j’enseigne la plateforme. Ce qui nécessite que j’explique la routine. Pour ça, il faut que j’explique avancer / ne pas avancer. D’une manière générale, il faut aussi qu’on travaille making things happen, being there et be boring. Et bien entendu le cercle des attentes. Sans parler du fait que Keith a travaillé toute sa vie avec des acteurs professionnels, donc son approche suppose de s’adresser à des improvisateurs capables de jouer des personnages et de ne pas décrocher, même si Keith a développé ses propres exercices de développement de jeu d’acteur et de présence sur scène.

Et je n’aborde ici qu’une partie du système. C’est pour ça à mon sens que Keith est si mal compris. Et idéalement, on a besoin de Keith. Impro gag ou récit ? [eng] In improvisation, we can make the distinction between two kinds of improv: narrative improv and gag improv. Both can be really good and really funny, but not for the same reason.

Their mecanisms differ radically, so we have to make a choice! [fra] Selon Dan Diggles (Improv for actors), il y a deux sortes d’improvisation: l’improvisation–récit (narrative improv), et l’improvisation-gag (gag improv). L’une et l’autre peuvent produire de très bonnes improvisations, seulement elles se fondent sur des mécanismes radicalement différents, ce qui fait qu’il est difficile de les faire fonctionner de pair. - L’impro-gag s’appuie sur une relation exclusive entre le comédien et le public, sur la capacité de celui-ci à avoir du succès ou faire des bides. C’est dans ce genre d’improvisation qu’on assiste à un concours de virtuosité des comédiens. . - L’impro-récit, dont l’objectif est de raconter une histoire, a un mécanisme tout autre.

Et ce pour plusieurs raisons: Alors que choisir ? Like this: Soirée enquête. Impro Vidéo - l'improvisation théâtrale en vidéo.

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Troupes. Suisse voisine. Haute savoie. .bodycard 1257.