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A propos de Jiva : Hindouisme, le soi individualisé

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Jiva : le soi individualisé. The word itself originates from the Sanskrit Jivás, with the root jīv- 'to breathe'.

Jiva : le soi individualisé

It has the same Indo-European root as the Latin word Vivus: "alive". Definition[edit] In the Bhagavad Gita, the jiva is described as immutable, eternal, numberless and indestructible.[5][6][7][8] It is said not to be a product of the material world (Prakrti), but of a higher 'spiritual' nature.[9] At the point of physical death the jiva takes a new physical body depending on the karma and the individual desires and necessities of the particular jiva in question. Citta : le dépôt des impressions (saṃskāra et vāsanā)* Kosha: enveloppes qui composent le Jīva. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Kosha: enveloppes qui composent le Jīva

Vasana : les désirs, les tendances latentes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vasana : les désirs, les tendances latentes

Vāsanā (devanāgarī: वासना) est un terme sanskrit qui, dans la philosophie indienne, signifie « imprégnation » ou « impression d'une sensation antérieure »[1]. Les vāsanā correspondent approximativement à ce que nous nommons les désirs, les tendances latentes ou encore les inclinations[2]. Aperçu historique[modifier | modifier le code] Dans la philosophie indienne, le terme vāsanā apparaît après celui de saṃskāra car on ne le rencontre pas dans les premières Upaniṣad. Les Yoga Sūtra, l'Abhidhānappadipikā de Mogallana et la Muktikā Upaniṣad qui est antérieure au XVIIe siècle le mentionnent[3]. Saṃskāra : formations karmiques, ou activités volitionnelles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saṃskāra : formations karmiques, ou activités volitionnelles

Le Saṃskāra (ou sanskara)[1] (sanskrit, devanāgarī: संस्कार; pāli : samkhāra ; chinois : xing ; japonais : gyō ) est un terme qui désigne dans l'hindouisme les impressions suite à une action, les tendances résiduelles subconscientes; cependant samskara a un deuxième sens, il se traduit par: cérémonie rituelle c'est-à-dire les actes religieux dans la vie du fidèle hindou[2]. Dans le bouddhisme et plus particulièrement la philosophie bouddhique, il désigne plusieurs concepts. Vijñāna : intellect ou connaissance discriminante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vijñāna : intellect ou connaissance discriminante

Vijñāna (Sanskrit devanāgarī: विज्ञान; Pāli : vinnana) est un concept de la philosophie indienne qui signifie intellect ou connaissance discriminante[1]. Dans la Taittirīya Upaniṣad Vijñāna correspond à Vijñānamayakośa qui est la troisième enveloppe du sūkṣmaśarīra[2]. Prajna : capacité cognitive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prajñā en sanskrit (Devanāgarī : प्रज्ञा ; pa : paññā; ti : shes rab ; ch : 般若, bōrĕ/bānruò), souvent traduit par « sagesse transcendante », ou même « gnose », est une notion fondamentale du bouddhisme. Le terme signifie à l’origine « capacité cognitive » ou « savoir-faire ». Il désigne dans le bouddhisme la capacité de percevoir le phénomène de coproduction conditionnée, ainsi que l’absence de soi propre (anatta) et le vide (sunyata) de toute chose. C’est une perception aiguë qui permet d’atteindre la « sagesse transcendantale » (jñāna), qui comme son nom l’indique transcende l'esprit propre (moi individuel, personnalité) dans ce qu'il a de fragmenté et d'étriqué pour permettre une compréhension nouménale du phénoménal.

Viññāṇa-kicca : fonction de la conscience. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Viññāṇa-kicca : fonction de la conscience

Viññāṇa-kicca (pāli), désigne une fonction de la conscience. Ces fonctions sont présentées de manière analytique dans le Paṭṭhāna, ouvrage bouddhique faisant partie du canon pāli. Quatorze fonctions[modifier | modifier le code] Après avoir énuméré les Vijñāna, après donc avoir analysé toutes les formes de consciences existantes, le Paṭṭhāna détaille les quatorze fonctions (pāli "viññāṇa-kicca") qui s'exercent à l'intérieur d'un processus de conscience.

Cette description s'attache à énumérer des fonctions pour analyser à quels états de conscience correspondent ces fonctions : on peut y voir la volonté de renseigner précisément l'enseignement de la coproduction conditionnée, ce qui n'a donc de sens que dans certaines interprétations de ce processus, dont l'interprétation theravadin fait partie. Réunion[modifier | modifier le code] Voir aussi Punarbhava "Au décès succède un nouveau lien de renaissance" (Visuddhimagga). Kama : le moteur qui pousse les hommes à la perpétuation de leur espèce. Kāma (Sanskrit, Pali; Devanagari: काम) means desire, wish, longing in Indian literature.[3] Kāma often connotes sexual desire and longing in contemporary literature, but the concept more broadly refers to any desire, wish, passion, longing, pleasure of the senses, the aesthetic enjoyment of life, affection, or love, with or without sexual connotations.[4][5]

Kama : le moteur qui pousse les hommes à la perpétuation de leur espèce

Sūkshma sharīra ; niveau subtil, physiologique, psychologique et intellectuel de l'individu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sūkshma sharīra ; niveau subtil, physiologique, psychologique et intellectuel de l'individu

Sūkṣmaśarīra et Sāṃkhya[modifier | modifier le code] Dans la Sāṃkhya Kārikā composée par Īśvarakṛṣṇa, sūkṣmaśarīra ou liṅga śarīra est composé [N 4] des tattva suivants[2]: cinq tanmātra, Buddhi : la réflexion et la discrimination. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Buddhi : la réflexion et la discrimination

Buddhi (devanāgarī : बुद्धि)[1] est un terme sanskrit qui signifie dans la philosophie indienne la capacité d'intelligence liée à la réflexion et la discrimination. C'est le premier constituant de l'organe interne appelé antaḥkaraṇa[2] dans le Sāṃkhya ou le Vedānta et plus particulièrement dans l'Advaita Vedānta. C'est aussi une composante importante dans le bouddhisme qu'il ne faut pas confondre avec prajñā ou bodhi. Ahamkara : l'ego. Ahaṃkāra (अहंकार) is a Sanskrit term that is related to the ego and egoism - that is, the identification or attachment of one's ego.

Ahamkara : l'ego

The term "ahamkara" comes from an approximately 3,000 year-old Vedic philosophy, where Ahaṃ refers to the concept of the Self or "I" and kāra refers to the concept of "any created thing" or "to do". The term originated in Vedic philosophy over 3,000 years ago, and was later incorporated into Hindu philosophy, particularly Saṃkhyā philosophy.[1] Philosophical implications[edit] To have an understanding of this term is to have a powerful tool for understanding the nature and behaviour of ourselves and of others. Vedic philosophy teaches that when one's mind is in a state of ahamkara, one is in a state of subjective illusion, where the mind has bound the concept of one's self with an external thing. Manas ; le mental.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Manas (devanāgarī : मनस् ) est un terme sanskrit qui peut comporter de multiples acceptions.

Vritti : toute modification dans le mental et la conscience

Chakras et Kundalini : « centres spirituels » et energie.