background preloader

Point de vue des philosophes 2 - Temps

Facebook Twitter

Bergson le temps. Nobel 1927 - Henri Bergson 1859-1941. La notion de temps chez Gaston Bachelard - Revue Polaire. Si l’aspect purement épistémologique de l’œuvre de Gaston Bachelard a fait l’objet de quelques études d’une grande qualité, on peut cependant déplorer l’absence de travaux relatifs à la philosophie bachelardienne du temps.

La notion de temps chez Gaston Bachelard - Revue Polaire

Le présent article s’attache à combler cette lacune. La notion de temps chez Gaston Bachelard La critique de la durée métaphysique Le titre du premier ouvrage de Bachelard consacré à la notion de temps ― l’Intuition de l’instant [1]― rend compte d’une polémique affichée contre les thèses bergsoniennes telles qu’elles sont exposées dans L’Essai sur les données immédiates de la conscience ainsi que dans Durée et simultanéité. Bergson estimait en effet que l’homme pouvait faire « l’intuition de la durée », c’est à dire l’expérience métaphysique d’un temps subjectif, radicalement indivisible et impossible à mesurer, distinct par sa nature du temps homogène et spatialisé des montres et des horloges.

La physique radicale du temps L’intuition de l’instant Notes : Gaston Bachelard 1884-1962. Temps humain et temps social dans la pensée de Gabriel Marcel - Temps humain dans la pensée de Gabriel Marcel-fr-1.pdf. Gabriel Marcel 1889-1973. Le temps irréel (Sartre) 1Dans ce qui suit, j’aimerais avancer quelques remarques au sujet de la modi­fication que subit le temps en passant du réel à l’imaginaire1.

Le temps irréel (Sartre)

Je voudrais situer ces analyses dans le cadre d’observations que certains psychologues et philosophes « empiristes » (comme les associationistes du xixe siècle) avaient faites au sujet du rêve dans son rapport à la sensation, voire l’im­pression supposée en être la cause plus ou moins occasionnelle. Dans ces observations revient continuellement l’idée d’une tension un peu énigma­tique entre, d’une part, le caractère éphémère de l’impression (« un instant ») et l’étendue temporelle du contenu rêvé, d’autre part. Ainsi, pour prendre un exemple classique, Alfred Maury raconte comment un jour, il s’éveille « en proie à la plus vive angoisse », au moment où il sent le couteau de la guillotine lui trancher le cou. 2Comment une sensation vraie et si brève (juste un instant, le temps d’une impression) peut-elle contenir toute cette durée fictive ?

Nobel 1964 - Jean-Paul Sartre 1905-1980. Réflexions sur le temps chez Husserl et Levinas. Vécu est donné comme déjà constitué en tant que vécu. » Le temps immanent, c'est le domaine du vécu, et l'objet phénoménologique, comme unitéde vécu, doit nécessairement être constitué au sein du temps immanent.

Réflexions sur le temps chez Husserl et Levinas

La conscience dutemps serait ainsi le point zéro de toute constitution établissant la phénoménalité du phénomène, c'est-à-dire le fait que celui-ci apparaisse, se passe et soit vécu comme unité desens . Ainsi, l'analyse de la conscience du temps se rapporte à la généralité du projethusserlien comme l'aplanissement et la délimitation du terrain à la construction de l'édificematériel. Mais encore faut-il s'assurer de l'intégrité de ce terrain sur lequel on s'apprête àconstruire : l'unité de ce qui apparaît dans le temps immanent dépendra de l'unité du tempsimmanent lui-même. . . , on saisit, dans la rétention, le passé dans sa présence « en chair eten os ». Renaud Barbaras, Introduction à la philosophie de Husserl , Les Éditions de la Transparence, Chatou,2004, p. 146. sq. , p. 17 , dans. Emmanuel Levinas 1906-1995. Edmund Husserl 1859-1938. Notes sur la temporalité chez Merleau-Ponty. Maurice Merleau-Ponty 1908-1961 (Phéno...de la perception)

L'expression du temps dans l'Étranger d'Albert Camus. Nobel 1957 - Albert Camus 1913-1960. [Derrida, le temps] Jacques Derrida 1930-2004.