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La start-up Tok Tok Doc veut expérimenter la télémédecine à grande échelle. Si la télémédecine permet de réaliser une consultation à distance pour le grand public, elle ne peut répondre aux besoins singuliers des personnes isolées ou dépendantes qu’en intégrant un accompagnement, affirme Laurent Schmoll, chirurgien ORL, directeur médical et cofondateur de Tok TokDoc.

La start-up Tok Tok Doc veut expérimenter la télémédecine à grande échelle

"Nous réalisons une télémédecine à forte valeur ajoutée puisque le patient est accompagné par une infirmière, équipée d’un instrument connecté ou pas, pour évaluer et transmettre les résultats au médecin. " Le système est déjà présent dans 300 établissements, majoritairement des EHPADs, répartis sur six régions et est utilisé par 25 000 patients, la crise sanitaire ayant accéléré son développement. A côté du service standard TokTokDoc, l’entreprise a développé l’application TokTokDocLite, qui comme le service initial, permet de réaliser des téléconsultations et des téléexpertises.

De son côté, le médecin dispose en plus d’un module d’aide à la facturation. Amazon étend son service de téléconsultation médicale à toutes les entreprises américaines. Amazon est fin prêt à étendre encore davantage son empire.

Amazon étend son service de téléconsultation médicale à toutes les entreprises américaines

Après une phase de test d’un an et demi auprès de ses employés à Seattle, le géant du eCommerce déploie Amazon Care, son service de téléconsultation médiale, au reste de ses salariés sur le sol américain, ainsi qu’à ceux d’autres entreprises. Amazon Care, le Doctolib américain ? Arrêté du 1er mars 2021 relatif à l'autorisation du protocole de coopération « Réalisation d'un bilan visuel par un orthoptiste dans le cadre du renouvellement/adaptation des corrections optiques chez les enfants de 6 à 15 ans et analysé via télémédecine. Le financement dérogatoire du protocole de coopération mentionné à l'article 1er du présent arrêté est prolongé dans les conditions précisées dans l'avis n° 2017-01 du collège des financeurs susvisé.Les structures d'emploi ou d'exercice sont tenues de déclarer auprès de l'agence régionale de santé territorialement compétente chaque membre de l'équipe volontaire pour mettre en œuvre le protocole « Réalisation d'un bilan visuel par un orthoptiste dans le cadre du renouvellement/adaptation des corrections optiques chez les enfants de 6 à 15 ans et analysé via télémédecine par un ophtalmologiste », selon les conditions fixées par l'article D. 4011-4 du code de la santé publique.Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.ANNEXEVous pouvez consulter l'intégralité du texte avec ses images à partir de l'extrait du Journal officiel électronique authentifié accessible en bas de page Fait le 1er mars 2021.

Arrêté du 1er mars 2021 relatif à l'autorisation du protocole de coopération « Réalisation d'un bilan visuel par un orthoptiste dans le cadre du renouvellement/adaptation des corrections optiques chez les enfants de 6 à 15 ans et analysé via télémédecine

Les acteurs privés à la conquête de l'espace numérique de santé. Action n°16 de la feuille de route, l'ENS doit permettre à l'usager d'accéder à ses données administratives, à son dossier médical partagé (DMP), à ses constantes de santé éventuellement produites par des applications ou objets connectés référencés, à ses données de remboursement et à des outils permettant des échanges sécurisés avec les acteurs du système de santé.

Les acteurs privés à la conquête de l'espace numérique de santé

La délégation au numérique en santé (DNS) a d'ailleurs choisi de faire de 2021 "l'année du citoyen" pour accompagner le lancement des expérimentations de l'ENS, qui sera finalement baptisé "Mon espace santé", a appris TICpharma le 16 mars. Pour tenir les délais annoncés et lancer l'ENS début 2022, les pouvoirs publics ont invité les acteurs privés à prendre part aux travaux et cela, dès la réalisation de ce service, dont le marché a été attribué à Atos et à Octo Technology fin décembre 2020. Les entreprises de santé sont aujourd'hui présentes à chaque étape de la construction du futur espace. Covid-19: la téléconsultation par téléphone prolongée jusqu'au 1er juin. Ce décret aménage plusieurs mesures mises en oeuvre depuis le début de la crise sanitaire en 2020, reprises dans un décret publié début janvier, afin de tenir compte de la prolongation du 16 février au 1er juin de l'état d'urgence sanitaire.

Covid-19: la téléconsultation par téléphone prolongée jusqu'au 1er juin

Ainsi, il prolonge jusqu'au 1er juin les dérogations permettant, pour les patients symptomatiques ou atteints du Covid-19, de ne pas tenir compte du respect du parcours de soins coordonné et de la connaissance préalable du patient pour la facturation des actes de téléconsultation "lorsque le patient n'est pas en mesure de bénéficier d'une téléconsultation dans les conditions de droit commun", ni du champ de prise en charge et de la limitation du nombre de télé-expertises annuel.

Est également prolongé le remboursement dérogatoire de certaines téléconsultations réalisées par téléphone seul, permis pendant le premier état d'urgence sanitaire. E-santé: le groupe Elsan référence plusieurs solutions de Maiia. "Les praticiens de santé exerçant au sein des établissements Elsan peuvent ainsi choisir de s’équiper de ces solutions, afin de simplifier et fluidifier le parcours de soin des patients en facilitant la prise de rendez-vous à la fois pour eux, mais aussi pour les médecins", a expliqué Maiia.

E-santé: le groupe Elsan référence plusieurs solutions de Maiia

"Ce référencement s’inscrit dans l’ambition de Maiia d’étendre son champ d’action auprès de l’ensemble des professionnels de santé quel que soit leur lieu d’exercice", a ajouté la société du groupe Cegedim. "L’installation des solutions Maiia va permettre de fluidifier le parcours de soins du patient, faciliter la prise de rendez-vous pour les médecins comme pour les patients et simplifier l’adressage des patients. Elsan peut ainsi répondre à ses quatre objectifs: proposer un meilleur accès aux soins aux patients des praticiens équipés de Maiia et exerçant dans un établissement Elsan Concrètement, le patient a deux possibilités.

Doctolib lance son logiciel Doctolib Médecin pour la gestion administrative du cabinet. Destiné aux professionnels libéraux, "Doctolib Médecin a nécessité deux ans de travail", a fait savoir le 2 mars à la presse le fondateur de Doctolib, Stanislas Niox-Chateau.

Doctolib lance son logiciel Doctolib Médecin pour la gestion administrative du cabinet

Le logiciel rassemble deux modules pour: la gestion médicale des patients, avec "des dossiers patients avec une gestion intelligente des données, une expérience nouvelle de consultation, une gestion documentaire intelligente et un système avancé d’aide à la prescription en partenariat avec Vidal"la gestion administrative du cabinet via des outils de facturation, télétransmission, une version à jour de l'agrément Sesam-Vitale et une facturation sur application mobile grâce à un périphérique appelé Doctolib Lecteur, a fait savoir la société dans un communiqué de presse.

Par ailleurs, Doctolib Médecin proposera d'autres fonctionnalités comme le pré-accueil en ligne des patients ou le partage d'ordonnances électroniques et de documents à la fin de la consultation. Un service sur abonnement. Un groupe de syndicats, associations et collectifs demande la dissolution de l’Ordre des médecins (Tribune) – Toute La Veille Acteurs de Santé. Après le rapport accablant de la Cour des Comptes paru en décembre 2019, l’ordre des médecins tente de se justifier et réaffirme « être au service des médecins dans l’intérêt des patient·e·s ».

Un groupe de syndicats, associations et collectifs demande la dissolution de l’Ordre des médecins (Tribune) – Toute La Veille Acteurs de Santé

Comme pour l’ensemble des ordres des professions de santé, l’ordre des médecins se présente comme indispensable. Qui l’ordre sert-il vraiment ? Dans l’intérêt de qui ? 1- L’Ordre Médecins affirme représenter l’ensemble des médecins et se targue de pouvoir ainsi conseiller les pouvoirs publics. Mais l’unité professionnelle qu’il affiche est factice. Covid-19 et modélisation: Dassault Systèmes soigne ses activités en santé. Pour rappel, Dassault Systèmes, filiale de l'industriel de l'aéronautique spécialisée dans les logiciels pour la conception 3D, a déboursé 5,8 milliards de dollars au deuxième semestre 2019 pour acquérir Medidata, société d'édition de solutions "cloud" pour les essais cliniques.

Covid-19 et modélisation: Dassault Systèmes soigne ses activités en santé

L'objectif pour Dassault Systèmes était alors de "renforcer son positionnement" dans le secteur de la santé, ce qui semble lui réussir. Le 4 février, le groupe a publié ses résultats financiers annuels 2020, affichant une croissance de 27% du chiffre d’affaires récurrent, à 3,2 milliards d’euros. La HAS publie une classification des outils numériques de santé. La Haute autorité avait proposé en 2019 dans un rapport d'analyse prospective de structurer les évaluations des solutions numériques en santé au moyen d'une matrice, rappelle-t-on.

La HAS publie une classification des outils numériques de santé

En avril 2020, elle a soumis à consultation publique une proposition de classification fonctionnelle des outils en fonction de leur finalité d'usage, de la personnalisation de la réponse et de leur autonomie fonctionnelle. La classification publiée le 17 février est l'aboutissement de ces travaux, enrichis par 76 contributions apportées en 2020 dans le cadre de la consultation publique. La HAS a mis en avant dans un communiqué l'intérêt de cette grille, alors que "la pandémie de Covid-19 a mis en lumière l'énorme potentiel des solutions numériques", caractérisées par leur "grande hétérogénéité, liée à la fois à leur nature technologique, à leurs fonctionnalités et au public auquel elles sont destinées (patients, aidants, professionnels de santé,...)

". Une dizaine de types de solutions répartis en quatre niveaux.