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Facebook : la Stasi qui exploite un milliard de mouchards. Facebook Wins Pseudonym Case. Zuckerberg: In 10 years, folks will share 1,000 times what they do now | Internet & Media. PALO ALTO, Calif. -- Facebook CEO and co-founder Mark Zuckerberg addressed an adoring crowd at Y Combinator's startup school today, speaking confidently about Facebook and describing a world in which people will share a whole lot more than they do now -- via Facebook and other social companies. "It's sort of a social-networking version of Moore's Law," said Zuckerberg, who was interviewed by Y Combinator co-founder Paul Graham. "We expect this rate [of sharing] will double every year. ...So in 10 years from now, people will be sharing about 1,000 times as many things as they do today. " That, of course, is what Zuckerberg and the newly public Facebook are banking on: That the company's 1 billion plus users will keep using Facebook not just for keeping in touch with friends but also for interacting with brands.

Today's interview wasn't about Facebook the business however. "I felt this need acutely," he said of wanting to build a service to connect people. Facebook scanne les messages privés pour comptabiliser les «like» Les semaines passent et se ressemblent pour Facebook. Jeudi, alors que le réseau a fêté la barre du milliard d'utilisateurs actifs, il a dû clarifier une pratique qui flirte avec la ligne jaune de la vie privée, sans véritablement la franchir. Il y a deux jours, la startup polonaise Killswitch.me a posté une vidéo sur le site HackerNews montrant un phénomène étrange: envoyer l'adresse d'un site à un ami par message privé augmente de deux le nombre de «like» de ce lien.

Jeudi, Facebook a finalement livré cette explication au site The Next Web: «Nous avons récemment trouvé un bug dans nos plugins sociaux. Parfois le compte du nombre de partages et de likes augmente de +2. Outils d'analytique Perdus? Facebook fournit par ailleurs aux administrateurs des outils d'analytique affichant un compteur du nombre de «likes». Des messages passés au crible Ce qui dérange, ce n'est pas que les messages soient analysés. Facebook forced to kill photo-tagging suggestions for EU users – for now — European technology news. Le Hacking social de Facebook. Pas de compte Facebook ? Vous êtes suspect. Quel est le point commun entre James Holmes, Mohammed Merah et Anders Breivik ? Ce sont tous des tueurs en série qui n'avaient pas de compte Facebook. Un hasard ? Sans doute.

Mais il semble que cette particularité, relevée par la presse allemande, pourrait à terme devenir un impératif social. Car en effet, être absent de Facebook serait le signe, pour certains psychologues et employeurs, d'une potentielle dangerosité. Selon eux, les personnes n'ayant pas de compte Facebook sont suspectes car, dès lors, cela signifie qu'elles ont quelque chose à cacher ou que leur compte a été supprimé pour avoir eu un comportement inapproprié en violation avec les conditions d'utilisation du site. Holmes, Merah, Breivik James Holmes, qui s'est illustré aux États-Unis dans la fusillade d'Aurora où 12 personnes ont perdu la vie et 59 autres ont été blessées pendant une séance du film du dernier Batman, était en effet "invisible" sur Internet. Des signes de dépression relevés dans une étude. Alpha Analytics for Facebook. Facebook vous espionne, mais c’est pour votre bien. Un des buzz du jour tournait autour des conversations privées de Facebook.

L’information, découverte sur Le Monde, nous explique que c’est dans un but préventif, afin de traquer les criminels potentiels. Dans ses déclarations, Facebook explique pouvoir « être amené à partager des informations quand nous estimons qu’elles sont nécessaires pour empêcher la fraude ou toute autre activité illicite, pour prévenir tout préjudice corporel imminent ou protéger nos intérêts et vos intérêts contre les personnes qui ne respectent pas notre Déclaration des droits et des responsabilités ».

Comment ça fonctionne ? C’est une procédure automatisée, un serveur enregistre les communications privées et, en fonction de certains critères (contenus des échanges, différence d’age déclarée sur Facebook …), la conversation est lue et peut ensuite être transmise aux forces de l’ordre. Cette procédure a servi à arrêter, par exemple, un homme d’une trentaine d’années. C’est bien mignon tout ça mais : This Is How Facebook Is Tracking Your Internet Activity. 'I will not trust Facebook with my data'

Facebook va croiser sa base de données avec celle des annonceurs. Facebook vient de confirmer à Presse-citron que des annonceurs agréés pourront avoir accès à de nouvelles fonctionnalités orientées ciblage dès la semaine prochaine. Contrairement à ce qui a été publié ce matin dans nos colonnes, en aucun cas Facebook ne donnera accès à sa base de données à des tiers, dixit Facebook France. Note aux lecteurs : cet article est un correctif de l’article « Facebook va donner accès à des données personnelles aux publicitaires » publié ce matin, qui présentait une version erronée des nouveaux processus de ciblage publicitaire de Facebook.

Facebook ne va pas donner accès à des données personnelles aux publicitaires. Facebook est assis sur une mine d’or. Non pas sa capitalisation boursière qui est chahutée au Nasdaq (même si elle reste conséquente) mais ses 950 millions d’utilisateurs. Du ad exchange au ciblage des annonceurs De nouvelles fonctionnalités déjà en test Une base de données ultra sensible, à manipuler avec précaution (source)