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Avancées informatique

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Amazon ouvre une section dédiée aux objets imprimés en 3D. Grâce à un partenariat avec la marketplace spécialisée 3DLT, Amazon se lance dans la vente d'objets fabriqués par des imprimantes 3D. "3D Printed Products Storefront" est le nom de la catégorie de produits qui vient de voir le jour sur Amazon.com et qui propose des objets imprimés en 3D. Bijoux, accessoires pour smartphones, articles de mode et de déco... une cinquantaine de références sont disponibles pour le lancement, issues du catalogue de la plateforme spécialisée 3DLT. Depuis juin 2013, Amazon US a développé une offre de près de 4000 références d'imprimantes 3D, scanners 3D, consommables et accessoires. Aujourd'hui, l'e-marchand profite de son partenariat avec 3DLT pour se positionner également sur la vente d'objets 3D.

Fondée en 2012, la start-up permet aux designers d'objets 3D de mettre en vente leurs créations sur sa marketplace. Ce programme pilote d'Amazon, que devraient rejoindre 5 ou 6 autres sociétés, sera en cas de succès étendu à un catalogue produits plus large. L'impression 3D en médecine : la chirurgie d'abord. Cette nouvelle technique apporte d'innombrables avantages aux chirurgiens, de même qu'aux patients. «L'impression 3D est un atout pour tout chirurgien, notamment pour les interventions longues», s'enthousiasme le Pr Julien Pauchot, chirurgien dans le service de chirurgie orthopédique du CHU de Besançon. «Elle permet de mieux préparer une opération, de gagner du temps et de la précision pour un résultat meilleur pour le patient.» Son équipe a été parmi les premières à utiliser l'impression 3D pour fabriquer une copie exacte de la mandibule d'un patient avant sa reconstruction et l'utilise maintenant pour toutes les interventions de ce type.

Loin du rêve futuriste d'un appareil capable de reconstituer un organe entier en imprimant des couches de cellules, la révolution médicale 3D est déjà en marche pour les chirurgiens orthopédistes, qui ont su plonger dans ce nouvel univers grâce à des maquettes et des implants fabriqués sur mesure pour leurs patients.

Des robots voient à travers les murs en se servant du Wi-Fi. Les chercheurs de l’université de Californie à Santa Barbara ont conçu ce qu’ils appellent un « système de vision à rayons X », qui ne fonctionne pas du tout dans le domaine X mais exploite les ondes radio du réseau Wi-Fi. Ces deux robots peuvent identifier le baril métallique caché par l'enceinte en béton. Ils alternent transmission et réception du signal Wi-Fi dont ils analysent les variations pour déterminer la position mais aussi la composition des objets. Sur cette image, la zone rouge matérialise le périmètre que les robots ne connaissent pas (unknown volume). © UC Santa Barbara Des robots voient à travers les murs en se servant du Wi-Fi - 2 Photos Imaginez des véhicules robotisés arrivant devant d’épais murs en béton.

Ils n’ont aucune connaissance de ce qui se trouve derrière, mais ils sont pourtant capables de voir à travers et de détecter le moindre objet qu’ils masquent, tout cela au moyen d’un simple signal Wi-Fi. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Réalité augmentée : une puce DLP pour le pare-brise des voitures. La nouvelle puce de Texas Instrument repose sur sa technologie DLP (Digital Light Processing), mise au point dans les années 1980 et employée notamment dans les salles de cinéma. © Texas Instrument Réalité augmentée : une puce DLP pour le pare-brise des voitures - 2 Photos Tout comme les systèmes de navigation GPS, l’affichage tête haute (en anglais head up display ou HUD) sera, dans un avenir proche, de plus en plus répandu dans les automobiles.

En plus du guidage vocal, l’automobiliste bénéficie d’indicateurs visuels projetés sur le pare-brise : vitesse autorisée, vitesse réelle, itinéraire fléché, alerte trafic… Ces systèmes sont pour le moment encore proposés sous forme d’options mais ils tendent à se démocratiser et, surtout, leurs performances sont amenées à beaucoup évoluer. La dernière innovation de Texas Instrument fait d'ailleurs un pas dans cette direction.

L’autre avantage de cette technologie est qu’elle n’est pas tributaire de la source lumineuse. Sur le même sujet. La nouvelle réalité augmentée : 16 technologies disruptives (presque) déjà là - JDN. Intel veut utiliser le corps pour transférer des données. Système de communication par énergie corporelle mis au point par deux étudiants stagiaires d’Intel, qui se compose de deux capteurs tactiles reliés chacun à un PC portable et d’une bague qui collecte le signal électromagnétique transitant par le corps humain. Durant ses essais, l’équipe est parvenue à faire le copier-coller d’un fichier de quelques octets contenant une émoticône. © Intel Intel veut utiliser le corps pour transférer des données - 2 Photos Utiliser le corps humain pour transférer des données entre deux ordinateurs, c’est ce qu’ont réussi à faire deux étudiants participant au programme de stage Intel Collaborators.

D’une durée de trois mois à temps plein, celui-ci vise à former des équipes estudiantines pour « résoudre des problèmes techniques du monde réel ». En l’occurrence, Patrick Buah Jr. et Arsen Zoksimovski ont créé un dispositif qui permet de faire un copier-coller entre deux ordinateurs portables à l’aide d’une bague. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Le Thunderbolt 3 d'Intel supplantera-t-il l'USB ? Voici le nouveau connecteur Thunderbolt 3 élaboré par Intel. Il adopte le format USB-C qui a l’avantage d’être réversible. Avec cette nouvelle technologie, Intel annonce un débit de 40 gigabits par seconde et la possibilité de connecter et d’alimenter des appareils mobiles, des ordinateurs et des périphériques. © Intel Le Thunderbolt 3 d'Intel supplantera-t-il l'USB ?

- 2 Photos Un câble identique pour connecter et alimenter les ordinateurs, les smartphones, tablettes, périphériques et autres appareils électroniques… Peut-on raisonnablement y croire et espérer que, dans un futur proche, nos prises électriques et nos bureaux ne soient plus garnis d’adaptateurs et de câbles aux formats hétérogènes ? C’est en tout cas la promesse que fait Intel avec son nouveau connecteur Thunderbolt 3 dévoilé au salon Computex qui se tient actuellement à Taiwan. Apple est l’un des premiers constructeurs à avoir adopté l’USB-C pour son tout nouveau MacBook. Sur le même sujet. Avec Brain-to-text, un ordinateur peut lire – un peu – dans les pensées. On sait depuis plusieurs années que l’on peut reconnaître des mots à partir de signaux cérébraux. Une équipe du Karlsruhe Institute of Technology (Allemagne) et du Wadsworth Center (États-Unis) est allée plus loin en parvenant à décoder et restituer des phrases complètes pensées en langage naturel. © Pixabay, DP Avec Brain-to-text, un ordinateur peut lire – un peu – dans les pensées - 2 Photos La reconnaissance du langage naturel est considérée comme l’une des clés des interfaces du futur.

Pouvoir parler à une machine comme à un humain est, d’un point de vue technologique, un Graal après lequel courent nombre de chercheurs et d’industriels. Depuis environ une dizaine d’années, les neuroscientifiques ont découvert comment reconnaître des mots à partir des signaux cérébraux. Cette technique nommée Brain-to-text (du cerveau au texte) vient de connaître une avancée très importante. Sur le même sujet. La réalité augmentée et ses applications. Le monde de la réalité augmentée est en pleine ébullition. Les projets et innovations se multiplient et deviennent stratégiques pour les fabricants. Les plus grandes entreprises high-tech se sont même emparées du phénomène.

L’objectif : faire entrer le monde virtuel dans notre quotidien à l’aide d’objets connectés tels que les Google Glass par exemple. Dans le film Terminator II, le cyborg T1000 venu du futur et interprété par Arnold Schwarzeneger, voyait des informations se superposer au monde réel qui l’entourait. Le réalisateur James Cameron donnait ainsi un avant-goût d’une application devenue aujourd'hui réalité dans de nombreux secteurs. Certains projets ont fait figure de pionniers en matière de réalité augmentée. Projet Sixth Sense : quand votre main sert de clavier téléphonique grâce à la réalité augmentée.

Aujourd'hui, ce principe est utilisé en médecine pour épauler les chirurgiens lors des opérations. La réalité augmentée va changer nos vies. Quels enseignements avez-vous tirés du dernier salon Laval Virtual ? Grégory Maubon : Je dirais que nous sommes entrés dans une période de maturité en ce qui concerne la réalité virtuelle et la réalité augmentée. Sur le salon Laval Virtual, nous avons vu beaucoup d’applications et d’usages concrets, solides. Je pense notamment à une application pour enseigner l’anatomie humaine présentée par EON Reality ou encore au système d’aide à la mobilité pour les personnes malvoyantes Omnivisio de Laster Technologies. Il y a également beaucoup de choses dans l’industrie, en particulier dans les domaines du contrôle qualité et de la formation.

A lire aussi : On pourra bientôt toucher l’invisible Comment la réalité augmentée peut-elle changer notre façon de travailler ou de vivre au quotidien ? On peut poser exactement la même question au sujet du smartphone. Actuellement, le principal problème de la réalité augmentée concerne l’ergonomie du matériel qui sert à l’exploiter. Sur le même sujet. Objets connectés. Watson, l’intelligence artificielle d’IBM, apprend le français. Santé, météorologie, finance, recherche et même la cuisine ! Les capacités de l’intelligence artificielle Watson sont désormais une source importante de revenus pour IBM. © IBM Watson, l’intelligence artificielle d’IBM, apprend le français - 2 Photos C'est une chose de traduire une langue.

C'en est une autre de raisonner avec. Ce constat, IBM est en train de le faire avec Watson, son système d'intelligence artificielle. L'entreprise américaine cherche en effet à le franciser afin qu'il puisse trouver des débouchés dans l'Hexagone. Initialement prévue cet été, l'arrivée de Watson en France devrait finalement survenir courant 2016. « Ce serait facile de traduire, mais on ne réfléchit pas de la même façon en français et en anglais, en allemand et en espagnol. Le secteur bancaire se montre très intéressé par Watson, à en croire Nicolas Sekkaki, qui évoque des contrats s'élevant à quelques dizaines de millions d'euros. Sur le même sujet. Science, philosophie et informatique. Le Bluetooth 5.0 entre en scène - YubiGeek. Historique Ce mode de transmission sans fil bien connu de tous a été créé fin des années 90 par le SIG (Special Interest Group), une association de plusieurs entreprises d’électronique et de télécoms dont Nokia, Intel et IBM.

Depuis, ce système a bien évolué pour en arriver à la version 4.2 actuellement présente sur à peu près tous les appareils compatibles. Annoncé en juin 2016 par le SIG, le Bluetooth 5.0 nous a enfin dévoilé ses caractéristiques ce 9 décembre. Voyons ce que cette nouvelle version a de si réjouissant ! Le Bluetooth, pour quoi faire ?

Avant de vous dévoiler toutes les spécificités de cette nouvelle version, faisons le point sur l’usage de ce mode de transmission. Actuellement, le Bluetooth permet de transférer du contenu multimédia d’un appareil compatible à un autre, l’exemple le plus connu étant la diffusion de musique sur des enceintes portables. Les améliorations et nouveautés Pourquoi se réjouir de ces améliorations ? Néanmoins, attention ! Date de déploiement.