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Sondages louches, factures. Dixit : Sélection de déclarations entendues hier et ce matin, lors des débats, à l'Assemblée nationale, autour du projet de loi « relatif à la protection pénale de la propriété littéraire et artistique sur internet ». «La répétition est monotone !» _ Frédéric Mitterrand ( Troisième séance du 21/07/2009) ««Défavorable !» , «Défavorable !» _ Jean Mallot ( Troisième séance du 21/07/2009) «Mais, monsieur le président, un collègue est en train de me titiller sur le homard !» _ Marcel Rogemont ( Troisième séance du 22/07/2009) «À travers HADOPI, le vrai débat que nous devrions avoir est celui de la place de la culture dans nos sociétés contemporaines.

Au XIXe siècle, à l’époque des premiers romans de masse, la contrefaçon existait déjà, notamment en Belgique où les œuvres sortaient en « pré-façon » avant même que les auteurs n’aient signé leur contrat : ce fut le cas, entre autres exemples, pour Victor Hugo et Eugène Sue. C’était il y a cinquante ans. «Vous avez dépassé votre temps de parole !» Unnamed. Hadopi : Re-couic ! The Project Date - Kill It! Tom DeMarco recently published an article in IEEE Software suggesting he may have been wrong in stating that metrics are a requirement for successful software development. He questions his timeless statement, “You can’t control what you can’t measure”, realizing that control is not the most important aspect of a software project.

But there was a small section on the second page of the article that was especially thought provoking. DeMarco makes the following hypothetical statement. “I have a finish date in mind, and I’m not even going to share it with you. When I come in one day and tell you the project will end in one week, you have to be ready to package up and deliver what you’ve got as the final product.”

Imagine for a moment how this would change the software development landscape. So much of software development is dominated by that single date - the date the project must be finished. We kickstart the project by hosting a meeting with our customers. From. Hadopi cr. La mode n’est pas récente mais pour contourner le droit à un procès équitable constitutionnellement garanti par l’institution judiciaire le législateur a recours à la constitution de « Hautes autorités », dont l’objet n’est autre que d’exercer un pouvoir de sanction, à l’abri de toute possibilité de contradiction. Que l’on ne s’y trompe pas Hadopi 2 est avant tout une loi liberticide stigmatisée en tant que telle par le Conseil constitutionnel dont l’objet est de créer une législation d’exception pour les échanges Internet. La « Haute autorité » (connaît-on de basses autorités...) n’est rien d’autre qu’une juridiction d’exception dont l’objet est de parvenir à faire rentrer dans la sphère du Web des mesures restrictives d’une liberté individuelle.

C’est-à-dire ni plus ni moins que de créer une juridiction chargée de poursuivre l’œuvre répressive du gouvernement dédiée au Web. Heureux artifice ! Ne soyons pas les dupes de cette argumentation. Comment l'Etat finance la passion. [Bakchich : informations, enqu. Pour illustrer la problématique de la censure sur Internet et des dérives qu’elle peut entraîner, nous proposons la traduction littérale d’un article publié en mai 2009 par Ezra Levant, blogueur, journaliste indépendant et activiste politique canadien. L’article d’Ezra Levant (Australia’s embarrassing attempt to censor the Internet) a été largement repris dans le monde entier.

Comment fonctionnerait la censure à l’ère d’Internet ? L’Australie nous donne un aperçu édifiant de ce qui se passe lorsqu’on applique un mode de pensée moyenâgeux à un monde câblé. Le gouvernement australien a officiellement banni 1.370 sites internet. Et ce n’est pas comme bannir un livre ; en réalité, ça consiste à bannir un livre et condamner quiconque mentionnerait son titre ; c’est bien au-delà du bannissement. Si la liste est secrète, comment s’interdire de consulter les sites ? Le piège de l’affaire réside dans le fait que le gouvernement ne divulguera pas la liste des 1.370 sites bannis. Hadopi : Le logiciel de s. Dans les discussions sur l’article 3 du nouveau texte Hadopi et la peine complémentaire qui doit punir la «négligence caractérisée» de non sécurisation de la ligne Internet, la question du fameux logiciel à installer sur l'ordinateur était au cœur des débats mais restait toujours aussi énigmatique.

Ce matin, on a appris de la bouche de Michèle Alliot-Marie qu'il reviendrait aux FAI de développer le fameux logiciel et le proposer à leurs abonnés. Un peu comme pour «les logiciels d'accord parental» , a-t-elle expliqué. Mais à l'écrit, rien. Tous les amendements proposés par l'opposition, dans le but de clarifier ou préciser les modalités de distribution du logiciel, ont été systématiquement repoussés ou rejetés. La gratuité, d'une part. Les députés de l'opposition ont fait valoir que le logiciel devrait être fourni gratuitement aux abonnés, dans la mesure où son acquisition est la seule possibilité de contester l'accusation de négligence.

D'autre part, l'interopérabilité. Le g. Mauvais karma pour Microsoft qui vient de subir deux revers. Le géant informatique américain a dû faire une concession majeure, vendredi, afin de régler un vieux litige avec l’Union européenne. Il offrira désormais le choix entre plusieurs navigateurs Internet sur son logiciel d’exploitation Windows : son navigateur maison, Internet Explorer, mais également Firefox, de la fondation libre Mozilla, Chrome (Google) ou encore Opera, du norvégien Opera Software.

Soupçonné par Bruxelles de se procurer un avantage commercial déloyal à l’égard de ces concurrents en excluant les autres navigateurs de son système, qui équipe neuf ordinateurs sur dix dans le monde, le géant américain avait fait l’objet d’une enquête par la Commission. Celle-ci considérait jusqu’ici comme insuffisants les remèdes proposés par l’éditeur de Windows. Bruxelles va maintenant examiner la nouvelle offre de Microsoft avant de rendre un jugement, tout en laissant entendre qu’elle la considère favorablement. Unnamed. Dans un environnement informatique en pleine mutation, ­Microsoft, dont le chiffre d’affaires et le ­bénéfice ont reculé en 2008 – une première !

–, est contraint à bouger. Vendredi, le géant du logiciel a dû faire une concession majeure à Bruxelles, à propos de son navigateur Explorer. Quelques jours plus tôt, il avait fait «don» à la communauté Linux du code source de 20 000 lignes ­concernant trois gestionnaires de périphériques. Un changement de cap brutal pour une firme dont le patron, Steve Ballmer, pourfendait, il y a peu, le monde du logiciel ­libre, évoquant ce « cancer anticapitaliste» . Entretien avec Alexandre Zapolsky, PDG de l’éditeur de logiciels Linagora , acteur majeur du libre.

Est-ce vraiment un tournant ? L’événement, c’est qu’ils ont choisi une licence GPL, licence totalement libre de droit, la plus couramment utilisée dans le logiciel libre. Comment définiriez-vous ce modèle «dis­ruptif» du logiciel libre et en quoi menace-t-il Microsoft ? Christophe ALIX. AT&T bloque la.

En terme de probabilité, il y a relativement peu de chance que vous, chers lecteurs, surfiez actuellement depuis la Californie du sud via une connexion fournie par l'opérateur AT&T.; Et tant mieux, car si tel était le cas, vous auriez des problèmes à vous rendre sur certaines rubriques du site 4chan , le fameux et infamant imageboard réputé pour ses mèmes ( lire l'article ), son goût douteux, ses hoax plus ou moins subtils et sa grande liberté qui permet à tout un chacun de poster des images allant du LOL-cat gentillet aux immondices pédophiles.

Parmi les caractéristiques du site, rappelons que la durée de vie d'un post sur 4chan dépend des commentaires postés en réponse. En période de forte activité, certains billets peuvent donc tomber dans les limbes en moins de 10 minutes, le site ne proposant aucune archive... De son côté, moot a confirmé le filtrage sur le blog 4chan status , une page utilisée pour communiquer avec les utilisateurs du site en cas d'inaccessibilité. Windows 7 : Le feuilleton de l'été continue concernant la nature du navigateur dans la prochaine version de Windows, Seven, en Europe. Mi-juin, la Commission Européenne avait exigé de Microsoft qu'Internet Explorer, le navigateur Web maison, ne soit plus proposé comme seul butineur maison dans le système d'exploitation. La solution alors pressentie avait été « aucun navigateur », ce qui aurait posé quelques problèmes, pointés par la Commission sous la forme d'une remarque dans la décision prise, qui devrait permettre à l'utilisateur « d'avoir un choix de navigateurs, pas que Windows soit fourni sans aucun navigateur » .

Microsoft a finalement annoncé que Windows Seven proposerait bien une sélection de navigateur à ses clients. La proposition évoque un « ballot screen » , une fenêtre de choix apparaissant à l'installation de Windows ou au premier lancement de Internet Explorer (livré dans sa version 8 dans Seven). Un potentiel écran de choix proposé par Opéra suite à l'annonce de Microsoft.

La justice a-t-elle pass. Mediapart révèle dimanche soir les troublantes suites d’un fait divers dont s’est mêlé le banquier italo-américain Robert F. Agostinelli, qui avait accueilli grâcieusement Nicolas Sarkozy dans sa villégiature de Wolfeboro en 2007. En 2006, le banquier aurait proféré des menaces, mais n’a pas été inquiété pour cela par la justice française, pourtant alertée. Point de départ de la dispute, l’étudiant américain John Washington (un descendant du premier président des Etats-Unis) frappe avec une bouteille de vodka Colin Hall, un proche collaborateur du banquier, en juillet 2006 dans une boîte à la mode de Saint-Tropez. La victime de l’agression restera dans le coma pendant trois jours. Mais, selon Mediapart, qui relève l’« extrême sévérité » de cette condamnation, des analyses ADN ont disculpé Washington, désigné comme étant l’agresseur par certains témoins et pas par d’autres. . « L’horloge fait “tic-tac”, elle fait “tic-tac” sur toi. » Opinion Way-Le Figaro : la preuve par la Une.

La Face karchée de Sarkozy. Philippe Cohen. Richard Malka. Riss Depuis que le scandale des sondages Opinion Way-le Figaro-Publifact a éclaté, les responsables d'Opinion Way se défendent comme de beaux diables. Ils ne sont pas de droite, enfin pas tous (ce qui est exact) il travaillent avec des médias de gauche (oui mais pour beaucoup moins cher ), etc.Nous avons voulu nous mettre, un instant, à la place du lecteur du Figaro, qui reçoit chaque semaine ce Journal de l'Elysée que publie le quotidien à partir des sondages.

Avouez que quand on lit ça dans la continuité, on n'a aucun doute sur le sens vers lequel inclinent ces études. Et on comprend mieux pourquoi la rédaction du Figaro demande à sa direction de renoncer aux services d'Opinion Way : 2 Janvier. l’année débute par des étrennes : «Pour les Français, Sarkozy est plus rassurant et rassembleur», titre le quotidien après les vœux de Nicolas Sarkozy. Sarkozy a convaincu. 06 février 200ç. Du même auteur 6 février. Bienvenue [Gna!] Some Aspects of JVM Tuning in Virtual Environments. I have a dream... No, I will not speak here about jobs and freedom. I have a dream that I have been no more called from operation team. I want to hear nothing about performance problems with highly loaded java application in production. The operation people have the most "fat" computer with a lot of CPUs and a huge amount of RAM.

Each environment has enough RAM and gets some CPUs (or cores in case of CPU from Intel). You can say: the Java is not the decision for heavy loaded applications. At first, we have a virtual environment with some (mostly two or three) CPUs and the big enough RAM. This is on the one hand. -Dcom.sun.management.jmxremote -Dcom.sun.management.config.file=your_file where your_file - is a JMX configuration file. In my case it is equal to 8. The second one: use jmap tool from jdk installation with such parameters: jmap -heap PID, where PID - process id of your java process. You see, how many threads is used by the garbage collector. ImageMagick: Application Program Interfaces.

Tricks and Tips With Comet Part 1: Making All Browsers Work Prop. Writing Comet applications is more and more easy, thanks to frameworks like LIft and Atmosphere. On the Client side, the difference between Safari, Opera, Firefox, IE and Chrome can make your application completely unresponsive or broken. Of course, there are some tricks to make it work.

First, if you are new to Comet, I recommend you take a look at this introduction. For this serie, I will use my new project called Atmosphere, which is a framework for writing portable Comet and REST applications. I always use Firefox for developping, and recently I've got surprise when I 've realized all Atmosphere's sample did work on WebKit (Chrome, Safari) and Opera. First, to make Safari works properly with the Comet technique called http streaming or forever frame, make sure, on the server side, you set the content-type properly and disable the cache. 1.res.setContentType("text/html"); 2. res.addHeader("Cache-Control", "private"); 3. res.addHeader("Pragma", "no-cache"); 02. 03. 03. 05. 07.

Sebastian K. Dataflow Parallelism in Java Inspired by Václav Pech's post on Dataflow parallelism in Groovy using the GParallelizer library I was wondering how close I could get with pure Java using Object Oriented Concurrency (OOC). But first, I want to introduce the concept of Dataflow. Introduction Dataflow has been around for quite some time now. The idea is rooted in functional languages so variables may only be set once and are unchangeable ever after. Implementation First, we need a variable class that matches the dataflow criteria which is pretty straight forward using OOC (you can download the required library here): Next, we need a way to fire up functions in new threads.

Side note: A shortcut would be to declare Unit.run asynchronous but this would lead to strange side effects if you want to call this method recursively. As we have all pieces together, we can demonstrate the mechanism with a test: Streams Apart from concurrent variables, Dataflow knows the concept of streams. Online Home Business. Clarity of code is clarity of thought. I remember at my first job when we introduced the concept of code reviews. I don't think anybody really looked at anybody else's code before pressing the "approve" button, I know I didn't. Reading code is boring and it can be hard and it felt like a waste of time.

I had my own code to write and why shouldn't the author of the code have written it right in the first place? When I moved to another job, they talked about how, in theory, code reviews was the number one most effective way to increase code quality. But they had given up on it, because they felt it came down to a discussion of where to put the dots and commas (or, rather, semi-colons and parentheses). Quite aside from the issue of code reviews, I had come to realize that I spent much more time reading my code than I spent writing it.

So I concluded it was worth spending a little extra time typing longer variable names, and taking the time to find descriptive names. But that's not enough. Himanshu's Musings Comments and Blog Notes. James Gosling: on the Java Road.

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A very long map name to test display properties of.