Histoires de peintures : Pour une histoire rapprochée de la peinture. La quête du détail se poursuit pour Daniel Arasse, toujours dans l'élaboration de son travail photographique, qui change son rapport à l'oeuvre.
Celui-ci offre un temps de contemplation beaucoup plus long. Le regard au bout d'un moment devient "flottant et n'est plus en quête de l'information à capter". Mais il attend au contraire, que quelque chose du tableau vienne se montrer. Écouter. Daniel Arasse sur le détail. Draperie pour une figure agenouillée, Léonard de Vinci - Louvre Collections. Description / Décor Commentaire :Cette étude de draperie fait partie des esquisses sur toile de lin, seize au total, qui ont été exécutées pendant les années 1470, période d'apprentissage de l'artiste dans l'atelier de Verrocchio à Florence.
Cette feuille est à rapprocher des neuf autres draperies dites "Jabach" et de la draperie dite "Saint-Morys". Bernadette Py a montré que la série est celle des quatorze Draperies qui, après la mort du collectionneur Everhard Jabach en 1695 furent inventoriées sous le nom de Dürer et rangées dans un portefeuille marqué E. Cette œuvre qui porte le numéro I a été montée chez le collectionneur Charles Paul de Saint-Morys, entourée d'un filet noir, avec la 'Draperie Saint-Morys' (INV2255) sur une seule et même feuille de papier. Ce dessin entra ainsi monté avec l'œuvre INV2255 dans les collections du musées du Louvre, sous l'attribution à Dürer. Karambolage - l'animal : Le Rhinocéros de Dürer - Regarder l’émission complète.
Dürer, Albrecht Study of Hands 1506. The Rhinoceros - Albrecht Dürer. Albrecht Dürer, Aile de corneille bleue, 1500/1512, aquarelle sur parchemin, 19.6x20 cm, L' Albertina, Vienne. Man Ray, Noire et blanche, 1926. Poésie de l'objet Fernand Léger. Poésie de l'objet, Fernand Léger, 1930, Vieux gants. Réné Magritte, le modèle rouge, 1935, huile sur toile. Le Modèle rouge. 100 oeuvres nouvelles 1974-1976 : Musée national d''art moderne.- Paris : éd. du Centre Pompidou, 1977 (cit. et reprod. coul. p. 87, reprod. détail en couverture) .
N° isbn 2-85850-026-6 Voir la notice sur le portail de la Bibliothèque Kandinsky Torczyner (Harry).- René Magritte : Signes et images.- Paris : Draeger, 1977 (cit. p. 20, 216, 233 et reprod. p. 80) P. Manzoni, Achrome. Achrome. Celant (Germano).- Piero Manzoni : catalogo generale.- Milan : Prearo, 1975 (cat. n° 127 cg, p. 155, reprod. p. 155) 100 oeuvres nouvelles 1977-1981 : Musée national d''art moderne.- Paris : éd. du Centre Pompidou, 1981 (cit. et reprod. p. 86) .
N° isbn 2-85850-096-7 Voir la notice sur le portail de la Bibliothèque Kandinsky. Pierre Soulages, musée à Rodez. Palpebra (Paupière), G. Penone, Centre georges Pompidou. Un « enregistrement graphique » : tel est le travail de dessinateur de Penone, dont l’œuvre relève, pour l’essentiel, d’une pratique de l’empreinte et d’une tentative pour rendre visibles les processus organiques naturels.
L’œil, qui est un de ses motifs de prédilection, y occupe une place fondamentale dès l’origine : dans l’action de 1970 Rovesciare i propri occhi , où il pose des lentilles-miroirs sur ses yeux, Penone définit la vision comme reflet du monde. L’artiste, aveuglé par les lentilles, affirme le primat du toucher sur la vue, mais aussi la fonction de médiation de son propre corps, qui offre au spectateur une surface réfléchissante, c’est-à-dire un paysage.
La paupière – la peau de sa propre paupière – va être le terrain, et le symbole, de sa relation à la nature. Agnès de la Beaumelle. Paupières, Giuseppe Penone, 1978, fusain sur toile, 1000x200cm. Penone, Giuseppe Paysage du cerveau, 1990, ruban adhésif et charbon, empreinte de boîte crânienne. Paysage du cerveau par Giuseppe Penone sur artnet. Penone frottage2. AVIGNON : "Extases les mystiques" (Ernest PIGNON-ERNEST) Extases. Ernest et les « Extases »... BONUS- Ernest Pignon-Ernest, plasticien autodidacte, amoureux des artistes d'autrefois. Depuis cinquante ans, il installe des dessins dans les rues des villes du monde.
Vous en avez vu peut-être, des feuilles fragiles, collages nocturnes et éphémères sur des murs défraîchis et offerts au temps qui les défaits : Rimbaud à Charleville Mézières ou une famille derrière des barbelés à Nice, ou une femme morte dans le labyrinthe des ruelles de Naples, ou les personnages d’une querelle dans la zone portuaire de Brest, et d’autres à Port au Prince en Haïti, un poète au milieu des ruines en Palestine ou à Santiago au Chili, un résistant et martyre dans la casbah à Alger et, chaque fois, les personnages qu’il fait apparaitre, exactement là, dans un endroit, un contexte éclairant, même si vous ne les reconnaissez pas, ils vous rappellent quelque chose de familier. Pourtant j’ai l’impression qu’on ne saisit pas toute la qualité, intellectuelle spirituelle, mémorielle, combative de ses interventions ? Comme si ça nous arrangeait d’en faire un dessinateur. BONUS- ERNEST PIGNON ERNEST – Site officiel.