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August-Sept 2o14

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Une comète "frôle" Mars, une première en un million d'années. Washington (AFP) - Une première dans le système solaire depuis un million d'années: une comète, Siding Spring, a "frôlé" dimanche la planète Mars, à près de 136.000 km et à la vitesse de 56 km/seconde. A 18H27 GMT dimanche, la comète "s'est approchée au plus près" de la Planète rouge à exactement 135.895 km, soit un tiers de la distance de la Terre à la Lune, a annoncé sur Twitter l'Agence spatiale européenne (ESA).

La concurrente américaine de l'ESA, la Nasa, avait prévu un passage exactement à la même heure mais à 139.500 km de Mars. Le noyau de Siding Spring (C/2013 A1), qui fait environ 1,6 km de diamètre, est aussi compact qu'une balle de talc et file dans l'espace à la vitesse de 202.000 km/h, soit 56 km/seconde. L'astre n'avait aucune chance de percuter la Planète rouge, voisine de la Terre. Mais les scientifiques terriens se délectaient de pouvoir étudier sa trajectoire et sa traînée. -Vieille de plusieurs milliards d'années - Sciences : La sonde indienne transmet ses premières photos de Mars. L,une des photos a été postée jeudi sur la page Facebook de l'agence spatiale indienne (ISRO), montrant la surface orange de Mars parcellée de trous noirs, un cliché pris à 7.300 km d'altitude.

«La vue est belle de là-haut», écrit l'agence sur son compte Twitter. Le responsable scientifique de l'agence, V. Koteswara Rao, a indiqué que la sonde, baptisée Mars Orbiter Mission (MOM), avait envoyé une dizaine de photos depuis sa mise en orbite mercredi et que tout fonctionnait bien. «L'appareil photo couleur embarqué à bord a commencé à travailler peu après la stabilisation dans l'orbite elliptique de Mars et a pris une dizaine de photos de sa surface et des environs», a dit Rao à l'AFP. Suprématie indienne en Asie L'Inde est devenue le premier pays d'Asie à atteindre Mars mercredi avec sa sonde MOM, baptisée également Mangalyaan, entrée en orbite après un voyage de 10 mois. Succès pour le «jugaad» indien L'Inde entre dans l'histoire spatiale. L'Inde place sa low-cost en orbite de Mars. Alerte aux tempêtes solaires. Poussières d'étoiles: la sonde Stardust commence à livrer ses secrets - Science. La Nasa aurait en sa possession de la poussière d'étoile.

C'est la conclusion d'une vaste étude internationale menée durant huit ans sur des échantillons récoltés par la sonde américaine Stardust, aujourd'hui à la dérive dans l'espace mais qui a été la première à renvoyer vers la terre des particules de corps célestes autres que la Lune. Des particules qui pourraient aider las astronomes à comprendre l'origine de notre univers. Baptisée Stardust - poussière d'étoiles en français - cette sonde américaine de 400 kg lancée en 1999 a finalement accompli sa mission, avec brio.

Partie à la poursuite d'astéroïdes et de comètes afin d'attraper les particules de matières présentes dans l'espace, Stardust était équipée d'une grande raquette d'un mètre carré. Cette épuisette spatiale était divisée en 132 cellules de quelques centimètres chacune. L’analyse des échantillons. Amarrage de l'ATV-5 à l'ISS en direct. Prendre le contrôle d’un vieux satellite avec un Mac (plus deux ou trois bricoles…) En 1978, la NASA lançait le satellite ISEE-3 pour étudier les rayonnements du soleil. Après sa première mission, il a été utilisé pour observer la queue de la comète Halley. Lorsque ses batteries ont cessé de fonctionner, la NASA l’a retiré du service. Pourtant ses panneaux solaires peuvent alimenter 98 % des fonctions du satellite. Depuis qu’il a été abandonné dans l’espace, l’équipe a été assignée à d’autres missions.

Les documentations techniques sur le satellite ont été perdues. Et les équipements de l’époque n’existent plus ou ne peuvent plus être utilisés avec ceux d’aujourd’hui. Un groupe de neuf passionnés a pourtant décidé de tenter de reprendre en main ISEE-3. L’accueil du public a été chaleureux : 125 000 $ étaient recherchés pour lancer le projet, et 160 000 $ ont été recueillis. La NASA ne les a pas aidés directement, mais elle n’a rien fait pour les gêner ou empêcher leurs recherches et tentatives de s’emparer du satellite décommissionné. A Spacecraft for All: The Journey of the ISEE-3. Perséides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est l'essaim le plus spectaculaire et le plus populaire de l'année, étant donné qu'il se produit, pour l'hémisphère nord, lors de la période estivale.

Étymologie[modifier | modifier le code] « Les Larmes de saint Laurent » est le nom donné traditionnellement et poétiquement à ce phénomène, la fête de Saint-Laurent de Rome étant célébrée le 10 août et le maximum de l'intensité se situant non loin de cette fête[4]. Historique[modifier | modifier le code] Les Perséides sont l'une des plus anciennes pluies de météores recensées par écrit. Dans la nuit du 9 au 10 août 1911, le taux horaire (THR) observé était de 50 météores par heure. Animation d'une pluie de Perséides. Comète-mère[modifier | modifier le code] Comète Swift-Tuttle laissant des poussières dans l'orbite de la Terre Giovanni Schiaparelli est le premier astronome à identifier la comète-mère des Perséides, Swift-Tuttle. Description[modifier | modifier le code] Une traînée très brillante. Découvrez Mars et la Lune grâce à Google Maps. 01net le 08/08/14 à 12h20 Pour célébrer le deuxième anniversaire de l’arrivée de Curiosity sur Mars, Google Maps vous propose de partir à la découverte de la Lune et de la planète Mars.

A vous la mer de Tranquillité, le volcan Olympus ou la fosse de Tantale ! Pour vous rendre sur la planète rouge ou sur le satellite de la Terre, il suffit de quelques clics. Si vous utilisez la dernière version du service, il suffit de cliquer sur Explorer. Sinon, il faut cliquer sur le bouton Earth, en bas à gauche de l’écran.Une fois sur l’image de la planète bleue, il n’y a plus qu’à dézoomer au maximum et à attendre quelques secondes. En cliquant sur les noms des différents lieux, une petite fenêtre fournit des informations topographiques en utilisant des données du groupe de travail de l’Union astronomique internationale. La sonde « Rosetta » atteint son point de rendez-vous avec la comète Tchouri. Après dix ans de voyage, l'engin spatial européen s'est placé mercredi en orbite de la comète Tchourioumov-Guérassimenko, à la recherche des origines du Système solaire.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir C'est une épopée comme seule l'exploration de l'espace en inspire encore. Une saga interplanétaire dont Stanley Kubrick ou George Lucas auraient pu écrire le scénario, avec suspense, effets spéciaux et sueurs froides. Une superproduction à 1,3 milliard d'euros, la plus ambitieuse jamais réalisée par l'Europe. Mais c'est surtout une formidable aventure scientifique, sur les traces des origines de notre Système solaire, des océans de notre planète et, peut-être, de la vie. Mercredi 6 août, la sonde Rosetta, de l'Agence spatiale européenne (ESA), est arrivée en fin de matinée à son rendez-vous, à près d'un demi-milliard de kilomètres de la Terre, avec la comète Tchourioumov-Guérassimenko, « Tchouri » pour les intimes, et l'a saluée sur Twitter.

“Hello, Comet!”