Harcèlement: pas de chiffres à Statistique Canada | Philippe Orfali | Sur la colline parlementaire. Statistique Canada tient des données sur le nombre de bonbons distribués à l'Halloween et de chrysanthèmes de genre pompon produits au Canada chaque année, sur la somme moyenne dépensée en repas au restaurant ou encore celle consacrée aux sous-vêtements, vêtements de nuit et bas pour hommes au Canada. Mais elle ignore combien de cas de harcèlement physique ou sexuel surviennent au sein de son personnel, révèlent des documents obtenus par LeDroit.
Depuis quelques mois, LeDroit a communiqué avec plusieurs agences et ministères du gouvernement fédéral afin d'obtenir un portrait fidèle du harcèlement en milieu de travail. Dans la plupart des cas, le nombre de plaintes pour harcèlement sexuel, verbal ou physique est relativement faible. À Statistique Canada, la réponse est toute autre. «Nous n'avons aucune information à ce sujet. Information erronée Cette information est erronée, affirme Nicole Tourigny, chargée des relations de travail à Statistique Canada. Comment prévenir un burn-out ? | Communiqué Santé. Une dépression peut survenir à n’importe quel moment de la vie mais elle se déclenchera plus facilement auprès de personnes qui ont tendance à être énergique et à ne pas se poser la moindre minute. C’est d’ailleurs souvent à cause de cette activité incessante et du surmenage qui en est la conséquence que la dépression survient. Une fois que l’on sent que nous sommes au bord de la dépression, il faut de suite prendre du recul sur son travail et consulter un médecin spécialisé ou une personne ressource qui sera apte à vous aider comme un psychologue par exemple.
En effet, si on décide de continuer son train de vie et de ne pas se faire aider, c’est le burn-out qui nous pend au nez. Et le burn-out, ce n’est pas une incapacité de travail de quelques semaines ou de quelques mois mais c’est une incapacité beaucoup plus longue qui nous empêchera non seulement de travailler mais aussi de s’occuper de sa famille et de ses proches. Déceler qu’on est proche du burn-out. Les 4 signes que vous êtes au bord du burn out professionnel. Le burn out, ou épuisement professionnel, tout le monde en parle mais peu savent de quoi il s’agit vraiment et comment il se manifeste. Keljob fait le point sur ce nouveau mal pour vous aider à le reconnaître chez vous, ou chez vos collègues, et ainsi agir avant de craquer. 1 Vous vous sentez constamment sous pression Le burn out est un cycle infernal dans lequel la personne touchée ne se repose plus.
Elle travaille pendant son activité professionnelle, pendant ses temps de pause au bureau, et même lors son temps personnel à la maison. "Il est parfois difficile de faire la différence entre une période de fatigue, parce qu’on a besoin de vacances, et un début de burn out. " 2 Vous êtes en état d’épuisement émotionnel Le burn out a d’abord un impact sur la santé psychique de l’individu. 3 Vous êtes fatigué en permanence Le burn out a ensuite un impact sur la santé physique. 4 Ces signes avant-coureurs perdurent => Vous craquez !
Ne pas rester seul face à cette situation de burn out. Utiliser la psychologie pour décrypter et prévenir la souffrance au travail. Retour à la page précédente Interview Interview de Simone Cottin, Psychologue clinicienne, psychopathologue du travail et psychanalyste Simone Cottin anime les formations : Pouvez-vous nous parler de la psychologie en quelques mots ? Qu'entend-on par « psychologie clinique » ? Etymologiquement « science de l'âme », la psychologie est pour certains une « science de l'âme », pour d'autres une « science du comportement » et pour d'autres « une science de la singularité et de l'intime ».La psychologie « clinique » vise la connaissance d'une personne dans sa singularité : découvrir les processus qui animent le sujet. L'observation est directe, concrète, répétitive, totalisante, « singularisante », et approfondie. En quoi la psychologie nous aide-t-elle à mieux comprendre notre environnement professionnel et à mieux interagir ?
Dans quelle mesure la psychologie peut-elle plus particulièrement nous donner des clés pour décrypter et prévenir la souffrance au travail ? Les bons outils pour dépister les risques psychosociaux. Crédits photo : Shutterstock.com Un directeur financier a vu son état moral se dégrader à la suite d’une surcharge de travail conjuguée à un manque de moyens pour y faire face. S’y ajoutait une difficulté à échanger au sein de son entreprise. De tels symptômes sont susceptibles d’entraîner une dépression qui, dans ce contexte, serait reconnue comme maladie professionnelle imputable à l’employeur, voire au dirigeant. Ces dégâts auraient pu être évités si l’entreprise avait mis en place un système efficace de prévention et de détection des risques psychosociaux (RPS), qui regroupent notamment le harcèlement, le stress et l’épuisement (burn-out). Comment l’élaborer ? Quels acteurs y associer ? Réponses avec Christophe Ayela, avocat et auteur d’un guide juridique des RPS (consultable sur www.praevens.fr). 1.
Apparus avec la loi de modernisation sociale de 2002, les RPS sont reconnus en justice dès lors que la « santé mentale » est exposée ou en danger. 2. 3.