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Cybercriminalité. La réussite de la montée en puissance de ces unités conditionne grandement la capacité générale de la gendarmerie, en matière de cybercriminalité, à remplir avec efficacité et synergie sa mission à tous les échelons. Au niveau central Dès 1998, la Gendarmerie nationale a identifié l'enjeu que représentent les nouvelles technologies en mettant en place des structures et des formations adaptées : - Département cybercriminalité du service technique de recherches judiciaires et de documentation (STRJD).

Il assure la surveillance du réseau en recherchant les infractions portant atteinte aux personnes et aux biens et relatives à la transmission de données à caractère illicite sur Internet (sites, les " Internet Relay Chat", les newsgroups, les réseaux d'échanges communautaires, le peer to peer). - Département informatique et électronique de l'institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN). Au niveau de la chaîne territoriale - Les unités territoriales et de recherches : Cybercriminalité / Cybercriminalité / Criminalité / Internet. La cybercriminalité est l’une des formes de criminalité qui connaît actuellement la croissance la plus forte, de plus en plus de malfaiteurs exploitant la rapidité et la fonctionnalité des technologies modernes, ainsi que l’anonymat qu’elles permettent, pour commettre les infractions les plus diverses : piratage des données et des systèmes informatiques, vol d’identité, diffusion d’images d’abus pédosexuels, escroqueries aux enchères sur Internet, accès non autorisé à des services financiers en ligne, propagation de virus, déploiement de botnets, escroqueries de divers types au moyen de la messagerie électronique comme par exemple l’hameçonnage (« phishing »), etc.

Mondial par nature, Internet permet aux malfaiteurs de se livrer à la quasi-totalité des activités illicites en n’importe quel point du globe. La cybercriminalité évolue Rôle d’INTERPOL. Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication / Lutte contre la criminalité organisée / Direction Centrale de la Police Judiciaire / Organisation.

Historique : La révolution numérique et le développement de la communication en réseaux ont rendu indispensable l'adaptation des outils législatifs, répressifs et de coopération internationale. Ainsi, le décret n° 2000-405 du 15 mai 2000 a créé au sein de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) un office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC).

Il s'agit d'une structure nationale, à vocation interministérielle et opérationnelle. Missions : L'OCLCTIC est chargé : Grâce aux connaissances spécialisées de ses fonctionnaires, l'OCLCTIC apporte son soutien technique aux enquêteurs en charge des perquisitions informatiques. Son domaine d'action comprend également la lutte contre les atteintes aux systèmes d'information gouvernementaux ou de sociétés sensibles économiquement ou techniquement. Composition : Pour remplir ces missions, le service est composé de 60 policiers et gendarmes à compétence nationale. Signaler des faits relatifs à la cybercriminalité. Internet-signalement.gouv.fr - Portail officiel de signalements de contenus illicites - Accueil.