Writing better action. Movie Story Types. L'univers du récit dans Terminator 2 : Judgment Day (James Cameron, 1991) et Terminator Salvation (McG, 2009) - L'Empire du spectacle. Ce que l'on appelle "l'univers du récit" est constitué de tous les éléments naturels, humains ou technologiques qui indiquent le lieu et le temps du récit, ainsi que les conditions matérielles de vie des personnages.Font partie de l'univers du récit les paysages, les habitations et autres constructions humaines, les vêtements, les conditions météorologiques, le temps qui s'écoule, etc.
L'unité la plus grande de l'univers du récit est l'arène générale dans laquelle il se déroule, et qui englobe toute l'intrigue. Cela peut être une galaxie entière (Star Wars), la Terre (Transformers 1 et 2, Michael Bay, 2007 et 2009), l'océan (Le Monde de Nemo, Andrew Stanton, Lee Unkrich, 2003), un pays (Benjamin Gates - en anglais : National Treasure 1 et 2, John Turtletaub, 2004 et 2007), une ville (Cloverfield, Matt Reeves, 2008), une grande propriété (Dirty Dancing, Emile Ardolino, 1987), un immeuble (Piège de cristal, John McTiernan, 1988), etc.
Terminator 2 : Judgment Day Terminator Salvation. Genre et personnages dans Terminator (James Cameron, 1984) - L'Empire du spectacle. Commençons par le commencement, à savoir un film emblématique du cinéma d'action américain des années 80, et l'un de ceux qui a le plus participé, à cette époque, à la diffusion de la culture étatsunienne dans le monde : The Terminator (en français : Terminator), réalisé par James Cameron en 1984.
Pourquoi la science-fiction ? Pourquoi un genre ? En France, peu de personnes ont un véritable respect pour Terminator. Beaucoup ont aimé lorsqu'ils l'ont vu, mais la plupart d'entre eux diront, si on les interroge, que c'est un "film de bourrin", un pur divertissement qu'on oublie dès qu'on l'a terminé. Le problème, c'est que beaucoup de critiques, Français ou autres, du cinéma américain, oublient l'un des requisits fondamentaux de ce genre de spectacle : pour comprendre et apprécier le film ou pour être ému, touché, changé par celui-ci (bref, pour en tirer quelque chose de positif), il faut accepter d'arriver vierge de toute attente devant l'écran.
Le choix du genre : Very Bad Trip (Todd Phillips, 2009) et L'Effet papillon (Eric Bress, 2003) - L'Empire du spectacle. Jeudi 4 novembre 4 04 /11 /Nov 08:10 Dès le début de l'élaboration d'un scénario, le choix du genre est crucial.
Il conditionne évidemment la manière dont on va traiter le sujet, à savoir le débat moral qui sous-tend le film. Mais il conditionne aussi les choix de personnages, d'événements dans l'intrigue, de retournements, ainsi que l'univers du récit, etc. On comprend aisément, par exemple, que le décor d'un thriller et celui d'une comédie n'auront rien à voir. Avant le choix du genre vient le choix du débat moral.
Mais cette correspondance débat moral/genre n'est pas automatique, et pour choisir le genre, il est nécessaire de bien réfléchir d'abord aux possibilités offertes par le débat moral. Prenons un autre exemple pour bien comprendre comment le genre définit le regard spécifique porté sur le débat moral. Voir aussi : Genre et personnages dans Terminator (James Cameron, 1984) Articles de la catégorie "Le genre" Screenwriters are Not Subject to One Genre. We all like different kinds of movies.
I enjoy watching romantic comedies as much as I like a good space western. And I enjoy writing comedy with the same enthusiasm as I do drama. But sometimes I take on a ridiculous challenge, like writing five or so pages of an original psychological thriller or I map out an anime movie where a girl discovers that her new pet can open up portals to different dimensions. Those two examples are quite a stretch from the more familiar comedy and drama genres but for me, going to those places makes for a great experience.
Try writing a story in a genre that you usually wouldn’t. Writing in a different genre enables the flexing of creative literary muscles. Penning a screenplay in a genre that you’re not used to will be like going from running on a track to running in a pool. It’s good to be a versatile writer with a colorful portfolio. And don't forget: It’s fun!