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Le professionnel de santé, le patient et les réseaux sociaux

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Docadrenaline | Emergency medicine young doc's mood. Not to be resuscitated | Blog dessiné sur le quotidien de Derek, soignant en réanimation médicale. Sous la blouse: Faites l'amour pas le TR! Sur une idée originale de notre estimée consoeur Jaddo. Sont ici présentes les médecins généralistes de sexe féminin rencontrées sur twitter :@AliceRedsparrow (son blog)@Fluorette@Jaddo_fr@Sous_la_blouse@DrCouine et en guest-star le @Dr_Stephane (c'est un homme mais personne n'est parfait) Ceci est une réponse au Dr Michel Cymès et sa campagne en faveur du dépistage systématique du cancer de la prostate (son blog et les détails de la campagne, c'est par ici ).Le problème de cette campagne, c'est qu'elle ne repose sur aucun argument scientifique.AU CONTRAIRE, comme l'attestent ces références :- un article de 2010 du British Medical Journal (le BMJ que nous tenons dans nos mains)- les recommandations de la HAS concernant ce dépistage Les conclusions de ces références qui sont, elles, longuement argumentées, sont que le dépistage systématique ne réduit pas la mortalité par cancer de la prostate.

Ch@t : La sclérose en plaques. Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le Sommaire Les réponses du Pr. Catherine Lubetzki, neurologue Peut-on développer une SEP à 64 ans ? Oui, on peut développer une SEP à 64 ans mais c'est relativement rare. L'espérance de vie d'une personne atteinte de SEP est-elle fortement diminuée ? En général, c'est-à-dire pour l'ensemble des patients atteints de SEP, l'espérance de vie est à peine diminuée par rapport à la population générale.

Les docteurs Seignalet et Simonneau se basent sur des études scientifiques étrangères pour mettre en avant la corrélation entre l'alimentation et la sclérose en plaques. Dans l'état actuel de nos connaissances, il n'y a pas de lien entre l'alimentation et le développement de la maladie, ni entre l'alimentation et la survenue de poussées chez des patients ayant une SEP. Je suis sous Copaxone®. La fatigue est un symptôme fréquent dans la SEP. Où en sont les essais de traitement par voie orale ?

Des molécules thérapeutiques efficaces par voie orale arrivent ! Se connecter à Facebook. Belle Gibson, ou l'importance de la littératie en santé - My Little Santé. Si vous êtes passé au travers de la fabuleuse histoire de Belle Gibson, c’est que la santé 2.0, les blogueurs et ePatients ne sont pas votre quotidien. Jusque là, rien que de très normal. En quelques mots, Belle Gibson est une star de la Santé 2.0 et l’une des blogueuses les plus influentes qu’il soit… Un ePatient Dave au féminin en quelque sorte. Cette jeune patiente, souffrant d’un cancer du cerveau, a réussi se soigner sans médecin et en développant sa propre thérapie basée sur un nouveau mode d’alimentation.

De l’autre côté de la planète – Belle est Australienne – la blogueuse a su séduire les médias, être invitée sur différents plateaux de TV, être éditée par Penguin, et aurait même réussi à convaincre Apple de co-développer une appli mobile de santé avec elle. Mais Belle Gibson est une fable… Belle a menti. Qu’il s’agisse d’une escroquerie, d’une affabulatrice ou d’une personne souffrant du syndrome de Münchhausen, je n’en ai aucune idée et mon propos n’est pas de la juger… Investir le Web pour un médecin. Médecins, psys ou neurologues sur Twitter : les comptes à suivre. Extrait de la série « Grey’s Anatomy » (ABC) Médecins généralistes, psys, gynécos, pharmaciens...

De nombreux professionnels de la santé bloguent (ils sont répertoriés dans Le club des médecins blogueurs) et/ou sont inscrits sur Twitter, souvent sous pseudo. Sur leurs fils, on tombe parfois sur des photos de pustules, de radios du genou, d’épaules défaites ou de drôles de cadeaux qu’ils reçoivent. Comme ce sac hippopotame en feutrine : Les docs parlent de leur métier et de ses dysfonctionnements, de leurs hésitations, leurs doutes et parfois leur impuissance ou leurs mains qui tremblent. Pour ces professionnels, Twitter est une manière de rompre l’isolement de leur cabinet et d’échanger entre confrères : avec le « hashtag » (mot-clé) #DocTocToc, ils sollicitent l’aide de leurs pairs sur des casse-tête de dosages, des questions de diagnostics ou des problèmes de compta.

En lisant les tweets, on rit souvent avec eux. Rendez-vous. Jamais la première fois avec le patient… et avec un futur confrère pas plus ! Orlando, le samedi 30 mai 2015 – Il y a quelques mois, le corps médical français se déchirait à propos de l’absence supposée de consentements des patientes auprès desquelles des étudiants se seraient entrainés à réaliser des touchers vaginaux. Les discussions qui accompagnèrent les révélations de quelques uns incitèrent certains à insister sur l’importance de développer plus largement les techniques de "simulation" afin d’éviter que les patients ne soient trop souvent assimilés à des "cobayes" (consentants ou non).

Dans un grand nombre de pays anglo-saxons (où les enjeux autour de la notion de consentement sont bien plus prégnants que dans l’hexagone) on a partiellement résolu le problème en promouvant l’expérimentation sur les pairs (Peer physical examinations, PPE). Les étudiants deviennent des terrains d’étude pour leurs camarades et vice versa, permettant de multiplier les exercices pratiques.

Pas d’échographie pelvienne, moins de chances de réussite ! Vers un scandale plus large ? Utilisation des réseaux sociaux par les professionnels de santé : bonnes pratiques. L'utilisation des réseaux sociaux par les professionnels de santé -dans les structures de santé et en dehors- se généralise. Elle nécessite de comprendre les enjeux et les risques d'atteinte à l'image associés à ces espaces d'expression à la fois publics et privés.

Quelles bonnes pratiques et précautions mettre en oeuvre pour garantir une utilisation appropriée des réseaux sociaux par les acteurs de santé ? Présentation des enjeux et illustration d'une démarche de sensibilisation menée au CHU de Bordeaux au travers d'un guide de bonnes pratiques sur les réseaux sociaux. Confidentialité des informations concernant le patient : rappel Plusieurs articles du Code de la santé publique imposent aux médecins et professionnels de santé un devoir de confidentialité concernant les informations relatives à l'état de santé des patients. Celuic-ci est notamment régi par : La loi du 4 mars 2002, qui a introduit l'article L.1110-4 du Code de la santé publique. Un accompagnement nécessaire Sources. Infographie Hakisa : La m-santé : du médecin au patient. Déontologie médicale sur le web - Zeblogsanté.

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins a fait paraître un Livre Blanc sur « Déontologie médicale sur le Web ». Une initiative très appréciable et essentielle pour la télémédecine qui doit être saluée. Ce document est dans la lignée des travaux effectués par l’Ordre depuis plusieurs années, qui ont permis « d’autoriser » les politiques à introduire la télémédecine et la télésanté dans le paysage sanitaire. Voici la lecture qu’on peut en faire. Résumé Plusieurs principes introductifs sont à retenir : Les TIC en santé doivent garantir la qualité de la médecine et renforcer la qualité de la relation médecin patient qui doit être au centre de toute réflexion.Les médecins ont un rôle participatif essentiel à la construction du web en santéToute activité médicale doit être soutenue par le principe éthique de bienfaisance.

Cinq chapitres ont été abordés : Discussion L’inscription du web comme outil favorisant la relation médecin-patient est un point central essentiel et fondateur. Propositions. Médecin de famille branché. En matière de consultation médicale et en première ligne, le médecin de famille est l’interlocuteur et le refuge manifeste des personnes en souffrance. C'est lui qui assure les préventions et soins courants mais qui conseille et guide en référant les patients, selon les cas de figure, vers les spécialistes et autres praticiens médicaux. Médecin de campagne, médecin de famille, médecin d'une cité ouvrière pendant près de quarante ans, Vladimir Guiheneuf raconte ses aventures et celles de ses patients dans un livre intitulé "Mémoires d'in médecin de campagne". Il témoigne d'une époque que les praticiens des temps modernes ne connaîtront peut-être jamais plus : celle où le médecin était à la fois écouté comme un oracle et gardien des secrets de famille.

Jean Sudres, pour sa part, a exercé à Laissac, en Aveyron, pendant 40 ans, sans compter son temps et son énergie; il émet cette profession de foi: Le médecin de famille est censé embrasser les vastes domaines de la maladie. Références. Réseau social de santé, quelle valeur ajoutée ? Internet, un atout pour la relation patient-médecin ? La e-santé fait une percée chez les médecins. Dans la santé, à chacun son réseau social ! Bon oui, je l’avoue, les réseaux sociaux, c’est mon grand dada. Twitter, Facebook, Path, Line… nous avons l’embarras du choix et je dirai même que chacun peut trouver chaussure à son pied. Dans la santé, le même mécanisme se dessine : patients et professionnels de santé n’ont plus qu’à s’inscrire ! Des patients en mode partage Depuis toujours, les patients ont eu besoin de partager leur expérience et évidemment l’essor des réseaux sociaux leur a donné un nouveau « terrain de jeu » idéal.

Idéal… enfin pas tout à fait car partager sa vie de patient c’est parfois partager ses données personnelles et le risque pour un patient est grand de divulguer un peu trop de sa vie privée et de son dossier médical sur la toile. Ne mélangeons pas les professionnels de santé Les professionnels de santé sont, eux, plus discrets sur les réseaux sociaux.

On voit ainsi de plus en plus de nouveaux réseaux dédiés, et même adaptés à chaque communauté médicale. Caroline. crédit photo : © NLshop. A-la-recherche-du-ePatient-externe.pdf. Distamed. Présentation. S santé connectée. Livre-blanc-deontologie-web-2012.pdf. SERMO, le plus grand réseau social pour les médecins aux Etats-Unis, annonce... -- NEW YORK, 8 avril 2015 /PRNewswire/ -- -- Les docteurs à travers le monde souhaitent rejoindre le plus grand réseau social réservé aux médecins aux Etats-Unis NEW YORK, 8 avril 2015 /PRNewswire/ -- Aujourd'hui SERMO, le pionnier et premier réseau social pour les médecins aux Etats-Unis, a annoncé son expansion à l'international, faisant de SERMO le premier réseau social médical mondial exclusivement réservé aux médecins. Logo - SERMO est comme un salon de médecins virtuel, un hôpital d'enseignement et une conférence médicale internationale, le tout en un.

Les médecins se réunissent sur le lieu de rencontre en ligne unique qui facilite des discussions authentiques, un apprentissage virtuel et une production participative médicale. Cette dernière est un nouveau phénomène de rupture dans les soins de santé qui permet aux médecins de mettre en commun tout leur savoir afin de résoudre des cas de patients. La médecine n'est pas infaillible et les médecins font appel l'un à l'autre. Le monde de la e-santé | Le monde de la e-santé : Pour en savoir plus sur la transformation du secteur de la santé vers la e-santé. Qu'est-ce que la Santé 2.0 : est-ce différent en France ? En 2007, nous étions peut-être quelques-uns en France, et en tous cas pas nombreux --- à nous intéresser à la chose 2.0 chez les médecins et les patients... J'annonçais ci et là l'arrivée du 1er Congrès Santé 2.0 aux Etats-Unis et ma participation au suivant. J'ai dit oui à Dominique Dupagne qui voulait publier sur Atoute quelques textes sur le 2.0.

Et influencée peut-être ou même sûrement par Amélie de 2001, j'ai proposé comme titre "le fabuleux destin de la Santé 2.0" publié pour la première fois en Novembre 2007, puis republié avec l'autorisation de Dominique sur mon knol et enfin sur ce blog denisesilber.com Le congrès Santé 2.0 Europe arrivant bientôt à Paris, divers articles paraissent chez les uns et les autres.

On se repose la question sempiternelle -- quelles différences entre la France et les Etats-Unis ? Comment cela a évolué depuis le début d'internet. C'est donc que les idées diffusent et que la Santé 2.0 progresse. Où en sont les États-Unis dans la Santé 2.0 ? CHU, CHR et réseaux sociaux · NoLauMa. Médecins Archives - Buzz-esanté.

Reseau-Infirmier. Le parcours de soin en 360° | La Santé dans la Cité. Odoxa, Orange Healthcare, la MNH, Le Figaro et France Inter, avec la concours scientifique de la Chaire Santé de Sciences Po ont réalisé la seconde vague de leur baromètre trimestriel à 360° sur la santé. Le parcours de soin en 360° : Dans ce sondage, des citoyens (échantillon représentatif de 3.001 personnes), des patients (échantillon de 708 patients ayant été hospitalisés dans les trois dernières années) et des médecins (échantillon de 399 médecins spécialistes et généralistes) ont été interrogés sur le parcours de soin. Si les réponses de ces trois cibles sont souvent assez convergentes, elles peuvent être aussi très différentes, particulièrement dans leurs perceptions de ce parcours.

Un clivage entre les médecins et les français (malades ou non) sur le rôle de l’hôpital dans le parcours de soins : Si 69% des Français et 72% des patients ont une perception satisfaisante du rôle de l’hôpital dans le parcours de soin, seul 49% des médecins le juge, eux, satisfaisant. Applis : les médecins de plus en plus connectés. L'Observatoire des usages numériques en santé révèle que les smartphones sont de plus en plus utilisés par les médecins, en particulier pour l’information et la prescription.

Quelle utilisation les médecins font-ils des smartphones ? C'est la question à laquelle répond le 3ème baromètre Vidal-CNOM (1) qui a sondé 2 154 praticiens. Première conclusion de cette enquête, les smartphones sont de plus en plus utilisés par les praticiens. Les médecins friands des sites d'actualités santéLes principaux résultats de cette nouvelle édition montrent notamment que les médecins utilisent de plus en plus leur smartphone pour aller sur internet (94 %), y compris en consultation (19 %). S'agissant de l'information qu'ils viennent chercher, les sites professionnels les plus consultés par les médecins sur leur smartphone sont les sites de bases de données médicamenteuses (77 % en 2014, contre 45 % en 2012).

Des inquiétudes sur la sécurisation des données (1) Conseil National de l'Ordre des Médecins. Communication santé 2.0. Médias sociaux, patients et partenariat de soins. Les médias sociaux permettent notamment la diffusion des savoirs experts, populaires ou expérientiels, peuvent favoriser le soutien social et jouer un rôle important dans la mobilisation collective des patients et de leurs proches.

Ainsi, bien que le personnel médical soit encore une source d’information privilégiée, les ressources en ligne, les forums de discussion, les médias sociaux, les blogues et autres sites traitant de la santé sont de plus en plus utilisés par la population (Fox et Jones, 2009). L’apparition d’une maladie constitue souvent la raison principale conduisant le patient à utiliser Internet et le Web social à la recherche d’information santé. Soulignons toutefois que «les études montrent combien les motivations et les raisons de consultation des sites proposant de l’information santé et maladie sont aussi variées que les parcours de santé ou de maladie des internautes » (Kivits, 2012, p. 46).

Ce texte a d'abord été publié sur le site Communication santé 2.0 Références : France : le web renforce la relation entre patient et médecin. Si l'intérêt des Français pour la recherche d'informations relatives à la santé reste à nuancer, ceux qui le font permettent de faire émerger un nouveau type de patient : le patient connecté, ou e-patient. Cela semble changer le regard porté envers et par le médecin. Avec l'arrivée des nouveaux outils que sont Internet puis les appareils mobiles, les usages des patients se modifient progressivement.

En effet, un sondage de TNS Sofres réalisé pour LauMa Communication et Patients & Web révèle que 57% des internautes ont déjà recherché des informations concernant la santé. L'étude, conduite sur une période d'un mois, a permis d'interroger un millier d'internautes et d'établir plusieurs constats. Entre autres, le web renforce la relation entre patient et médecin : pour 61% des personnes, Internet leur permet de mieux prendre en charge leur santé ou celle d'un proche, et 58% jugent plus riches leurs échanges avec leurs médecins. L'émergence du e-patient Un patient mobile. Libre Blanc D'un modèle de santé curative à un modèle préventif grâce aux outils numériques. « Le numérique en santé soulève des questions sociétales et éthiques graves » Les médecins doivent-ils « googleliser » leurs patients ? » MédecinGeek. Les réseaux sociaux et le monde hospitalier : un savant dosage à trouver. Réseaux sociaux : médecin et patient peuvent-ils devenir des « amis »

La santé connectée séduit médecins et patients. Guide de bonnes pratiques des réseaux sociaux - Fondation MACSF. PrendreSoin-JmbMars2015.pdf. ACS WebSanté | Améliorer la relation médecin-patient grâce aux réseaux sociaux. 20150325_cp_chu_toulouse_forum_reseaux_sociaux_application_smartphone.pdf. Réseaux sociaux et sites de partage - Médecine et Web 2.0.

Internet : un facteur de transformation de la relation médecin-patient ? A-la-recherche-du-ePatient-externe.pdf. Médias sociaux et médecins sont-ils incompatibles. Les réseaux sociaux et le monde hospitalier : un savant dosage à trouver.