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Santé

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L'exposition in utero au bisphénol A fragiliserait davantage les filles. Les fillettes exposées in utero au bisphénol A montrent davantage de troubles comportementaux à l'âge de 3 ans que celles dont la mère avait absorbé un plus faible niveau de ce composant chimique très répandu, selon une étude publiée lundi 24 octobre.

L'exposition in utero au bisphénol A fragiliserait davantage les filles

L'anxiété, la dépression et l'hyperactivité se rencontrent plus chez les petites filles dont les mères avaient d'importants taux de bisphénol A dans les urines pendant leur grossesse, indique cette étude dirigée par l'école de santé publique de l'université Harvard. "Cette tendance est plus prononcée pour les filles, ce qui suggère qu'elles sont plus vulnérables que les garçons à l'exposition au bisphénol A in utero", souligne l'étude publiée dans le journal Pediatrics. Le bisphénol A, composant chimique très répandu dans les objets de la vie quotidienne, est présent dans la plupart des bouteilles en plastique rigide et dans le vernis intérieur des boîtes de conserve et des canettes métalliques.

Le café en capsules, dangereux pour la santé ? Fonctionnement du cerveau & états de conscience avancés. 11e journée du sommeil consacrée à la somnolence. Manger bio n’est pas meilleur pour la santé. Les produits issus de l’agriculture biologique ne sont pas meilleurs pour la santé que les aliments ordinaires : ce sont les conclusions de Léon Guéguen et Gérard Pascal, chercheurs honoraires de l’Institut national de la recherche agronomique, dans une étude parue dans Les Cahiers de nutrition et de diététique.

Manger bio n’est pas meilleur pour la santé

Ces spécialistes en nutrition humaine et sécurité alimentaire ont examiné en détail plus d’une centaine d’articles scientifiques publiés depuis 2003. Ils constatent que «les faibles différences observées ne confèrent pas aux aliments “bio” un avantage nutritionnel ou sanitaire significatif dans un régime alimentaire global».

Léon Guéguen précise : « Nous avons décidé d’aborder les aspects toxicité, censés être plus favorables aux produits bio, et d’intégrer quelques études fiables publiées dans ce que l’on appelle la “littérature grise”. Une étude qui amène a réfléchir sur le contenu de notre assiette qu’on nous promet de plus en plus sain, mais a quel prix ? WordPress: Un Français sur trois gêné par le bruit au travail. Le bruit au travail gêne 39 % des actifs en France.

Un Français sur trois gêné par le bruit au travail

Selon une enquête Ipsos publiée le 7 mars et réalisée pour la Journée nationale de l'audition (JNA), 13 % des actifs se disent "très" embarrassés par le bruit, 26 % le sont "assez". Sans grande surprise, les variations sont fortes selon les fonctions occupées. Si 57 % des ouvriers éprouvent de la gêne, seuls 36 % des employés et 28 % des cadres supérieurs et professions intermédiaires se trouvent dans le même cas. De même, si 71 % des personnes travaillant sur un chantier de construction se disent dérangés, c'est le cas de 51 % des personnes évoluant dans un open space de bureaux ou une plateforme téléphonique, 47 % dans un atelier de production et même 18 % dans un restaurant d'entreprise.

Le bruit accroît de 24 % le risque d'accidents Plus d'un salarié sur deux ne bénéficie d'aucun contrôle auditif dans le cadre de leur travail. Au total, un Français sur trois (32 %) confie avoir des difficultés à entendre.