background preloader

Rythmes scolaires

Facebook Twitter

Projets éducatifs locaux : Une valorisation pour les enseignants ? L'exemple de Brest. Les enseignants doivent-ils légitimement s’inquiéter d’une démarche qui heurte des traditions centralisatrices, qui invite à une autorité partagée, voire qui est susceptible de les déposséder d’une partie de leurs missions ? Doivent-ils au contraire se réjouir que de nouveaux partenaires viennent les aider et les compléter dans leurs tâches essentielles, et même se féliciter que l’éducation s’ouvre à de nouveaux lieux et temps d’apprentissage, à de nouveaux acteurs, à de nouvelles formes de travail, plus collaboratives, susceptibles peut-être de reconfigurer les territoires et de recréer du lien social ? C'est la question posée par les Projets Educatifs Locaux (PEL) portés par les communes.

B. Suchaut : Rythmes scolaires : Une équation impossible ? Refondation : "Temps scolaire : refondation ou relooking ?" - B. Suchaut. "Si le principe même de la concertation et de la négociation est d’arriver à des propositions, qui sans viser le consensus, soient tout de même acceptables pour les acteurs, le risque principal est d’oublier celui qui est le premier concerné et pour qui l’école existe : l’élève.

Refondation : "Temps scolaire : refondation ou relooking ?" - B. Suchaut

Un second risque est au final que la refondation attendue ne se limite qu’à un relooking". Trois questions à Bruno Suchaut. Rythmes scolaires : le temps de l'action - Propos recueillis par Christine Leroy, article Éducation. Le 5 juillet 2012 s’ouvrait la concertation sur la refondation de l’école, devant donner lieu à l’automne à une loi de programmation et d’orientation.

Trois questions à Bruno Suchaut. Rythmes scolaires : le temps de l'action - Propos recueillis par Christine Leroy, article Éducation

Comment mettre en œuvre une nouvelle organisation des rythmes scolaires ? Voilà une des questions majeures à l’ordre du jour. Au-delà des opinions divergentes et des intérêts contradictoires, le pragmatisme est de mise. C’est dans cette perspective que Bruno Suchaut propose, à partir d’une synthèse des recherches, les éléments d’une nouvelle organisation du temps à l’école primaire.

En Europe, la France se distingue en concentrant l’un des plus grands nombres d’heures de classe (journée la plus longue, année scolaire la plus courte) pour des résultats très moyens. Les principes généraux sont connus. Tous les travaux le montrent, plus que la quantité, c’est la qualité du temps d’enseignement qui influence les apprentissages des élèves. Les marges de progression sont fortes dans ce domaine par rapport à la situation actuelle. B. Suchaut : Pour une nouvelle organisation du temps scolaire. Bruno Suchaut, actuellement directeur de l'Unité de recherche pour le pilotage des systèmes pédagogiques (URSP), propose une autre organisation du temps scolaire au primaire qui optimise à la fois la qualité du temps scolaire et réduise le coût du temps périscolaire.

B. Suchaut : Pour une nouvelle organisation du temps scolaire

L'étude " vise avec une approche très pragmatique, à s’interroger sur un schéma d’organisation du temps qui intègre les différents aspects liés à ce questionnement qui nous semblent indispensables et qui dépassent la seule dimension des rythmes de l’enfant pour cibler, de manière plus générale, l’amélioration du fonctionnement de l’école primaire". Elle se propose " d’améliorer l’usage du temps d’enseignement avec l’idée de préférer la qualité à la quantité" et de mieux articuler le temps d'enseignement et le temps du périscolaire. Pour cela B Suchaut propose de diminuer d'une heure le temps d'enseignement et de le ramener à 23 h hebdomadaires pour les élèves au lieu de 24 mais mieux situées.

F. Jarraud L'étude. Pour une nouvelle organisation du temps scolaire à l'école primaire Bruno Suchaut. Peillon et la semaine de cinq jours: les rythmes scolaires, ça donne quoi ailleurs? Le nouveau ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, a annoncé lors de sa première journée à son nouveau poste, jeudi 17 mai sur France Inter, que la France reviendrait à la semaine de cinq jours dans les écoles primaires à la rentrée 2013, en laissant le choix aux collectivités entre le mercredi matin et le samedi matin.

Peillon et la semaine de cinq jours: les rythmes scolaires, ça donne quoi ailleurs?

Nous republions à cette occasion un article de juin 2010 où nous décrivions les rythmes scolaires des principaux pays européens. publicité La France: un rythme très soutenu. Rythmes scolaires : et les programmes ??? (c) Martin Vidberg Douze heures à peine après sa nomination, Vincent Peillon a fait sa première annonce en tant que ministre de l’Education Nationale, à la matinale de France Inter hier jeudi 17 mai : à la rentrée 2013, les 6,6 millions d’élèves de primaire vont travailler à nouveau 5 jours par semaine.

Rythmes scolaires : et les programmes ???

La semaine de 4 jours, instaurée par Darcos en 2008, n’aura duré que l’espace d’un quinquennat. Evidemment cette annonce est éminemment symbolique. Peillon, numéro 3 du gouvernement, veut montrer qu’il se met au travail immédiatement, suivant la feuille de route fixée par le nouveau Président, sur un sujet qui figurait dans le programme de campagne de Hollande et qui concerne l’école primaire, dont ce dernier avait dit qu’elle serait sa priorité. Un sujet, aussi, ce n’est pas anodin, qui concerne toute la communauté éducative (enfant, parent, prof) et bien au-delà (collectivités locales, associations, lobbys divers…). Rythmes scolaires : La JPA propose des solutions consensuelles. Par François Jarraud Six mois après la création de sa plateforme d'échanges sur les rythmes scolaires, la Jeunesse au plein air propose des solutions acceptées à l'unanimité par les principaux acteurs de l'Ecole.

Rythmes scolaires : La JPA propose des solutions consensuelles

Elle met ainsi le ministre au pied du mur. Juin 2010 : la Jeunesse au plein air, une confédération d'organisations qui défendent l'existence de vacances et de loisirs éducatifs complémentaires des temps scolaires et familiaux, crée une plateforme d'échanges à laquelle participent notamment les syndicats, les parents de la Fcpe et les représentants des collectivités locales de l'ANDEV. Janvier 2011 : la JPA prend de vitesse le comité de pilotage de la Conférence nationale sur les rythmes scolaires et fait des propositions concrètes au nom de la plateforme d'échanges.

La plateforme fait un certain nombre de propositions précises. Concernant le rythme hebdomadaire, la plateforme demande une organisation sur 9 demi-journées et 24 heures d'enseignement au primaire.