Les robots sur Mars : A la conquête de la planète rouge. Depuis 1996, la NASA conçoit et envoie des véhicules-robots destinés à l’exploration de la planète Mars.
Chacun de ces engins spatiaux a eu pour mission de recueillir des indices susceptibles de montrer que cette planète pourrait ou non abriter la vie. Opération Mars Exploration Rover (MER-A et MER-B) Après la sonde Pathfinder, lancée en 1996 et posée sur Mars en 1997, une autre mission fut mise en place par la NASA sous les appellations MER-A et MER-B.
Il s’agissait d’une mission impliquant deux robots-rover, dont l’objectif consistait à analyser le sol de Mars et à rechercher, en particulier, des traces d’eau dans le passé géologique de cette planète. MER- A, lancé en 2003 sous le nom Spirit, a atterri sur Mars, le 3 janvier 2004, au cœur du cratère Gusev. Le Mars Science Laboratory et le robot Curiosity En 2011, la NASA a conçu un autre astromobile, nommé Curiosity, qui a atterri sur Mars l’année suivante. A quoi s’attendre des futurs robots spatiaux ? Cap sur Mars? Quels signes de vie chercher et comment? 2021, une année faste pour l'exploration spatiale. Les grands débuts de Crew Dragon, des échantillons d'astéroïdes récoltés et pour certains, ramenés sur Terre, un rover envoyé sur Mars, une sélection d'astronautes pour retourner marcher sur la Lune.
Du côté de l'exploration spatiale au moins, l'année 2020 a été bonne. Et sur le papier, 2021 devrait être encore meilleure ! Pour l'exploration spatiale, 2021 s'annonce comme une année exceptionnelle ! Voici un petit aperçu des événements d'ores et déjà les plus attendus. Conquête spatiale : futurs matériaux pour enjeux nouveaux. Bientôt un chantier de construction pour des robots dans l'espace. La construction et l'assemblage d'éléments spatiaux en orbite sont des techniques que la Nasa souhaite maîtriser alors que se prépare le retour sur la Lune et qu'il est envisagé d'envoyer des humains sur Mars au cours de la décennie 2030.
La Nasa vient de confier à Maxar Technologies une mission de démonstration technologique d'assemblage en orbite d'une antenne de communication et d'une poutre. En prévision de ses futures missions d'exploration robotiques et habitées à destination de la Lune et de Mars, la Nasa souhaiterait avoir la capacité de construire et d'assembler en orbite certaines pièces de satellites, voire des éléments d'infrastructures spatiales.
Cette idée, loin d'être une lubie d'ingénieurs, présente plusieurs intérêts. Ce projet a aussi un intérêt économique. Aujourd'hui, les satellites sont conçus pour fonctionner sans maintenance ni modification pour toute leur durée de vie orbitale. Cela vous intéressera aussi Intéressé par ce que vous venez de lire ? Des nouveaux robots pour l'exploration spatiale. Curiosity a fait son temps.
Les aventures de ce petit robot envoyé sur Mars par la NASA tiennent en haleine des millions de passionnés depuis six ans. Mais les experts sont formels : pour maximiser nos chances de découvrir la vie sur un autre astre, il nous faut désormais explorer les limites de notre système solaire. Un défi de taille pour l'humanité. Car les distances à parcourir seront bien plus grandes que les 76 millions de kilomètres qui, en moyenne, nous séparent de la planète rouge. Sans parler de l'environnement hostile de certains astres, rendant les explorations difficiles voire impossibles.
Plus légers et plus résistants Au cours de leurs futures missions, les robots devront effectuer des opérations complexes à des températures largement inférieures à zéro. Pour y arriver, les logiciels fournis par l'éditeur sollicitent l'intelligence artificielle afin d'explorer un maximum de designs. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement. Découvrez le drone à propulsion nucléaire Dragonfly. Lorsque la Nasa a annoncé, à la fin du mois du juin 2019, qu’elle comptait envoyer un drone sur Titan, la plus grande lune de Saturne, il y eu de quoi être surpris : un quadricoptère à peine plus grand que notre drone du dimanche pour survoler des paysages inconnus, comme le ferait un petit avion de tourisme, à près d’un 1,5 milliard de kilomètres de la Terre ?
Oui, le projet a de quoi faire écarquiller les yeux. D’autant qu’il faudra près de huit ans à ce petit appareil pour rejoindre cette lune plus grosse que Mercure : la mission Dragonfly débutera en 2026 – date du décollage –, pour une arrivée en 2034 à la surface de Titan. Des technologies de pointe, certes, mais déjà utilisées La tâche de ce petit engin, surnommé lui aussi Dragonfly, sera assurément hors-norme : il s’agira pour lui de voler dans le ciel de cet astre inexploré à l’aide de ses huits rotors, et ce de façon totalement autonome. Dragonfly : la Nasa va partir en mission vers Titan sur les traces des origines de la vie. Les véhicules aériens d'exploration robotique ont la cote auprès de la Nasa.
Après l'hélicoptère de Mars 2020, qui sera lancé l'année prochaine à destination de Mars, la Nasa a donné son feu vert au drone Dragonfly pour l'exploration de Titan. Ce drone sera lancé en 2026 et devrait rejoindre le plus gros satellite de Saturne en 2034. Chine 1 La Chine s'apprête à lancer une sonde sur la Lune pour ramener des échantillons. La Chine va décrocher (des morceaux de) la Lune.
L'agence spatiale chinoise a annoncé lundi 23 novembre l'envoi, mardi matin, d'une sonde destinée à collecter des poussières et des roches lunaires. Cette mission, baptisée Chang'e 5 (en référence à Chang'e, déesse de la Lune dans la mythologie chinoise) est la première opération du genre depuis plus de 40 ans. Elle constitue la nouvelle étape de l'ambitieux programme spatial chinois, qui avait frappé un grand coup début 2019 en faisant atterrir un engin sur la face cachée de la Lune, une première mondiale. Tout est prêt, selon les médias officiels. Chine 2 Alunissage de la sonde chinoise Chang’e 5 : flip and collecte. A 15 h 58 (heure de Paris), la sonde devait quitter son orbite lunaire et commencer sa descente.
A 16 h 05, tout le monde retenait son souffle. A 16 h 08, la Chine a coupé les communications. A 16 h 11, ça commençait à sentir le roussi. A 16 h 13, on apprenait que la sonde a bien touché la surface de la Lune, et qu’on peut sortir le champagne. Que d’émotions ! Ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’un vaisseau spatial chinois pose ses pattes métalliques sur notre satellite naturel. CCTV-13 just ran this. L’alunissage de la sonde Chang’e 5, publié par la télé chinoise quelques minutes après l’heure H. A lire aussiInde et Chine, leur part du croissant lunaire Lacunaire Il y a pourtant un aspect sur lequel l’agence spatiale chinoise, la CNSA, ne s’inspire clairement pas du modèle occidental : celui de la communication. On sait que Chang’e 5 a décollé lundi 23 novembre à bord d’une fusée Longue Marche 5 depuis le centre spatial de Wenchang. Emission interrompue «Succès» Carottes. Chine 3.
Chine 4 Chang'e 5 est de retour sur Terre avec sa cargaison d'échantillons lunaires. Avec sa mission de retour d'échantillons lunaires Chang'e 5, l'Agence spatiale chinoise enchaîne les performances technologiques.