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Economie

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Aux frais de la princesse : le coût des monarchies. Bien qu’ayant les dépenses les plus élevées de toutes les familles royales, les Windsor coûtent moins cher à chacun de leurs sujets que la plupart des monarques européens.

Aux frais de la princesse : le coût des monarchies

Tour d’horizon des têtes couronnées. Toutes les plus grandes familles couronnées européennes se sont donné rendez-vous hier jeudi à Londres pour commencer les célébrations du mariage du prince William et de Catherine Middleton. Après un dîner de retrouvailles dans le centre de la capitale, ils se sont rejoints ce matin à l’Abbaye de Westminster pour le début de la cérémonie, prévu à 11h heure locale. Celle-ci est intégralement payée par la famille du prince, au soulagement de nombreux contribuables. Si l’implication financière de l'Etat se limite finalement au coût de la sécurité de l’événement, la famille royale britannique demeure néanmoins la plus coûteuse de toutes les monarchies européennes. Des milliards de marks ne valent plus rien. La sortie de l'euro aurait des conséquences dramatiques.

Des milliards de marks ne valent plus rien

Les seuls éventuels gagnants seraient ceux qui ont conservé dans leurs bas de laine leurs anciennes devises nationales. Un pactole de plusieurs milliards qui ne vaut plus un sou. La monnaie unique n’a pas la cote. Face à l’envol des dettes souveraines des pays de l’UE, les nostalgiques de leurs bonnes vieilles devises nationales sont nombreux. En Allemagne, une majorité des personnes sondées en juin 2010 par l'institut Ipsos (51,4%) souhaitait retourner au deutsche mark. 4 milliards de francs partis en fumée.

Une facture de 3 milliards d’euros pour les ménages. Of Les Portugais échappent au pire. Le FMI, l'Union européenne et Banque centrale européenne vont aider le Portugal.

of Les Portugais échappent au pire

Avec pour objectif d’éviter un scénario à la grecque ou à l’irlandaise. Le ministre des Finances prévoit une reprise économique en 2013. Mais d'ici là, les Portugais vont serrer leurs ceintures de plusieurs crans. "Nous avons évité le pire. " les Portugais ont poussé un soupir de soulagement en apprenant que certaines mesures très impopulaires ne figureraient pas dans l’accord négocié entre le gouvernement et la Troïka de l’aide internationale. Parmi celles-ci figuraient en bonne place la suppression des primes de vacances et de noël. Il paraît logique que les réformes envisagées évitent de s’en prendre à ce bonus de pouvoir d'achat, ceci d’autant plus que l’impopularité de la mesure risquait d’aggraver la tension sociale.

Une ardoise lourde Il faudra pourtant payer. Les prestations sociales (indemnités chômage, de congés parentaux) vont être soumises à l’impôt. Des réformes structurelles. Séisme mortel et redressement économique.