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Revenu de base, revenu de vie, dividende universel

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L'allocation universelle libérale. Tous les analystes économiques et politiques le disent, les marchés ont besoin, pour retrouver confiance, non pas de recettes techniques de réduction des dépenses ou d'augmentation des impôts, mais d'une vraie vision à long terme de l'organisation des finances publiques.

L'allocation universelle libérale

Au delà des rustines financières et des grandes déclarations rassurantes, ce n'est rien moins qu'une autre méthode de fonctionnement de notre sociale-démocratie qu'il faut envisager. Le mécanisme de l'Allocation universelle, s'il est accompagné de réformes institutionnelles, fournit une réponse intéressante car il permet de faire sortir le social du champ politique. Il s'agit de rendre l'aide sociale aussi indépendante du gouvernement que la justice ou la monnaie devraient l'être.

Notre pays consacre près de 60% des dépenses publiques à la protection sociale. L'allocation universelle libérale (AUL) : fonctionnement, financement et conséquences attendues. Montant : pas de fixe et une garantie d'équilibre. Conclusion. Pour résoudre la crise financière : Le revenu de base pour tous ! - Actif et militant sur LePost.fr (09:10) Si des pays comme le Boutan ont inspiré à l'ONU cette idée d'un ministère du bonheur avec le bonheur national brut comme indicateur économique, pourquoi serions-nous incapables de mettre en place des idées permettant à chacun d'entres-nous de vivre dans l'épanouissement personnel en respectant son propre rythme et non plus cette vie effréné des systèmes de production et surproduction alors qu'il convient d'accepter que nous devions nous orienter vers des sociétés de décroissance dans un monde où les énergies ne sont pas illimitées (pétrole, gaz, minerais, etc.) et qu'il faudra bien réduire nos modes de consommations inconsidérés avant qu'il ne soit trop tard.

Pour résoudre la crise financière : Le revenu de base pour tous ! - Actif et militant sur LePost.fr (09:10)

Ni le "travailler plus pour gagner plus", ni le "du travail pour tous". Présidentielles 2012 : La gauche et la droite se trompent de chemin ! - Actif et militant sur LePost.fr (16:01) Bonjour à vous !

Présidentielles 2012 : La gauche et la droite se trompent de chemin ! - Actif et militant sur LePost.fr (16:01)

C'est étonnant comme les politiques sont stériles et nous rabâchent continuellement les mêmes discours ringards d'un autre temps. A les entendre, il faudrait encore travailler plus pour produire plus, pour en définitif mieux permettre au pouvoir de contrôler notre misérable existence… Rien de tel que l'idéologie du travail pour mieux nous asservir… Il faut reconnaître qu'en période de récession européenne c'est d'un comique avéré que cette notion de travailler plus pour réduire les déficit ! Alors que les pays européens vont faire un nouveau bond dans les pourcentages du chômage (La France va dépasser les 10 % prochainement !)

Alors même que ceux qui ont gouverné ces quinze dernières années comme ministre des finances (des gaspillages serait plus juste !) Mais comment se fait-il que pratiquement personne (ou presque !) Comment se fait-il qu'aucun parti, ni aucun/e candidat/e ne propose comme finalité le bonheur pour tous et non pour quelques uns ?

En Allemagne : Le Revenu de Base pour tous fait son chemin. Un revenu de base pour tous? Pas si utopique que cela! SUISSE - Un ouvrage collectif de l'association BIEN-Suisse dévoile plusieurs modèles de financement pour mettre en oeuvre un revenu garanti inconditionnel en Suisse.

Un revenu de base pour tous? Pas si utopique que cela!

Décryptage. Garantir à tous un revenu de base d'un bout à l'autre de l'existence, c'est l'idée promue depuis trente ans par le Basic Income Earth Network (BIEN), un réseau associatif actif au plan mondial. «Le revenu de base est une sorte de rente à vie, payée à chaque individu, sans condition ni contrepartie, d'un montant suffisant pour vivre dignement», résume Albert Jörimann, président de la section suisse. L'ambition de cette association, qui se veut apolitique, est de proposer un modèle adapté aux conditions de l'économie globalisée, caractérisée, entre autres, par une flexibilité et une fragilité accrues des conditions de travail. Parti Pour La Décroissance » Une Dotation Inconditionnelle d’Autonomie pour tous. « L’homme ne désire pas par nature gagner de plus en plus d’argent, mais il désire tout simplement vivre selon son habitude et gagner autant d’argent qu’il lui en faut pour cela ».

Parti Pour La Décroissance » Une Dotation Inconditionnelle d’Autonomie pour tous

Max Weber Téléchargez le document en pdf Une proposition centrale des objecteurs de Croissance est l’instauration d’une Dotation Inconditionnelle d’Autonomie (DIA), versée à tous et de manière égale de la naissance à la mort, afin de garantir un niveau de vie décent déconnecté de l’occupation d’un emploi1.

Cette dotation serait individuelle, inaliénable et cumulable à tout autre revenu et traduirait la reconnaissance de la contribution de chaque individu à travers l’ensemble de ses activités, notamment non-marchande. Pour ou contre le revenu de base inconditionnel ? L’idée d’un revenu de base a été émise par Thomas More qui en a conçu une forme embryonnaire dans son Utopia en 1516 déjà.

Pour ou contre le revenu de base inconditionnel ?

Des penseurs rationalistes, dont quelques pères fondateurs des Etats-Unis, ont creusé ce concept repris dans les années 1930 après la Grande Dépression. Le revenu de base occupe à nouveau les esprits depuis les années 1980. C’est effectivement en 1986, en Belgique et sur l’impulsion de l’économiste-philosophe Philippe Van Parjis, qu’a été fondée BIEN, acronyme de Basic Income European Network (aujourd’hui Basic Income Earth Network). Parmi les autres activistes de la première heure, signalons Guy Standing et Eduardo Suplicy, qui a joué un rôle important lors de l’introduction du revenu de base dans la Constitution brésilienne en 2004. En Allemagne, les professeurs Michael Opielka, Claus Offe, Georg Vobruba travaillent sur ce thème depuis des décennies.

En Suisse, la filiale de BIEN [1] s’est constituée en 2001 pour préparer le congrès européen à Genève. Revenu de base inconditionnel. Allocation Universelle. 10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie. Marc Vasseur a tristement raison : le « revenu citoyen de Villepin fait pour l’instant quasi lettre morte.

10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie

Pourquoi ? Parce que le revenu de vie n’est pas une idée de loi de plus pour législateur ennuyé. Le revenu de vie est un véritable levier pour un changement de société. C’est une idée puissante dans un sens, mais également complexe à aborder car elle nécessite d’avoir une vision globale des problèmes de notre société.

Clairement, les journalistes qui s’emparent aujourd’hui de la question sont largués car ils abordent le revenu universel avec leurs questions de journalistes c’est à dire des questions de tenants du système, et non de progressistes qui essayent d’en changer les règles. Bref, afin de mieux expliquer tout cela, je me suis lancé dans une petit « FAQ » visant à répondre aux 10 objections que j’entends le plus souvent. 1. Pour certains, le revenu universel est une idée libérale qui vise uniquement à se débarrasser de l’état providence. 2. 3. 4. 5. 6.

Oui, et alors ? 7. 8. La gauche doit proposer un nouveau pacte social. Article écrit pour Politiko.fr Les élections primaires du parti socialiste viennent de battre leur plein ces deux dernières semaines, mais les propositions, elles, continuent de sonner creux.

La gauche doit proposer un nouveau pacte social

Plus que jamais, le problème du PS n’est pas qu’il se meurt, c’est qu’il ne finisse pas de mourir, continuant ainsi de donner de stériles espoirs à une grande partie des français qui attendent pourtant de véritables solutions alternatives qui pourraient enfin apporter à la société un renouveau démocratique, économique et social. Puisque rien ne viendra des politiciens, c’est à nous d’exprimer nos demandes.

Dans cet article, j’aimerais commencer par aborder la nécessité d’un renouveau du pacte social français, en montrant que le système actuel est fondé sur des mythes qu’il convient de dépasser : les acquis sociaux, le plein emploi, l’État protecteur. Les acquis sociaux, oui mais pour qui ? La fin des politiques pro-emploi. Document sans nom.