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Banques/Bank

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Les informations bancaires de WikiLeaks seraient sans intérêt. LONDRES, 10 février (Reuters) - Les révélations susceptibles de faire "tomber une banque ou deux" promises par le fondateur de WikiLeaks Julian Assange ne seraient pas si explosives qu'il le prétend, dit-on dans son entourage. L'informaticien australien ignore la valeur des données internes de Bank of America (BAC.N: Cotation) dont il promet la publication imminente, selon les conversations qu'il a eues en privé avec trois proches. Julian Assange, disent-ils, leur a confié qu'il s'agissait de courriers électroniques provenant du disque dur d'un cadre de l'établissement dont le plus récent serait de 2006. Il dit ignorer si leur contenu est ou non explicite et reconnaît ne pouvoir en tirer quoi que ce soit par lui-même, précisent ses proches. De gros efforts de la part d'experts financiers seraient, selon lui, nécessaires pour en évaluer l'intérêt. © Thomson Reuters 2014 Tous droits réservés.

Banker Hands Tax Evasion Docs to WikiLeaks. WikiLeaks s'attaque au secret bancaire. Julian Assange, le patron de WikiLeaks, a réceptionné lundi 17 janvier 2011 à Londres deux CD contenant les noms de 2 000 personnalités ayant des comptes dans des paradis fiscaux. Une quarantaine d'hommes politiques y figureraient. Plusieurs semaines seront nécessaires avant de publier ces informations bancaires qui devrotn d'abord être vérifiées par le site WikiLeaks, a précisé Julian Assange.

Avec notre correspondante à Londres, Muriel Delcroix C’est au cours d’une conférence de presse savamment mise en scène devant une cohue de journalistes, que Julian Assange a symboliquement pris livraison de deux CD cencés contenir des informations compromettantes sur quelque 2 000 détenteurs de comptes en banques domiciliés dans des paradis fiscaux. C’est Rudolf Elmer, un ancien banquier suisse, qui a confié au fondateur de WikiLeaks ces données confidentielles dans l’espoir de faire connaître à la société les pratiques cachées et illégales des comptes offshores.

WikiLeaks: Un ancien banquier suisse devant les juges pour violation du secret bancaire. L'ancien banquier suisse Rudolf Elmer, dont le procès pour violation du secret bancaire s'est ouvert mercredi à Zurich, a reconnu avoir communiqué des données bancaires privées au fisc helvétique. Il a toutefois démenti avoir menacé ou fait chanter son ancien employeur, la banque Julius Baer. «L'éthique des dirigeants du monde des affaires, des deux côtés de l'Atlantique, m'a déçu», a-t-il dit devant ses juges. Il a expliqué qu'il voulait dévoiler au grand jour des transactions bancaires illégales aux îles Caïmans, paradis fiscal et archipel britannique des Antilles. Rudolf Elmer a affirmé que la banque Baer l'avait persécuté, lui et sa famille, et avait tenté d'acheter son silence 500.000 francs suisses (près de 390.000 euros). Agé de 55 ans, Rudolf Elmer est le premier à avoir utilisé le site internet WikiLeaks pour diffuser des documents bancaires privés.

Bank of America Website Restored. WikiLeaks révèle les marchandages des banques centrales. Le site internet WikiLeaks poursuit ses révélations. Quelques jours après avoir révélé les malversations d'Omar Bongo via la BCEAC au profit des partis politiques français, le célèbre site a révélé que la banque centrale irlandaise avait réclamé à la Réserve Fédérale américaine en plein effondrement du système financier du pays en 2008 une aide d'un milliard de dollars. Le gouverneur Oddsson s'était adressé directement à Timothy Geithner, qui était à l'époque président de la Fed de New York. En pleine crise systémique dans le pays, alors que les trois principales banques nationales sont en train de sombrer tel le Titanic, l'Islande n'a d'autre recours que de se tourner vers ses alliés. Les américains ont notamment toujours été très proches de l'île en raison du maintien d'une base militaire très importante sur le territoire, dont l'intérêt stratégique a été réduit avec la disparition de l'URSS.

BANK OF AMERICA. Un ex-banquier suisse dit vouloir remettre des données à WikiLeaks | Tribune de Genève.