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Web social / Dominique Cardon

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Réseaux sociaux de l'Internet. Nicole Ellison et danah boyd définissent les sites de réseaux sociaux comme « des services Web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public dans le cadre d’un système délimité, d’articuler une liste d’autres utilisateurs avec lesquels ils partagent des relations ainsi que de voir et de croiser leurs listes de relations et celles faites par d’autres à travers la plateforme [2][2] d. boyd et N. Ellison, «? Social Network Sites? : Definition,... ». La nouveauté apportée par les réseaux sociaux de l’Internet tient donc à la mise en place progressive de la liste d’amis comme principal outil de navigation.

En effet, la réussite des plates-formes relationnelles du Web 2.0 doit beaucoup au fait que les personnes y exposent différents traits de leur identité. Dans la zone en clair-obscur de l’Internet, la conversation emprunte beaucoup plus aux formes dialogiques de l’échange interpersonnel entre interlocuteurs ratifiés qu’à la prise de parole publique distanciée. Le design de la visibilité. Notes Ce texte a bénéficié des travaux entrepris dans AUTOGRAPH (ANR) et dans le groupe de recherche sur le web 2.0 d’Orange Labs.

Les multiples discussions du mercredi matin avec N. Pissard, dont les intuitions sont à l’origine de cette typologie, C. Aguiton, J. -S. Beuscart, M. Dans le numéro 153, Réseaux proposera un ensemble d’études de cas portant sur Flickr, Wikipedia, MySpace, les blogs politiques, Second Life et les wikis d’entreprise. GROSS et ACQUISTI, 2005. La notion de subjectivation fait l’objet d’acceptions très différentes dans les sciences sociales. ALLARD et VANDENBERGHE, 2003. DONATH et BOYD, 2004 ; BOYD et ELLISON, 2007. HENNION, MAISONNEUVE et GOMART, 2000. On sait toute l’ambiguïté qu’il y a à définir la personne comme « réelle » et à marquer ainsi la séparation entre « vie réelle » et « vie numérique ».

McKENNA, GREEN et GLEASON, 2002. A cet égard, on ne peut que se fier aux manuels de conseils destinés à aider les pratiquants des sites de rencontre : ne trichez pas ! Revue Réseaux 2008/6, Réseaux sociaux de l'Internet. Les sociabilités numériques par Dominique Cardon. Posted on 6 juillet 2012 by Bambou Dans le cadre d’un cycle* de conférences consacrées à la culture numérique, la MIOP a invité le sociologue Dominique Cardon**, pour une communication centrée sur les relations entre les usages des nouvelles technologies et les pratiques culturelles et médiatiques. Cette communication (passionnante !) , réalisée en mars 2012 à l’auditorium de la médiathèque de Miramas, a été enregistrée sous forme audio-visuelle, en 2 parties. Bambou vous propose de la visionner dans son intégralité, avant diffusion sur l’espace professionnel du portail de la MIOP.

Les sociabilités numériques (1ère partie) / Dominique Cardon Les sociabilités numériques (2ème partie) / Dominique Cardon * Nos 2 prochaines conférences (septembre et novembre 2012): - "Lecture numérique : réalité augmentée ou diminuée ? " - "La culture est-elle soluble dans l’ebook ? 10 propriétés de la force des coopérations faible. Dominique Cardon, Maxime Crepel, Bertil Hatt, Nicolas Pissard, Christophe Prieur du laboratoire Sense d’Orange Labs ont synthétisé les 10 principes de fonctionnement des plateformes relationnelles.

Ces caractéristiques génériques, que l’on retrouve dans la plupart des plateformes à succès du web 2.0, ne mettent pas en valeur un esprit communautaire, comme on le croit souvent, mais exploitent « la force des coopérations faibles », c’est-à-dire favorisent une dynamique de bien commun à partir de logiques d’intérêt personnel. Un schéma pour comprendre les modes de coopérations et le web d’aujourd’hui. Les nouveaux usages des plateformes relationnelles du web 2.0 (blogs, Flickr, Wikipedia, MySpace, Facebook, Twitter, etc.) font apparaître des modes de collaboration inédits entre utilisateurs. En écho au célèbre article de Mark Granovetter sur la force des liens faibles (.pdf), on propose de qualifier ce modèle de coopérations faibles [1]. 1.

L’individualisme démonstratif. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Jusqu'où va la démocratie sur Internet ? Interview de Dominique Cardon. Dominique Cardon, chercheur au laboratoire des usages de France Télécom R&D, a publié La Démocratie Internet. Promesses et limites (Seuil) en 2010. Nonfiction.fr l'a longuement interrogé sur les rapports entre le débat public et l'outil Internet. Nonfiction.fr- Est-ce que vous pensez que la société de conversation qui s’est développée sur Internet peut s’élever au débat d’idées ?

Dominique Cardon- Il faut d’abord s’entendre sur ce que l’on entend par "idée". Dans l’imaginaire de l’Internet participatif, on a souvent considéré que, par un brusque renversement, tous, amateurs et professionnels, allaient produire de l’information et des idées créatives. Après observation, et avec un peu de recul, on se rend compte que les internautes produisent peu d’informations, au sens où on l’entend dans l’espace médiatique traditionnel. Beaucoup se gaussent, et se rassurent, en se disant qu’il ne s’agit finalement que d’un immense bavardage de commentateurs insatisfaits et obsessionnels. Dominique CARDON - ORANGE Labs - une vidéo High-tech et Science.

Les outils Web 2 de l'identité numérique. Sociogeek. Enjeux sociologiques des réseaux sociaux de l'Internet - une vidéo Actu et Politique. Dominique Cardon "le design de la visibilité" « Les Identités Numériques. Dominique Cardon est sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et chercheur associé au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS/EHESS). Ses recherches sur « le design de la visibilité » exposent les différentes identités que l’on peut adopter sur l’internet et quelle visibilité ces identités numériques peuvent avoir en fonction des plateformes que l’on côtoie.

Ses travaux actuels portent sur les relations entre les usages des nouvelles technologies et les pratiques culturelles et médiatiques. Il s’intéresse notamment aux transformations de l’espace public sous l’effet des nouvelles technologies de communication. Ses recherches récentes portent sur les réseaux sociaux de l’Internet, les formes d’identité en ligne, l’auto-production amateur et l’analyse des formes de coopération et de gouvernance dans les grands collectifs en ligne. Le sociologue Dominique Cardon, décrit les différentes visibilités de nos Identités numériques avec des schémas très explicites. Sources : J'aime : Le design de la visibilité : un essai de typologie du web 2.0. La manière dont est rendue visible l’identité des personnes sur les sites du web 2.0 constitue l’une des variables les plus pertinentes pour apprécier la diversité des plateformes et des activités relationnelles qui y ont cours.

Que montre-t-on de soi aux autres ? Comment sont rendus visibles les liens que l’on a tissés sur les plateformes d’interaction ? Comment ces sites permettent-ils aux visiteurs de retrouver les personnes qu’ils connaissent et d’en découvrir d’autres ? Dominique Cardon, sociologue au laboratoire Sense d’Orange Labs, propose ici une typologie des plateformes relationnelles du web 2.0 qui s’organise autour des différentes dimensions de l’identité numérique et du type de visibilité que chaque plateforme confère au profil de ses membres. La décomposition de l’identité numérique L’identité numérique est une notion très large. Aussi est-il utile de décomposer les différents traits identitaires que les plateformes relationnelles demandent aux personnes d’enregistrer. 1. Typologie web 2.0 par Dominique Cardon. Les usages du Web 2.0.