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3.2 La politique conjoncturelle de croissance

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Conjoncture : Une troisième révolution industrielle est en vue. L'économiste américain Jeremy Rifkin présente ce mardi à Paris son dernier essai sur les mutations en cours de l'économie et les bases d'une croissance durable tout au long du XXIe siècle. Voici sa vision du futur. «Une troisième révolution industrielle doit prendre le relais de notre modèle actuel, à bout de souffle», assure l'économiste américain Jeremy Rifkin. Selon lui, «la crise actuelle n'est pas la crise de la finance, mais la crise du pétrole» et cet or noir sera de plus en plus rare et de plus en plus cher. Surtout, cette énergie est polluante, et les catastrophes naturelles de plus en plus violentes et fréquentes plaident en faveur d'un modèle de croissance plus soutenable.

Ce modèle alternatif repose sur les énergies vertes et sur Internet, estime Jeremy Rifkin. Cinq préalables à une nouvelle révolution industrielle Les villes pourront alors mettre en place des véhicules électriques, ou à pile à combustible, partagés, que chacun utilise le temps nécessaire. Avant le sommet européen, S&P menace le triple A de l'UE. Le sommet européen qui débute jeudi soir par un dîner des chefs d'Etat s'annonce d'ores et déjà compliqué: Standard and Poor's a placé mercredi soir sous surveillance le triple A dont bénéficie l'Union européenne depuis 1976.

Jusqu'ici, l'agence de notation américaine ne s'en était prise qu'à la zone euro. Lundi, elle avait mis sous surveillance négative quinze pays de la zone euro, dont six qui affichent un triple A. Mardi, ce fut au le tour du Fonds européen de stabilité financière (FESF). Ce mercredi, ce sont les grands établissements financiers, notamment français, que l'agence américaine a aussi menacé de dégrader. Les Etats-Unis, eux aussi, mettent la zone euro sous pression. Berlin a laissé transparaître mercredi un pessimisme, qui a conduit les Bourses européennes à la morosité, alors que Sarkozy n'exclut plus un risque d'explosion de l'UE tant que l'accord franco-allemand n'est pas effectif.

Revivez le film de la journée : 23h15. 23 heures. 22h32. 22h05. 21h30. 21h10. 20h45. Classement : les 50 premières entreprises de croissance. Atteindre les 10 millions d'euros de chiffre d'affaires n'est pas si évident : 96,3 % des quelque 900 000 entreprises françaises qui publient leurs comptes réalisent moins de 10 millions d'euros (source Coface Services). Coup de chapeau donc aux lauréats de ce palmarès 2011 qui ont dépassé en dix ans ce seuil fatidique. Et coup de projecteur sur les trois premiers champions de ce classement. En tête, Avesta, le premier distributeur du GPS TomTom, suivi du site de pièces détachées automobiles Oscaro.com et du franchiseur spécialiste du marché de l'occasion, Easy Cash. Un palmarès qui met cette année à l'honneur les nouveaux acteurs de la distribution. Emergence de l'e-commerce Nous avons identifié deux autres sites marchands également créés en 2001 qui auraient pu figurer parmi ces entreprises indépendantes.

Au final donc, peu d'entreprises industrielles : elles sont plus gourmandes en financement. Croissance, développement et déséquilibre. La France est à nouveau en récession. Un « court épisode récessif », suivi d'une croissance faible, voire très faible : c'est ce qui attend la France cet hiver et au printemps 2012, à en croire la dernière note de conjoncture de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) présentée jeudi 15 décembre. Constatant que les tensions sur les dettes souveraines se sont étendues au système financier et, à partir de là, à l'économie réelle, les conjoncturistes de l'Insee relèvent que la zone euro « marque le pas » et jugent « touché » le moteur de l'activité en France. Sur la foi d'enquêtes de climat des affaires très dégradées dans l'industrie et les services en octobre et surtout en novembre, l'Insee pense que le produit intérieur brut (PIB) reculera de 0,2% en volume au quatrième trimestre 2011 et que la contraction de l'activité se poursuivra au premier trimestre 2012 (- 0,1%) .

Banques, bonus, bénéfices : le paradoxe des parasites, par Pierre Rimbert. Onze milliards quatre cent millions de dollars provisionnés au premier semestre 2009 par la banque américaine Goldman Sachs pour récompenser ses courtiers ; 1 milliard d’euros épargné par BNP Paribas en prévision du versement de primes à ses acrobates financiers (selon Libération, 5 août 2009) ; 4 milliards de livres sterling de bonus attendus par les traders de la City, à Londres ; 32,6 milliards de dollars versés l’an dernier sous forme de primes par neuf établissements de Wall Street qui, dans le même temps, avaient perçu 175 milliards d’aides publiques, selon les conclusions de l’enquête menée par le procureur général de l’Etat de New York, M. Andrew Cuomo (1) : la routine bancaire a repris son cours. Bien que situés quelques barreaux en dessous sur l’échelle de la démesure, ces montants évoquent ceux mobilisés quelques mois plus tôt par les puissances publiques pour sauver le réseau bancaire mondial de l’effondrement.

C’est là tout le paradoxe des parasites. Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles. Voici le retour de notre classique “Météo des taux”, après une pause en mars vu la mer d’huile. J’insiste depuis longtemps sur l’importance de ces graphiques, car il est probable que c’est de là que viendront les plus gros soucis pour les États dans les mois à venir – par fuite probable de plus en plus de prêteurs.

La Zone Euro Bien évidemment, la période a été marquée par le défaut grec. Il est cependant remarquable de noter que les taux, qui ont plongé sont déjà repartis à la hausse et dépassent 20 %. Alors qu’on parle des nouvelles obligations avec garantie de l’Europe… Bref la confiance n’est pas de retour – surtout parce que la Grèce reste très fortement endettée, des prêts européens ayant remplacé des prêts du secteur privé. Comme les taux grecs ont explosé, voici le même avec les pays hors GIPS (je préfère ce terme à l’infâme PIGS…) : Au final, ce graphique inquiétant illustre les forces oeuvrant à la destruction de l’euro.

Cela illustre simplement leur aveuglement. Les CDS Les BRICS. La crise financière. PIB. Produit Intérieur Brut (PIB) "Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de Produit Intérieur Brut (PIB) Le Produit intérieur brut ou P.I.B. est défini comme étant la somme des valeurs ajoutées réalisées à l'intérieur d'un pays par l'ensemble des branches d'activité (auxquelles on ajoute la TVA et les droits de douane), pour une période donnée, indépendamment de la nationalité des entreprises qui s'y trouvent. L'utilisation de la valeur ajoutée permet d'éviter que la même production ne soit prise en compte plus d'une fois, puisque dans son calcul on retire la valeur des biens consommés pour la production. Le PIB se distingue du Produit national qui, lui, prend en compte la nationalité des entreprises, et non leur lieu d'implantation.

Le Produit intérieur brut est constitué du Produit intérieur marchand (biens et services échangés) et du Produit intérieur brut non marchand (services fournis par les administrations publiques et privées à titre gratuit ou quasi gratuit). >>> Complément: Les limites du PIB. Conjoncture : 25 milliards injectés dans les investissements d'avenir. L'emprunt national semble faire consensus, à droite comme à gauche. Dans le contexte de la campagne présidentielle, alors que la droite et la gauche s'affrontent avec virulence, c'est une image qui ne manque pas de piquant: deux anciens premiers ministres de bords opposés, sur une même estrade, assurant en substance que pas une feuille de papier à cigarette ne sépare leur appréciation… sur le programme d'investissements d'avenir. «Nous nous réjouissons des résultats de cette initiative», ont assuré Alain Juppé et Michel Rocard, tous deux coprésidents du Conseil de surveillance des investissements d'avenir, le programme piloté par René Ricol.

Deux ans après la décision de lancer un emprunt national de 35 milliards d'euros pour financer les priorités de la France de demain (enseignement supérieur et recherche, filières industrielles et PME, du développement durable, économie numérique), 894 projets sont déjà financés, selon le dernier bilan publié ce mardi.

Exemples

Deuxième récession en France depuis 2008, quatrième depuis 1949. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Avec deux trimestres de croissance négative, fin 2011 et début 2012, la France est entrée en récession. C'est ce que prévoit l'Institut national de la statistique (Insee) dans sa dernière note de conjoncture, publiée vendredi 16 décembre. Selon l'Insee, le produit intérieur brut (PIB) de la France reculera de 0,2 % au quatrième trimestre 2011, et de 0,1 % au premier trimestre 2012. Ce devrait également être le cas de la zone euro. Un précédent lors de la crise financière de 2008. C'est la deuxième période de récession que connaît la France depuis 2008. La période actuelle de récession aurait pu commencer dès le deuxième trimestre 2011, qui avait déjà vu un recul de 0,1 % du PIB, selon l'Insee.

Avant 2008, la France n'avait connu que deux périodes de récession. L'autre récession qu'a connue la France est intervenue en 1992-1993, avec deux trimestres de croissance négative : - 0,2 % fin 1992 puis - 0,6 % début 1993.