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Réponses des parlementaires

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MES : une nouvelle arnaque européenne ? Première séance du mercredi 7 septembre 2011. Assemblée nationale XIIIe législature Deuxième session extraordinaire de 2010-2011 Compte rendu intégral Prėsidence de Mme Catherine Vautrin 1. Rappel au règlement M. Mme la présidente 2. Première partie (suite) Après l’article 1er A (suite) Amendement no 167 M. M. Amendements nos 150, 115, 156, 118, 72 Article 1er B.

Deuxième séance du mercredi 7 septembre 2011. Assemblée nationale XIIIe législature Deuxième session extraordinaire de 2010-2011 Compte rendu intégral Présidence de M. Bernard Accoyer 1. Questions au Gouvernement Projet de loi de finances rectificative M. Mme Valérie Pécresse, ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement Crise économique M. M. Situation économique et sociale M. M. Avenir de la Libye M. M. Politique fiscale M. M. Règle d’or Mme Marie-Christine Dalloz Mme Valérie Pécresse, ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement Dépendance M.

Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale Plan de soutien à la Grèce. Summify - Lettre au Président de la République. Monsieur le Président de la République, J'ai bien reçu, et vous en remercie, la lettre que vous avez destinée à tous les parlementaires au sujet de la crise de l'euro et de l'état des finances publiques de la France.

Summify - Lettre au Président de la République

J'ai compris que vous souhaitiez assainir les finances publiques de la France. Il était temps. Car votre responsabilité est écrasante et historique dans l'aggravation de notre endettement national. Sous votre Présidence, vous avez, à chaque loi de finances, employé l'énergie de votre Gouvernement à réduire les impôts et les recettes de l'Etat en provenance de contribuables privilégiés qui ont eu inutilement votre faveur, pendant que la France empruntait pour payer ses dépenses courantes. Vous aurez été le premier Président de la République à créer les conditions d'une dangereuse dépendance de notre pays aux comportements de marchés erratiques, volatils et irresponsables.

Cette crise, depuis 2008, nous a déjà coûté près de 10 points de croissance. Arnaud Montebourg.