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CIERA. Journée d’étude Dans le cadre du pôle Texte et Contexte créé au sein de la MSH de Dijon (UMS – CNRS 2739) le Département d’Allemand et le Centre de Recherches Interlangues de l’UFR Langues et Communication (EA 4182), organise leur 3ème journée d’étude interdisciplinaire consacrée à la problématique « Textes et contextes dans l’ex-RDA » sur le thème : L’image de la société socialiste dans le cinéma de RDA : expression artistique et discours autoritaire La journée a pour problématique générale la société de RDA à travers la production cinématographique. Quelle est la place de la création artistique de l’individu face au discours autoritaire ?

Le second angle d’approche réside bien sûr dans des recherches portant sur les œuvres « nées » de ce discours. Le thème pourra être abordé sous l’angle de l’adaptation : en effet, de nombreuses œuvres littéraires ont été adaptées au cinéma en RDA. Date : vendredi 7 mai 2010 Lieu : Université de Bourgogne (Dijon) Organisation et coordination scientifique :

Ethnologie française, nouvelle serie, T. 27, No. 4 (Octobre-Décembre 1997), pp. 530-542. Abstract: La culture de consommation en RDA est marquée, d'une part, par des représentations idéales de la consommation (utilité au lieu de distinction symbolique, formes de consommation sociale et non individuelle, etc.) et, d'autre part, par un retard en regard des tendances occidentales de modernisation. L'absence de classes supérieures culturellement marquantes n'a pas, pour autant, conduit à une égalisation des modes de vie. Au contraire, à la place du capital économique, élément majeur de discrimination, l'éducation, le sexe, l'âge et la résidence sont apparus comme des catégories structurantes. Consumer culture in GDR is marked, on the one hand, by ideal representations of consuming practices (usefulness, instead of symbolic distinction, social, instead of individual types of consuming, etc.) and, on the other hand, by lagging behind western trends in modernisation.

The absence of culturally significant upper classes did not result, however, in a standardized mode of living. Le Théâtre en RFA et en RDA. L’Allemagne est donc coupée, déchirée. Il devient impossible d’aller et venir comme on veut. Les passages sont soumis à rude épreuve. Pressentant le danger, de nombreux intellectuels se sont dépêchés de partir de ce qui deviendra une véritable forteresse. Soumise à l’idéologie communiste qui impose un mode de vie dur et surveillé, en mettant en place notamment la STASI, l’Allemagne de l’est se retrouve isolée du reste du monde et prisonnière de la pieuvre soviétique. Un allemand de l'est qui passe en revue tous les grands noms du théâtre sans en oublier un seul lorsqu'ils sont en RDA, passe étrangement sous silence ceux de "l'autre Allemagne" Deux visions s’affrontent : celles du monde libre et celle du monde privé de réelle liberté d’expression.

Si la chute du mur en elle-même ne fit pas l'objet d'une dramaturgie spécifique, tenter de rendre compte de ce qu'était la vie à l'est fut une source d'inspiration La chute du mur va réunifier et réconcilier les deux Allemagne. Photos DR. THÉÂTRE ALLEMAND, Le théâtre en R.D.A. • Le poids d'une norme esthétique Si la politique antifasciste menée à l'Est dans la zone d'occupation soviétique depuis 1945 ne contredit pas foncièrement les choix théâtraux qu'on peut observer à l'Ouest, la création de la R.D.A. en 1949 engage une véritable rupture, à l'heure de la guerre froide.

Cette rupture s'exprime moins dans l'organisation matérielle du théâtre – un réseau d'établissements publics ayant son analogue en R.F.A. – que dans la tentative du Parti, devenu État, pour imposer à la vie culturelle la loi d'une révolution prescrite par en haut et, au demeurant, importée de l'extérieur. Au fil des ans, et avec des alternances de durcissements et d'assouplissements, le réalisme socialiste perdra son caractère dogmatique et admettra une pluralité d'approches et de techniques artistiques. The Hansaviertel vs Karl-Marx-Allee. In the east, Karl-Marx-Allee.

A 2km long triumphal route of overbearing, neo-classical blocks that’s more Moscow than Mitte. On first sight, it has all the architectural subtlety of a wedding cake, with neoclassical features thrown uncomprehendingly onto the giant facades of soviet prefab-system blocks. Many of the buildings of Karl-Marx-Allee (previously Stalinalle, and originally Frankfurter Allee) seem hard to love. At Frankfurter Tor, the apogee of the street’s design, two huge towers top the nine storey blocks, forming a formidable eastern gateway to the city. Apparently inspired by Schinkel, they look awkward and oddly proportioned, like something stuck on top of a UK supermarket to obtain planning permission.

And meanwhile, over in the west, the Hansaviertel. A mix of blocks of flats and individual houses, designed by a virtual who’s-who of modernist architecture for the 1957 Interbau – an international housing exhibition. So why is it Karl-Marx-Allee that I’m drawn to? Hans Ch.