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L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille | C'est malade! Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011).

Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Vie privée Références. Rep09dec12-f.

L'Encéphale - Le cyber-bullying à l’adolescence : problèmes psycho-sociaux associés et spécificités par rapport au bullying scolaire. Mémoire original Cyber-bullying in adolescents: Associated psychosocial problems and comparison with school bullying EA 2114, laboratoire de psychologie des âges de la vie, université François-Rabelais, 3, rue des Tanneurs, BP 4103, 37041 Tours cedex 1, France Received 29 August 2011, Accepted 2 January 2012, Available online 28 May 2012 Choose an option to locate/access this article: Check if you have access through your login credentials or your institution Check access Show more Show less Get rights and content Résumé Les recherches portant sur le bullying scolaire (« harcèlement » scolaire) montrent qu’il existe des problèmes psychosociaux caractérisant de façon spécifique les élèves impliqués dans les différents « statuts » (victime, agresseur, agresseur/victime).

Summary Aim Method Semi-structured interviews were conducted with 738 adolescents from a high-school and a middle-school (mean age = 14.8 ± 2.7). Results Discussion Mots clés Keywords. Les enfants et l'intimidation | Articles | Être parent. Selon les statistiques, 10 % des enfants seraient victimes d'intimidation. Une étude réalisée à Toronto dévoile qu'un geste d'intimidation est posé toutes les 7 secondes, mais que les professeurs ne seraient au courant que de 4 % d'entre eux. L'intimidation serait par ailleurs responsable de 15 % de l'absentéisme scolaire. Avant de hausser les épaules et de dire que les enfants doivent apprendre à former leur caractère, que c'est normal qu'ils soient cruels entre eux, dites-vous que, dans de nombreux cas, les mêmes gestes posés entre adultes seraient jugés criminels. Sachez aussi que les recherches confirment que l'intimidation nuit au développement de l'enfant, qu'elle cause des dommages psychologiques qui mènent au décrochage, à la dépression et dans certains cas, au suicide.

L'intimidation est à prendre au sérieux Malheureusement, on ne peut s'attendre à ce que notre enfant vienne systématiquement se confier. 50 % des victimes gardent leur souffrance pour eux. Pourquoi mon enfant? Les statistiques de l’intimidation au Canada – IRSC. Archives de Pédiatrie - Les réseaux sociaux, les enfants et le pédiatre. Guide-cyberharcelement_190586. Cyberharcèlement et droit à l’image sur Internet et Facebook : séquence pédagogique par un professeur documentaliste de Guingamp (22)-Mozilla Firefox. Natacha Dugas, professeur documentaliste au lycée professionnel Montbareil de Guingamp (22) a élaboré des séances pédagogiques pour des élèves de CAP 1re année et de 2de Bac Pro sur le cyberharcèlement et le droit à l’image sur Internet et Facebook. « L’idée est, en une heure, de leur rappeler ce qui est interdit (et puni par la loi) mais aussi de leur donner des éléments pour se défendre ».

Ces séquences sont préparées en amont par une enquête anonyme qui permet d’envisager des échanges à partir des questions et sujets qui concernent directement les élèves. Cette enseignante met à disposition sur Google Document les documents élaborés par ses soins pour ces séances : Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Bretagne.

Non à la cyberintimidation. Cyberintimidation. À l'école, tu veux que personne pense que tu racontes des trucs sur les autres. On veut tous être « gentils ». Mais, en ligne, tu n'as pas besoin d'être gentille, si ça ne te tente pas. Fille de 13 ans, Edmonton, Alberta. (Source: Groupe de discussion, Jeunes canadiens dans un monde branché, HabiloMédias, 2003) Internet a créé un univers de nouvelles formes de communications pour les jeunes. Ils peuvent utiliser les courriels, sites Web, messageries instantanées et messages textes (SMS) pour rester en contact avec leurs amis ou s’en faire de nouveaux. Les échanges sont possibles partout dans le Web actuel.

Même si la plupart de ces interactions sont positives, de plus en plus d’enfants et d’adolescents s’en servent pour intimider et harceler les autres, une pratique qu’on désigne désormais sous le terme de cyberintimidation. A l'évidence, la cyberintimidation est traumatique pour les jeunes : elle est une forme de mort sociale. Quels sont les moyens utilisés ? Qui intimide et pourquoi ? L'Encéphale - Le cyber-bullying à l’adolescence : problèmes psycho-sociaux associés et spécificités par rapport au bullying scolaire. Cyberintimidation - Sécurité Internet.

Vous devez savoir que plusieurs formes de cyberintimidation sont punies par le Code criminel du Canada. Si quelqu’un vous envoie des courriels de façon répétée et que vous craignez pour votre sécurité ou celle de vos proches, dites-vous que c’est illégal. Les menaces, l’extorsion ou les canulars incitant à craindre des activités terroristes sont aussi interdits Les gens ne peuvent pas non plus publier un libelle qui vous insulte ou qui pourrait nuire à votre réputation en vous exposant à la haine, au mépris ou au ridicule.

La cyberintimidation peut aussi violer le Code criminel ou la Loi canadienne sur les droits de la personne si elle répand haine et discrimination basées sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la couleur de peau, la religion, le sexe, l’orientation sexuelle, le statut marital ou familial et les handicaps physiques ou mentaux. Statistiques Canada - Un Canadien sur 10 dit avoir été victime de cyberintimidation. TORONTO – Seulement 7 % des internautes adultes au Canada ont déclaré avoir été victimes de cyberintimidation, selon les résultats d'une enquête de Statistique Canada de 2009. La forme d'intimidation la plus courante signalée par 73 % des victimes est la réception de courriels ou de messages instantanés menaçants ou agressifs, a précisé l'agence fédérale.

Environ 10 % des adultes ont déclaré qu'un enfant âgé de 8 à 17 ans vivant dans leur ménage avait été victime de cyberintimidation. Dans environ 7 cas sur 10, la victime était une fille. Un peu plus de la moitié des répondants (55 %) ont dit avoir été la cible de commentaires haineux, a indiqué l'enquête de Statistique Canada. De plus, seule une faible proportion des incidents ont été rapportés aux autorités policières. Quatorze pour cent des internautes ont dit avoir éprouvé des problèmes lors d'achats en ligne. L'étude révèle aussi que 4 % des personnes ont avoué avoir été victimes de fraude bancaire par internet.

Cyberintimidation. La cyberintimidation, c'est le fait de harceler une personne ou de tenir à son endroit des propos menaçants, haineux, injurieux ou dégradants, qu'ils soient illustrés ou écrits. Elle concerne également le fait d'harceler une personne. Les moyens employés sont nombreux : le courriel;les salons de clavardage (chat room); les groupes de discussion; les sites Web;les messageries instantanées. Malheureusement, les conséquences de l'intimidation pour les victimes sont variées, allant de la perte de l'estime de soi à la dépression et même, dans certains cas, au suicide. La cyberintimidation, pas aussi rare qu'on voudrait le croire 25 % des jeunes internautes disent avoir reçu par courriel des documents haineux sur d'autres personnes. 34 % des élèves de 9 à 17 ans affirment avoir été victimes d'intimidation ou de harcèlement sexuel au courant de l'année scolaire. De ce nombre, 27 % ont été victimes d'intimidation par Internet.

Source: Réseau Éducation Média La cyberintimidation peut devenir criminelle.

Ressources

Sécurité dans Internet.