background preloader

11 juin / 49e manif noct.

Facebook Twitter

Intervention du SPVM, montrée sur la scène international. 20h Actualité France2. Loi 78: Gaétan Arel quitte la CAQ | Chloé Cotnoir | Estrie. (RICHMOND) Le candidat de la Coalition avenir Québec de Richmond, Gaétan Arel, a annoncé sa démission hier. L'adoption de la loi 78, avec l'appui des députés de la Coalition avenir Québec de François Legault, a été un facteur déterminant dans sa décision. « Le Parti libéral de Jean Charest ainsi que la CAQ n'ont pas saisi l'essentiel du message des étudiants et de la population qui manifestent aujourd'hui dans les rues un peu partout au Québec. Soyons fiers de nos jeunes qui nous brassent un peu et qui nous sortent de notre confort et de notre torpeur collective pour nous dire qu'ils en ont assez d'être gouvernés par des incompétents qui nous endettent aveuglément », explique-t-il.

Gaétan Arel soutient que l'adoption de la loi 78 va à l'encontre de la démocratie, de la liberté et de ses valeurs de respect envers l'être humain. « En voyant notre jeunesse et mon peuple se faire tabasser pour une question d'égo politique ça me dégoûte royalement. Carrés rouges, vos papiers! Sont-ils réels, ces contrôles d’identité dans le métro pour les porteurs de carrés rouges, dont on entend parler depuis le début du Grand Prix de Montréal?

Ceux qui affichent être contre la hausse des frais de scolarité se font-ils désormais fouiller, inviter au poste de police le plus près, comme on le raconte sur les réseaux sociaux depuis plusieurs heures? Samedi, deux journalistes du Devoir ont entrepris de tirer l’affaire au clair en épinglant sur leur poitrine des carrés rouges avant de s’engouffrer dans la gueule du métro. Résultat? Interpellation rapide, détention pour fin d’enquête. «On fait juste ça, du profilage criminel», a indiqué de suite un des agents du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) lors de la fouille de nos journalistes. Samedi, 13h50: Sous le plein soleil, les journalistes Raphaël Dallaire Ferland et Catherine Lalonde se retrouvent Place Émilie-Gamelin. Sacs au dos, ils s’épinglent chacun un carré rouge, elle ajoute de plus un carré noir. Attente. Profilage politique au Grand Prix: récit d'expulsion : Récit d’expulsion – Courrier des lecteurs – Société.

Au lendemain du Grand Prix, tandis que plusieurs crient au profilage politique, nous avons reçu cette lettre d'un lecteur qui avait décidé d'aller se promener au Parc Jean-Drapeau hier. Il nous raconte son expulsion. Le 10 juin 2012 en avant-midi, moi et mon mari sommes allés flâner sur l’île Sainte-Hélène. Pour l’occasion, nous nous sommes vêtus de façon tout à fait ordinaire, n’avions pas de sac, ni de carré rouge. Le passage à la station Berri-UQAM s’est fait sans qu’aucun policier ne s’intéresse à nous (ils fouillaient toutefois arbitrairement plusieurs personnes portant un sac et n’ayant pas l’apparence d’un fan de F1). Nous avons pu marcher paisiblement 30-45 minutes, entre la Biosphère et la Ronde, jusqu’à ce que nous croisions trois policiers en vélo qui patrouillaient les sentiers et ont remarqué mon carré rouge.

Sans rien dire de plus, nous leur avons tourné le dos et avons repris le chemin vers la station de métro. Olivier Roy. The summer phase in Québec. Students across Québec took part in a March 22 day of action that united strikers around the province (Tina Mailhot-Roberge) DESPITE MASSIVE mobilizations throughout Quebec in opposition to Bill 78 and the government of Quebec Premier Jean Charest, the student struggle is once again at an impasse.

At the end of May, the government terminated the latest round of negotiations with four college and university student associations without offering any concessions on the students' key demands: for repeal of the tuition fee increases and repeal of its "bludgeon law" aimed at smashing student unionism in the province. The student negotiators had bent over backwards to find some acceptable compromise. They agreed not to discuss Bill 78 pending an agreement on fees. Meanwhile, mounting public opposition to Bill 78 brought new forces into the struggle. Pierre Beaudet has provided a vivid description of one such demonstration in his neighborhood: "Samedi soir sur la rue Fleury" (in French).

La CLASSE veut une enquête indépendante sur le travail des policiers (VIDÉOS/PHOTOS) MONTRÉAL - La CLASSE exige une révision par un organisme indépendant du travail effectué par le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) en marge du conflit étudiant, et ce, depuis le début de la grève il y a 120 jours. Au lendemain du week-end du Grand Prix de Formule 1 du Canada, la coporte-parole l'organisation étudiante, Camille Robert, a lancé une série d'accusations à l'endroit du SPVM à cet effet. «Il y a eu plusieurs fouilles illégales, on a aussi été témoin de matricules cachées, de brutalité policière, a-t-elle soutenu. À notre sens ce sont des événements qui sont inacceptables. Suite à cela, la CLASSE exige qu'un organisme indépendant fasse la revue des événements qui se sont passés pas seulement durant le week-end mais aussi durant tout le conflit étudiant.» «Il n'y avait pas de fouille ou d'interpellation systémique sur les gens qui arboraient un carré rouge.

Selon Marc Parent, les fouilles menées par les policiers ont porté fruit. M. Charest mort au pied de Khadir | Politique. Cet article est réservé aux membres vip Pour poursuivre la lecture / mois * Taxes Incluses * Certaines conditions s'appliquent Contenu réservé VIP : Nouvelles exclusives Galeries photos Cartes interactives Vidéos exclusives Contenu des chroniqueurs Compléments d’information Vos privilèges VIP : Accès illimité à 100 % du contenu internet Application mobile pour appareils Android et iOS. Offre valide pour 6 mois, pour les nouveaux abonnés seulement. Un militant étudiant arrêté en route pour les funérailles de sa soeur | Vincent Larouche | Justice et faits divers. Mathieu B. Girard, 19 ans, un militant de l'association étudiante du Collège de Maisonneuve, était en voiture avec sa mère et son frère, sur l'autoroute 20, lorsqu'une autopatrouille les a interceptés, à la hauteur de Saint-Hyacinthe. Des agents de la SQ ont alors arrêté le jeune militant à la demande du SPVM.

Sous le choc, le reste de la famille a pu continuer sa route vers Chicoutimi, où ils devaient tous se réunir à l'approche des funérailles de la défunte, dont la date n'est pas encore arrêtée. Quant à Mathieu B. Girard, il a été emmené en détention et devrait comparaître mardi au palais de justice de Montréal. Crainte d'un acte terroriste Selon nos informations, il fera face à de sérieuses accusations d'incitation à craindre un acte terroriste, de complot et de méfait, en lien avec un incident où des suspects ont perturbé le réseau de transport en lançant des objets sur les rails du métro à plusieurs endroits simultanément le matin.

La soeur de Mathieu B. Dévasté. Charest défend les interventions contre les «groupes d'extrême gauche» | Martin Ouellet et Sylvain Larocque | Politique québécoise. De son côté, l'opposition péquiste a exigé des explications du ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, sur les allégations de profilage à l'endroit des citoyens portant le carré rouge. À l'issue d'un discours prononcé à la Conférence de Montréal, M. Charest a déclaré que les policiers «ont très bien fait leur travail» dans les circonstances. «Quand on a 100 000 personnes sur un même site, il faut prendre les moyens et les mesures pour s'assurer que tout le monde est en sécurité», a-t-il affirmé. Le premier ministre a fait remarquer que les revendications des protestataires débordaient largement la question des droits de scolarité. Jean Charest a soutenu ne détenir aucune information quant aux incidents de «profilage politique» dénoncés par la Coalition large de l'association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE).

M. «C'est un enjeu qui est en toile de fond, a-t-il convenu. (...) «Mais les gens comprennent que ces choses peuvent survenir de temps à autre», a-t-il estimé. Le SPVM demande à la 49e manif nocturne de se disperser | Hugo Meunier et Sylvain Sarrazin | Conflit étudiant. Le ciel de Montréal était à l'image des rues de la métropole, lundi soir; avec une ambiance orageuse, sur le bord d'exploser à tout instant. La 49e manifestation nocturne a pris son départ au parc Émilie-Gamelin, rassemblant plusieurs centaines de personnes dans une ambiance survoltée. La veille, l'événement avait tourné au vinaigre, avec des vitres brisées et une dispersion musclée forcée par la police.

La manifestation a sillonné les rues du centre-ville, empruntant la rue Ontario, puis le boulevard René-Lévesque. Par la suite, la procession est passée à plusieurs reprises devant le Centre du commerce mondial, le temps d'un arrêt et de quelques saluts hitlériens. Elle a ensuite mis le cap vers la Place d'Armes, et Saint-Antoine. Les policiers veillaient au grain, tandis que plusieurs manifestants recouvraient leur visage de foulards noirs. Fait singulier, le défilé s'est frayé un chemin à travers la foule de spectateurs du festival des Francofolies, qui les a accueillis chaleureusement. Au fil de la 49e manifestation nocturne | Cyberpresse.