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Actualité articles - Pulsar

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Pulsars et quasars. Image de quasar (représentation d'artiste) Lorsqu’on lève les yeux vers le ciel, par une belle nuit sans lune et sans nuages (et pour peu que l’on se soit un peu éloigné de la pollution lumineuse des grandes villes), on découvre le spectacle merveilleux de millions d’étoiles (en réalité tout au plus quelques milliers si on a une bonne vue) qui scintillent de partout tels de lointains mais éternels joyaux inaccessibles. On a alors l’impression que l’Univers est immense, presque infini. Pourtant, le spectateur n’admire là que la proche banlieue du système solaire, les quelques milliers d’étoiles qui nous sont les plus proches et donc, visuellement parlant, les plus abordables.

Au-delà, il y a le reste de notre galaxie, la Voie lactée et, encore plus loin, les galaxies proches de la nôtre, celles qui composent ce que les astronomes appellent le « groupe local ». Les pulsars Ce sont d’étranges objets dont le premier fut découvert en 1967 à l’observatoire de Cambridge, en Grande-Bretagne. 7. Les pulsars. Les pulsars sont en fait des étoiles à neutrons, des noyaux d'étoiles ayant explosé en supernova, et s'étant effondré sur eux-même jusqu'à devenir une soupe ultra dense de neutrons ... Ces étoiles à neutrons émettent des impulsions radios par leurs pôles magnétiques. Lorsque ces impulsions s'alignent sur notre planète, nous en apercevons le signal. L'étoile tournant sur elle-même à très grande vitesse et avec la précision d'un métronome, le signal donne l'impression d'une pulsation, comme celle d'un phare ...

Parcourez notre gamme de posters sur les étoiles à neutrons et les pulsars : Pulsar = étoile à neutrons Le « pulsar », contraction des mots « pulsating » et « star », n’est ni plus ni moins qu’une l’étoile à neutrons dont la rotation et le champ magnétique lui permettent de produire un faisceau lumineux. Découverte du premier pulsar Un exemple de la précision de ces horloges cosmiques : le pulsar PSR 1913+16 envoie des impulsions toutes les 59.029995271 secondes. Des pulsars rares. Pulsar ou étoile à neutrons. Comme on l'a montré dans la partie sur la vie des étoiles, à la fin de leur vie, ces sources d'énergie pour l'univers entament un processus d'effondrement. Si tant est que l'étoile est relativement massive, ce n'est pas une naine blanche qui se forme, mais un pulsar.

La contraction continue jusqu'à ce que les protons et les électrons réagissent entre eux pour donner des neutrons. Une fois la "mer de neutrons" formée, c'est à dire que les neutrons viennent à se toucher, la contraction s'arrête. On a obtenu une étoile à neutrons ou pulsar... II .Vitesse de rotation Un pulsar a conservé l'énergie cinétique ( de vitesse ) de l'étoile pendant son effondrement. Vue artistique d'un Pulsar et de ses faisceaux III .Densité d'un pulsar Notons qu'un pulsar est le résultat de la contraction d'une étoile. Ralentissement des pulsars. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En astronomie, le phénomène de ralentissement des pulsars désigne l'observation d'une très lente augmentation de la période de rotation des pulsars. Ce phénomène est observé dans la quasi-totalité des pulsars isolés, les cas où il n'est pas observé étant probablement dus à des effets observationnels.

Origine du ralentissement[modifier | modifier le code] Pulsars ne montrant pas de ralentissement[modifier | modifier le code] Autres sources de ralentissement[modifier | modifier le code] La période de rotation mesurée d'un pulsar peut également diminuer pour des raisons cinématiques. Quand un pulsar est isolé et se déplace suivant un mouvement rectiligne et uniforme, la distance qui le sépare de l'observateur a une dérivée seconde positive. Cas des pulsars non isolés[modifier | modifier le code] Un pulsar en orbite autour d'une étoile est susceptible de lui arracher une partie de sa matière (on parle de phénomène d'accrétion). Un pulsar en excès de vitesse ? Le présumé pulsar IGR J11014 se déplace à une vitesse comprise entre 8,7 et 10,5 millions de kilomètres par heure.

Les chercheurs ont pu l'observer grâce à trois télescopes : Chandra de la Nasa, XMM-Newton de l'ESA (tous les deux dans l'espace) et le radiotélescope de Parkes, en Australie. Une nature à confirmerSeul bémol à ce record de vitesse : les pulsations de ce corps céleste n'ont pas été détectées. Cependant, d'autres observations soutiennent l'hypothèse d'un pulsar. Notamment l’émission en rayons X de l’astre est proche en énergie de ce que les astronomes attendent d'un pulsar. Le résidu d'une supernovaCe pulsar (ou étoile à neutrons) viendrait des débris de la supernova SNR MSH 11-16A. Les observations des différents télescopes permettent d'estimer l’âge de MSH 11-61A, 15000 ans, et à sa distance de la Terre, 30000 années-lumière. Un pulsar “caméléon” qui étonne les astronomes.

Vendredi, 25 Janvier 2013 Une collaboration internationale, à laquelle participent des chercheurs du LPC2E1, a fait une découverte importante sur les émissions des pulsars. L’émission d’ondes radio et de rayons X par ces étoiles à neutrons peut changer complètement en l’espace de quelques secondes, simultanément, d’une manière que les théories actuelles ne savent pas expliquer.

Cela suggèrerait un changement rapide de toute leur magnétosphère. Dans ses recherches, l’équipe a rassemblé des observations du télescope spatial XMM-Newton2 qui étudie le domaine des rayons X et de radiotélescopes, dont LOFAR3. Les résultats de cette étude seront publiés dans le journal Science du 25 janvier 2013. Les pulsars sont de petites étoiles d’une vingtaine de kilomètres de diamètre – la taille d’une petite ville – en rotation rapide sur elles-mêmes et d’une masse comparable à la masse de notre Soleil. Cette illustration montre les deux états du pulsar PSR B0943+10. Note(s): Contact(s): Le pulsar de Vela et son fascinant faisceau chancelant [VIDEO] - X-ray: NASA/CXC/Univ of Toronto/M.Durant et al; Optical: DSS/Davide De Martin - L'univers est un endroit bizarre. Sérieusement, comment décrire quelque chose comme le pulsar de Vela autrement? C’était autrefois une énorme étoile, bien plus grande que le Soleil. Puis elle a explosé, expulsant un octillion de tonnes de débris à grande vitesse.

Mais tandis que les couches extérieures étaient emportées, le cœur s’est effondré. Une masse de matière assez grosse pour constituer une étoile entière comme le Soleil s’est fait compresser dans une petite boule de quelques kilomètres de diamètre à peine. publicité Cette étoile à neutrons, comme on appelle cet objet, est un endroit fait d’extrêmes épatants: une gravité à la surface des milliards de fois plus élevée que celle de la Terre, une température se situant dans les millions de degrés et un champ magnétique également des milliards de fois plus important que celui de la Terre.

Faisceaux de lumière ultra-rapides Et ce n’est pas tout. Phil Plait. Le mystère des «pulsars X millisecondes» dissipé grâce au satellite INTEGRAL - SERVICE DE COMMUNICATION. Une récente découverte, effectuée par un groupe international d’astronomes, dont Carlo Ferrigno, Enrico Bozzo et Lucia Pavan de l’UNIGE, a permis, au terme de dizaines d’années de recherche, de comprendre la nature mystérieuse des «pulsars X millisecondes».

Ces résultats font l’objet d’une publication dans le prochain numéro de la revue Nature. Les «pulsars» sont des étoiles extrêmement denses et relativement petites (rayon d’environ 10 km), qui naissent consécutivement à l’explosion d’étoiles plus massives. Au moment où ils naissent, les pulsars à peine formés sont visibles comme des sources radio dont l’émission est pulsée du fait qu’elle est modulée par le mouvement de rotation des pulsars sur eux-mêmes. La rapidité de rotation d’un pulsar à sa naissance est si élevée que l’étoile peut tourner sur elle-même jusqu’à plusieurs milliers de fois par seconde! Des étoiles recyclées? Le premier pulsar X milliseconde a été découvert en 1998. Du pulsar radio au pulsar X et inversement Année 2013.

Une ceinture d'astéroïdes autour d'un pulsar recyclé ? Restes de l’explosion d’étoiles massives, les pulsars sont de petites étoiles à neutrons d’un diamètre de l’ordre de 20km, dotées d’une rotation rapide pour une masse un peu plus élevée que celle de notre Soleil. Produits par le fort champ magnétique, deux faisceaux radio collimatés balaient l’espace et des impulsions périodiques sont reçues sur Terre. Le pulsar B1937+21 était le plus rapide à l’époque de sa découverte par Don Backer en 1982 (avec une période de rotation de seulement 1.55 ms) et il a immédiatement été identifié comme un objet recylé.

Il est maintenant admis que cette classe de pulsar à rotation rapide est habituellement le fruit d’une phase d’accrétion de matière d’un compagnon par un transfert de moment cinétique qui accèlère la rotation jusqu’à des périodes extrêmement courtes. En effet, quand le compagnon évolue, sa matière dépasse la limite de Roche, au delà de laquelle elle ne lui est plus liée gravitationnellement. Figure 1 Figure 2. Jodrell Bank Observatory: About Pulsars | Jodrell Bank Centre for Astrophysics. What is a pulsar? A pulsar is a highly magnetised neutron star, with a radius of 10-15 km, having somewhat greater mass than the Sun which has a radius of approximately 1 million km.

Radiation is beamed out along the magnetic poles and pulses of radiation are received as the beam crosses the Earth, in the same manner as the beam from a lighthouse causes flashes. Being enormous cosmic flywheels with a tick attached, they make some of the best clocks known to mankind. Further Information Pulsar Astronomy This short lecture course was given to fourth-year students at the University of Manchester within the Frontiers of Astrophysics series in 2005. A Tutorial on Radio Pulsars This tutorial was produced as part of the lecture course given to MSc students at Jodrell bank in 1996.