background preloader

Articles

Facebook Twitter

Identité numérique : Particuliers. La démocratisation des services dit Web 2.0, chaque internaute est producteur de contenu : il n’est plus spectateur du Web mais directement acteur de son évolution. L’exemple le plus caractéristique concerne les encyclopédies : alors qu’il y a peu de temps Encarta dominait le marché avec un contenu produit par des experts, Wikipédia a complètement renversé la donne et a fait place au savoir collectif et collaboratif. Réseaux sociaux, blogs, wikis, plateformes d’échanges, jeux en ligne prolifèrent sur le Web. C’est en voulant en faire une synthèse que Francis Shanahan nous livre cette impressionnante map. Il a tenté de regrouper les services (en bleu) à des fonctions ou compétences (en vert). Ces différents services nous conduisent régulièrement à laisser des traces de notre activité sur Internet.

Qu’est ce que l’identité numérique ? - Elle est objective : éléments factuels, observables - Elle est contrôlée par des tiers : sites de vente en ligne, services bancaires Extraits de Tendances.it. Maîtriser son identité numérique | Internet responsable. Dans la vie courante, lorsque nous achetons une baguette de pain, il ne nous viendrait pas à l’idée de décliner notre identité et notre adresse au boulanger. Les relations que l’on entretient via Internet sont à gérer de la même façon. Pourquoi donner notre identité civile et notre adresse pour acheter un bien immatériel payé en ligne et qui n’a pas besoin d’être livré à une adresse postale ? Savoir utiliser des identités numériques distinctes et ne fournir que les données appropriées aux différents types de relations établies sur Internet constituent des compétences essentielles à la préservation de notre vie privée.

Connaître et contrôler ce qu'on enregistre sur vous Lorsqu’on navigue sur internet, un certain nombre d’informations sont enregistrées en différents endroits du réseau, notamment sur l’ordinateur utilisé, chez le fournisseur d’accès ou chez les fournisseurs des services qu’on consulte. Lire la suite Endiguer la collecte excessive Gérer ses profils et ses identités. Qu'est-ce que l'identité numérique ? L'Atelier des médias, c’est, à la fois, une émission de radio et un réseau social à l’écoute de l’innovation, de la société numérique et des révolutions dans le monde des médias.

Vous aussi venez découvrir nos histoires, reportages et entretiens et, si vous le souhaitez, vous inscrire : Le travail de Ziad Maalouf, Simon Decreuze et de leur équipe est, chaque semaine, enrichi, stimulé, orienté, aiguillé par vos contributions, vos réactions, vos commentaires, vos suggestions, via la communauté de l'Atelier des médias. Présentation : Ziad Maalouf. Avec la collaboration de Léo Caravagna, Mathilde Saliou et Camille Deloche. Le site de L'Atelier des médias : Qu'est-ce que l'identité numérique ?

Je ne suis pas le premier à tenter de vulgariser le concept d’identité numérique, Leafar (Raphaël pour les intimes) a ainsi déjà proposé une représentation de l’identité numérique (voir son billet : U.lik unleash Identity 0.2), j’avais également déjà abordé la question dans un précédent billet. Je souhaite avec cet article compléter cette vision et y apporter ma touche personnelle. Les utilisateurs au coeur du web 2.0 Avec la prolifération des blogs et wikis, la multiplication des réseaux sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours plus importante dans notre consommation quotidienne de l’internet.

Tous ces contenus laissent des traces sur les sites qui les hébergent et dans les index des moteurs de recherche, ils sont également systématiquement rattachés à un auteur. De la volatilité de l’identité numérique Les différentes facettes de l’identité numérique. "Les objets connectés d'aujourd'hui sont des trucs de première génération" Sept ans après avoir commercialisé le Nabaztag, un lapin communiquant, le credo de Rafi Haladjian — "simplifier le quotidien en faisant parler les objets entre eux" — n'a pas changé.

Alors qu'il y a une dizaine d'années les propos de ce visionnaire, pionnier de l'Internet en France, paraissaient au mieux fantaisistes, au pire insensés, le marché est en train de lui donner raison. Le projet Nabaztag a comme qui dirait capoté. C'est que le lapin malin, capable de lire des histoires aux enfants et de dire à haute voix l'état du ciel, était en avance sur son temps. La présentation de sa nouvelle initiative Mother — "une mère juive connectée", aime à plaisanter le patron visionnaire de la société Sen.se — fut l'occasion pour Rafi Haladjian de partager, à nouveau, sa vision globale du marché, lequel devrait peser 5 milliards en 2015, contre 1,5 milliard à date. C'est dire s'il y a des opportunités à saisir pour les acteurs français, particulièrement actifs et créatifs dans le domaine... L'homme le plus connecté du monde. Autoproclamé homme le plus connecté du monde, l'Américain Chris Dancy vit en permanence branché à des centaines de capteurs, qui collectent des informations sur ses habitudes de vie.

Sans emploi, il pense que les individus pourront bientôt vivre en vendant leurs données personnelles à des entreprises. Client en or des sociétés d’objets connectés, Chris Dancy avait déjà, enfant, une montre-calculatrice vissée au poignet. Depuis, son équipement électronique s’est largement étoffé : Google Glass, montre connectée Pebble, ceinture-GPS capable d’enregistrer ses moindres déplacements… Cet Américain de 45 ans clame sur son site web être l’homme le plus connecté du monde. Le corps de cet homme-machine est en permanence relié à 300 capteurs au minimum. Vendre ses données pour vivre Les données collectées par les appareils sur toutes ses habitudes de vies lui permettent de réguler son quotidien. Aujourd’hui, l’homme le plus connecté du monde n’a pas d’emploi. Lélia de Matharel. Bientôt 212 milliards d’objets connectés à internet. En août dernier le cabinet d’analyse Gartner a publié une étude prospective très intéressante mais malheureusement passée un peu inaperçue dans la torpeur estivale.

Il s’agit du « Hype Cycle », une analyse qui évalue le degré de maturité de plus de 1900 technologies regroupées en 98 catégories (Voir Gartner). Le classement des technologies proposé par ce cabinet de prospective très réputé est intéressant et correspond aux cinq « temps » du cycle de l’innovation : déclenchement, pic d’attentes, dépression, banalisation, retour de productivité. Pour 2013, Gartner a identifié 6 grandes familles de technologies qui présentent toutes un point commun : elles renforcent et améliorent les relations et la communication entre l’homme et les machines.

La première famille concerne les technologies qui augmentent les capacités et les performances des hommes, que ce soit physiquement, émotionnellement ou bien encore au niveau cognitif. Quiz : Testez vos connaissances sur l’internet des objets !