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Philippe Meirieu : « Refondation » : à quelles conditions ? Sollicité par le Café pédagogique, Philippe Meirieu réagit aux déclarations de Vincent Peillon. Tout en soulignant "le renversement salutaire de perspective" initié par le nouveau ministre, P. Meirieu invite à réagir à la "désinstitutionalisation galopante" et à la montée de l'individualisme en éducation. L’arrivée de Vincent Peillon au ministère de l’Education nationale et les propos qu’il vient de tenir dans les colonnes du Café Pédagogique marquent, de toute évidence, un renversement salutaire de perspective.

Malmenée, abimée, déprimée par dix années de régression, de mépris et de caporalisation, notre École peut retrouver là des raisons d’espérer. Dans l’ensemble de son intervention - sans doute parce qu’il a médité sur l’action de certains de ses prédécesseurs et parce qu’il connaît bien l’histoire de notre École - le ministre apparaît modeste. Corollaire de la désinstitutionalisation actuelle : chacun s’efforce de tirer son épingle du jeu. Philippe Meirieu Lien :Entretien avec V. Tag : rythmes scolaires | LCP.fr. Résultats dans les reportages Le zapping des questions au gouvernement de mardi ! Article publié le 9/4/2014 à 18h00, par Jessica Taieb rythmes scolaires , qag , ségolène royal , chômage , écologie , manuel valls , françois rebsamen Au menu des qag : les rythmes scolaires, la lutte contre le chômage et la transition énergétique.

Rythmes scolaires : la fronde de l’UMPArticle publié le 5/12/2013 à 14h15, par Anthony Halpern rythmes scolaires , école , éducation , maires Les débats dans l’hémicycle ont été houleux entre majorité et opposition. Le zapping des questions au gouvernement de mercredi ! Congrès des maires : Jean-Marc Ayrault veut rassurer les élus locauxArticle publié le 20/11/2013 à 11h16, par Anthony Halpern rythmes scolaires , ayrault , congrès des maires , dotations Rythmes scolaires : Vincent Peillon se rendra à la Porte de Versailles le 21 novembre.

Résultats dans les actualités AFP. Rythmes scolaires : les propositions de Peillon sont "inacceptables", selon un syndicat. Le SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire, a jugé mercredi 17 octobre dans un communiqué "inacceptables en l'état" les propositions sur la réforme des rythmes scolaires présentées la veille aux syndicats par le ministre de l'éducation, Vincent Peillon. "Où est passée l'ambitieuse réforme des rythmes scolaires et ses objectifs de réussite pour tous ? " demande le syndicat. "Une journée pratiquement aussi longue, 5 heures 30 (dont une demi-heure d'aide aux devoirs) au lieu de 6 heures, une demi-journée supplémentaire le mercredi matin, un deuxième trimestre toujours aussi déséquilibré, le premier scénario dévoilé hier (mardi) par Vincent Peillon est très décevant", déplore le syndicat.

"Le dispositif d'une demi-heure d'aide aux devoirs proposé en classe entière ne permettra pas un suivi particulier des élèves qui en auraient le plus besoin. Quid de la situation des élèves de maternelle qui, eux, n'ont pas de devoirs ? " relève le communiqué. Education: Vincent Peillon, le "Refondator" Tout ce que l'Education compte de syndicalistes, de responsables associatifs, de hauts fonctionnaires, de cadres engagés, de pédagogues s'était donné rendez-vous ce jeudi 5 juillet à la Sorbonne pour le coup d'envoi de la grande concertation pour la "refondation" de l'école.

Dans le grand amphi, un air de déjà vu. Il y a un peu moins de dix ans, Claude Thélot lançait son grand débat sur l'école, à la demande de Jacques Chirac. A l'issue, un rapport intitulé "Le miroir du débat", diagnostic acéré sur l'état de l'école, et des pistes de réforme concrétisées dans une loi, la loi "Fillon" du 23 avril 2005. Cette loi, bien en deça des recommandations du rapport, commence tout juste à porter ses fruits. Sept ans plus tard, la gauche revenue au pouvoir, Vincent Peillon entend bien être le refondateur d'un système de plus en plus inégalitaire, soumis à une pression budgétaire croissante, et gagné par un malaise grandissant. Pas de temps à perdre Alors Vincent Peillon n'a pas perdu de temps. Rythmes scolaires: pourquoi la France a tout faux | slate. «Je ne comprends pas que les Français n'aient pas conscience que l'école maltraite leurs enfants.» Hubert Montagner, ancien directeur de recherche à l'Inserm et professeur des Universités en retraite, est, comme de nombreux professionnels de l'enfance et de l'éducation, en colère.

Le 7 juin, une conférence sur les rythmes scolaires sera installée par le ministre de l'Education, Luc Chatel. Et les chercheurs spécialisés ont été contactés après l'annonce officiel de la mise en place de la conférence. L'annonce du ministère, le 25 mai, de tester des journées «à l'allemande» au collège, c'est-à-dire avec des enseignements concentrés sur la matinée et du sport pendant l'après-midi, a encore ravivé les tensions. Demander 4 à 5 heures d'attention d'affilée, dès 8h00, c'est exactement ce qu'il convient d'éviter.

Car c'est la concentration de l'enseignement scolaire qui plombe les élèves. publicité Dans le viseur des spécialistes, la semaine de 4 jours. La France à l'opposé de ce qu'il faut faire. Vincent Peillon : "Aucun enfant ne sera hors de l'école avant 16h30" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia, Maryline Baumard et Aurélie Collas (Propos recueillis) Mardi 9 octobre, le chef de l'Etat a refermé les trois mois de concertation et énoncé ses priorités pour l'école.

Le ministre de l'éducation, Vincent Peillon, sa feuille de route en main, expose dans une interview exclusive au "Monde" sa méthode et son calendrier pour mettre en œuvre la refondation de l'école. Du discours de François Hollande, l'opinion retient la fin des devoirs à la maison. Qu'est-ce que cela dit de notre société ? Vincent Peillon : Ce n'est pas le seul sujet retenu, et heureusement! On aurait aussi pu retenir les efforts que nous allons produire pour améliorer les résultats des élèves dès le début de la scolarité obligatoire, ou l'"orientation choisie", cette idée qu'un enfant doit construire son parcours plutôt que de le subir, avec l'expertise et les conseils avisés de ses enseignants et des professionnels de l'orientation, mais aussi avec sa famille.

Pendant que Vincent Peillon réforme l’école, la Seine-Saint-Denis dit son désarroi. Un cortège assez serré d’enseignants et de parents était massé rue de Bellechasse (Paris-7e), jeudi 11 octobre, peu après 11 heures. Pas pour applaudir les annonces de Vincent Peillon, qui à deux pas de là, en son ministère, s’apprêtait à livrer aux journalistes ses "arbitrages" sur la refondation de l’école. Mais bien pour dire leur colère : celle d’un département, le "9-3", confronté en cette rentrée à une pénurie d’enseignants sans précédent. La Seine-Saint-Denis, département le plus jeune de France, l’un des plus pauvres aussi, et où près d’une école sur deux est en zone prioritaire, se mobilise régulièrement contre le manque de moyens. Cette année, c’est aussi à une pénurie de professeurs qu’il faut faire face. La Rue de Grenelle a lâché 23 postes "en urgence" en juin, puis encore 11 en septembre.

Pas assez pour compenser les 39 suppressions de postes en primaire décidées par l’ancien gouvernement. Chaque jour, une cinquantaine de classes sans maître Mattea Battaglia.