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Veille du "Chez soi"

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La Vie des idées. Perla Serfaty-Garzon, Enfin chez soi ?. Récits féminins de vie et de migration. 1C'est à un long voyage dans l'espace géographique et dans les espaces de l'intime que nous convie Perla Serfaty-Garzon à partir d'entretiens qu'elle a menés avec des femmes ayant vécu deux émigrations.

Perla Serfaty-Garzon, Enfin chez soi ?. Récits féminins de vie et de migration

Certaines d'entre elles sont parties, adolescentes, du Maroc pour la France puis pour le Canada. D'autres, chassées de leur pays dès le berceau et la très petite enfance par l'avancée des troupes hitlériennes, connaissent d'abord l'errance à travers l'Europe de l'Est avant de vivre en réfugiées en Suisse puis, à l'adolescence, d'émigrer au Canada. Toutes sont aujourd'hui des femmes qui se sont dotées d'une carrière et d'une riche vie familiale. 3Il n'est pas facile de résumer l'écrit à la fois dense et discontinu de P.Serfaty-Garzon tant s'entremêlent « les plis, les nuances, les frémissements » qui habitent ces femmes volontaires et décidées. 4Un passage (p.57) me semble particulièrement exemplaire de cette approche. 1 Perla Serfaty-Garzon (2003) Chez soi.

Rapport-habitat-intermediaire-entre-individuel-et-collectif. Recherche. L'habitat individuel dense : une troisième voie à construire. D’une manière générale, l’habitat individuel dense (HID) est identifié, par les habitants interrogés, comme un habitat où l’on peut se sentir bien, qui peut répondre à leurs propres attentes comme à celles des autres qui y vivent.

L'habitat individuel dense : une troisième voie à construire

Parmi les éléments qui contribuent à construire la perception de l’univers dans lequel ils vivent, l’étude met en évidence le caractère structurant des vues : celle que l’on a depuis chez soi, mais aussi celle que l’on a sur la résidence depuis l’environnement extérieur. La "beauté" appréciée n’est pas toujours liée à l’architecture, mais plutôt à un paysage proposé par le concepteur (cité jardin, village), un imaginaire que les habitants se sont appropriés. L’analyse montre également que la richesse des opérations HID réside dans la profusion des espaces (individuels, semi-individuels, intermédiaires, collectifs, résidentiels) et des dispositifs socio-spatiaux particuliers (accès, escaliers, traitement des seuils, emplacements pour la voiture…).

Division parcellaire : densifier là où on ne peut pas surélever. Dans les zones les moins denses, à la périphérie des villes ou en zone pavillonnaire, la surélévation n’est pas la seule méthode pour faire évoluer un bâtiment.

Division parcellaire : densifier là où on ne peut pas surélever

Plutôt que de construire sur le toit d’un immeuble, la construction « à côté » du bâtiment peut être tout aussi pertinente. La division parcellaire concours alors aux mêmes objectifs que la surélévation de bâtiments : levier de financement, lutte contre l’étalement urbain, évolution positive du patrimoine, efficacité énergétique, … Exemples de ce qui existe en France avec Terra in Design et le projet de recherche BIMBY. La conquête de droits à construire résiduels : enjeux communs à la division parcellaire et à la surélévation Le point commun de la division parcellaire et de la surélévation, c’est la réalisation de droits à construire résiduels sur une parcelle. La lutte contre l’étalement urbain. Le principe de la division parcellaire A qui s’adresse la division parcellaire Aucun trackback pour l'instant. BIMBY : Bienvenue dans mon jardin pavillonnaire ! Une illustration des possibilités de densification d’un lotissement © BIMBY BIMBY, c’est le nom intriguant d’un projet de recherche français.

BIMBY : Bienvenue dans mon jardin pavillonnaire !

Piloté par le Ministère de l’environnement, il a reçu depuis 2009 plus de 3 millions d’euros de financement et donné lieu à de nombreux évènements de diffusion, dont un colloque national en septembre 2012 à Paris [1] . BIMBY signifie « Build in my back yard », comprenez « construit dans mon jardin ». Une référence au terme NIMBY, qui, notamment dans les débats publics, désigne de manière péjorative les habitants qui s’opposent à un projet d’intérêt général pour ne pas en subir des nuisances personnelles. Le projet BIMBY répond à un enjeu national fort : réduire l’étalement urbain, tout en répondant aux besoins de logement futurs. . - bilan territorial : un mitage des périphéries des villes par la construction de nombreuses banlieues pavillonnaires ; Pourtant, aujourd’hui encore, la maison individuelle avec jardin reste un rêve pour nombre de français.