background preloader

Heidegger

Facebook Twitter

Entretien avec Françoise Dastur. Reiner Schürmann : Identité pérégrinale (Maître Eckhart et Heidegger). Die Gelassenheit zu den Dingen und die Offenheit fur das Geheimnis gehören zusammen. Die Gelassenheit z den Dingen und dieu Offenheit fur das Geheimnis geben uns den Ausblick auf eine neue Bodenständigkeit. Die Gelassenheit zu den Dingen und die Offenheit fur das Geheimnis fallen uns niemals von selber zu.

Sie sind nichts Zu-fälliges. Beide gedeihen nur aus einem unablässigen herzhaften Denken. Wenn die Gelassenheit zu den Dingen und die Offenheit fur das Geheimnis in uns erwachen, dann dùrften wir auf einen Weg gelangen, der zu einem neuen Grund und Boden fiihrt [1]. Qui veut obtenir des réponses décisives de la part d’un auteur ancien doit apporter lui-même les questions décisives. A défaut d’un vigoureux soupçon préalable, la lecture ne pourra réussir. Nous ne voulons ni « prouver une influence » de Maître Eckhart sur Heidegger [2], ni faire de Maître Eckhart un moderne.

Les voies d’accès à une pensée sont nombreuses. L’exercice de la traduction s’avère être une école de pensée. Parole des Jours. Autour de l' Ereignis 3 mars 2005 François Meyronnis, Gérard Guest, Stéphane Zagdanski Les vidéos prennent quelques secondes à apparaître. 1. Heidegger et la tradition philosophique (2' 47) 2. 3. 5 . 7. 9. 11. 13. 15. 17. 19. 21. 23. 25. 27. 29. 31. 33. 35. 37. 39. 41. 43. 45. 47. 49.

Mesure d'audience ROI statistique webanalytics par <img width="39" height="25" src=" Emmanuel Faye, l’introduction du fantasme dans la philosophie. 1 . M. Heidegger, Qu’appelle-t-on penser (1951), Paris, PUF, 1959, p. 87. « La pensée ne pense que lorsqu’elle s’attache à ce qui parle pour une chose »M. Heidegger 1. 2 . E. Faye, Heidegger, l’introduction du nazisme dans la philosophie. 2e propos d’Emmanuel Faye sur l’œuvre de Heidegger, dont on ne suspectera pas la sincérité, moins encore le talent, se donne d’emblée comme pédagogique avant de se radicaliser pour devenir prophylactique. 3 . 3Mais l’entreprise d’Emmanuel Faye est beaucoup plus ambi­tieuse. 5 . 4Le jugement sans appel de notre critique est fondé sur un pré­supposé philosophique qui n’est à aucun moment établi, ni élucidé, mais affirmé de façon incantatoire comme allant de soi. 7 . 5La Lettre sur l’humanisme peut être contestée quand elle prétend que l’humanisme traditionnel, issu d’une romanité qui n’a pas les faveurs de l’auteur, n’a pas porté assez haut la grandeur de l’homme parce qu’il s’est enfermé dans un « subjectivisme méta­physique ». 9 . 13 . 14 . 15 . 16 .

Concepts

Paris4- Philo. Heidegger - Les introuvables. Martin Heidegger et l'ontologie par Emmanuel Lévinas. (Le temps) La notion de sujet, - l'opposition du sujet à l'objet et son rapport avec lui, la spécificité de ce rapport, irréductible aux relations comme ressemblance, égalité, action, passion, causalité - caractérise la philosophie moderne. Pensant jusqu'au bout la notion du sujet, la philosophie transcendantale, à travers ses variations, affirme que la condition de l'être n'est pas un être à son tour. Le fondement de l'objet par le sujet n'équivaut pas au fondement de la conséquence par la principe. Il n'est pas non plus un événement temporel et qui dure ; et cependant le rapport entre le sujet et l'objet s'accomplit dans l'actualité du cogito et, par là, s'insère dans la trame du temps. L'idéalisme a cherché à épurer le sujet de cette dernière contamination par le temps, de ce dernier mélange d'être au sein de l'événement appelé à fonder l'être.

Entreprise qui impose un escamotage ou une déduction du temps. (L'Être) Partons donc du problème fondamental de la signification de l'être. La destinée cybernétique de l’occident. McCulloch, Heidegger et la fin de la philosophie. Ce texte est la version augmentée de mon article « Parmenideische Variationen. McCulloch, Heidegger und das kybernetische Ende der Philosophie » [« Variations parménidiennes. McCulloch, Heidegger et la fin de la philosophie par la cybernétique »], publié dans : Claus Pias (éd.) : Cybernetics/Kybernetik.

The Macy-Conferences 1946-1953, t.2 : Essays und Dokumente, Zurich / Berlin : 2004, p. 209-225. Toutes les citations de Maxwell sont tirées de : James Clerk Maxwell, “Adress to the Mathematical and Physical Sections of the British Association” [1870], in J.C. Charles Sherrington, Man and his Nature. Warren McCulloch, “Through the Den of the Metaphysician” [1948], in W. Ibid., p. 144 (je souligne). Lily E. Voir Warren McCulloch, “A Historical Introduction to the Postulational Foundations of Experimental Epistemology” [1964], in W. Warren McCulloch, Walter Pitts, “A Logical Calculus of the Ideas Immanent in Nervous Activity”, in W. Ibid., p. 75-76. Voir Victor Lowe, Alfred North Whitehead. Etretemps. Jean Beaufret à la rencontre de Martin Heidegger <img src=' border='0'> - Entretiens de Jean Beaufret avec Frédéric de Towarnicki.

« Qu’il soit de l’essence du joyau, où l’on entend vibrer à la fois le latin et peut-être , le jeu et peut-être la joie de l’être, de pouvoir devenir la "moindre des choses", celle qui se dérobe dans l’inapparence de l’insignifiant, c’est l’affaire de l’être, non la nôtre. » Jean Beaufret, , 1969. Lettre à Martin Heidegger pour son quatre-vingtième anniversaire En 1973 Jean Beaufret publie le premier volume de son qui en comportera quatre : I. Philosophie grecque. II. III. IV. En avant-propos du premier volume, une , datée du 26 septembre 1969. Cette Lettre se présente comme « » aux pages que Heidegger écrivit en 1937, deux ans avant le début de la deuxième guerre mondiale, qui avaient pour titre : .

Jean Beaufret écrit : « Lentement a paru naître en vous la pensée que le rapport peut-être de votre propre pensée avec la France et les Français était chose essentielle — plus essentielle sans doute que d’autres rencontres européennes ou mondiales. Et, plus loin : N’y rencontra pour tout potage. Heidegger, Lettre sur l'Humanisme. Par Olaf : Heidegger, Lettre sur l’Humanisme Jean Beaufret, à la suite d’articles sur l’existentialisme publiés dans la revue Confluence, écrit une lettre à Heidegger lui demandant d’éclaircir sa position vis-à-vis de l’humanisme. C’est l’occasion pour le penseur allemand de régler ses comptes par rapport à Sartre et au marxisme, très prégnant au sortir de la guerre. Dans ce texte écrit en 1946, Heidegger définira une orientation nouvelle de l’humanisme, en rapport étroit avec l’Etre et le langage. Je vais tenter ici un exposé assez complet de cette lettre sur l’humanisme, que j’organiserai selon trois parties, parce que c’est un texte essentiel à la pensée de Heidegger.

I – L’humanisme ordinaire comme Métaphysique Heidegger fait dans cette lettre une histoire de l’être de l’humanisme. Nous verrons que l’humanisme a pris au cours de l’histoire plusieurs acceptions, que Heidegger va rejeter parce qu’elles en restent à la Métaphysique, la pensée de l’étant. II – La Vérité de l’Etre Conclusion. 2008-Aleksandravicius-Povilas-These.

Maldiney

Jean Beaufret à la rencontre de Martin Heidegger <img src=' border='0'> - Entretiens de Jean Beaufret avec Frédéric de Towarnicki. CARRIQUE_2010-07-23_102955.