1890 Guerre des belges contre l'Islam esclavagiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les Campagnes de l'État indépendant du Congo contre les Arabo-Swahilis sont un ensemble d'opérations militaires menées par la Force publique de l'État indépendant du Congo (EIC) contre les états dirigés par les sultans bantous musulmans dans l'est de l'actuel territoire de la République démocratique du Congo de mai 1892 à janvier 1894. Au plus fort de l'engagement fin 1892, environ 100 000 Arabo-Swahilis répartis en plusieurs armées seront opposés à 120 Européens à la tête de 3 500 soldats réguliers[1], et davantage d'auxiliaires, sur un territoire de la taille de la France.
Préambule[modifier | modifier le code] Stanley les rencontra à nouveau lors de son second voyage dans la région en 1876. Alors qu'en1887 Léopold 2 nomme Tippo-Tip gouverneur. L'entreprise génocidaire Léopoldienne est toujours en quête de recyclage. Elle fut déjà pourtant dénoncée et condamnée par le Rapport de la Commission d'Enquête du Sénat Belge du 30/10/1905, présidée par Monsieur Edmond JANSSENS. Les honorables commissaires avaient parcouru l'EIC de septembre 1904 à octobre 1905. Ils ont vécu les carnages de Léopold II, qui se perpétuent jusqu'à ce jour par près de 4 millions des morts congolais, pendant 4 ans des guerres d'agression, financées par la coalition belgo-anglosaxonne (U.S.A.
,G.B.). Ainsi, dès les origines, Léopold II, conscient de ses crimes contre l'humanité au Congo, fit brûler toutes les Archives allant de juillet 1877 à avril 1884, période au cours de laquelle son A.I.C. se livra à des razzias les plus sanguinaires de tout le temps. 1837-1905 Tippo Tip, l'esclavagiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tippo Tip Biographie[modifier | modifier le code] Tippo Tip rencontra et aida plusieurs des grands explorateurs européens du continent africain, dont Henry Morton Stanley, Eduard Schnitzer (Emin Pasha), David Livingstone, Veney Cameron, Hermann von Wissmann et Wilhelm Junker. Il meurt en 1905 à Stone Town, sa ville d'origine qui est la principale ville de l'archipel de Zanzibar. Bibliographie[modifier | modifier le code] BONTINCK, F. : L'Autobiographie de Hamed ben Mohamed el-Murjebi Tippo Tip (ca. 1840-1905) (1974) - Bruxelles : Académie royale des sciences d'outre-mer.ABEL, A. : Les Musulmans noirs du Maniema (1960) - Bruxelles : éditions ORIENT / Centre pour l'étude des problèmes du monde musulman contemporain.
03/01/1892 le général belge Jacques crée le poste militaire d'Albertville. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Jacques. Le baron Jules Marie Alphonse Jacques de Dixmude (Stavelot, 24 février 1858 - Ixelles, 24 novembre 1928) connu sous le nom abrégé de Général Jacques est un militaire belge et un explorateur du Congo. Carrière militaire[modifier | modifier le code] Le 4 mai 1878, le sous-lieutenant Jacques sort de l'École militaire et rentre dans le 9e régiment de ligne.
Le 7 décembre 1886, il obtient son brevet d'adjoint d'état-major. Après ses expéditions en Afrique, il devient: Major le 26 juin 1907.Commandant en second de l'École militaire le 30 septembre 1908 commeLieutenant-colonel le 26 juin 1913Colonel le 31 juillet 1914. 1971 Albertville devient Kalemie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Histoire[modifier | modifier le code] La Cathédrale Saint-Albert, sur la place Colline d'État. La ville fut fondée le par Jacques de Dixmude et fut ensuite rapidement assiégée et attaquée par les troupes de Rumaliza, à l'occasion des campagnes de l'État indépendant du Congo contre les Arabo-Swahilis.
Le chemin de fer a atteint Albertville en 1915, et en 1916, le port a été créé et les mines de charbon à Greinerville ouvertes. Albertville a été attaquée par des mercenaires du major Mike Hoare au cours d'opérations contre la rébellion Simba en août 1964. Économie[modifier | modifier le code] Une importante usine de filature, la FILTISAF, fondée en 1947, occupe 1 500 ouvriers jusqu'au milieu des années 1980 ; elle est ensuite reprise par le groupe UNIBRA puis cédée à l'état zaïrois au début des années 1990[1].
Kalemie possède également une cimenterie : Ciment Lacs[2]. Les croisettes du Katanga. Version imprimable Croisettes Récemment, la République Démocratique du Congo a fêté l’anniversaire de son indépendance.
Nous saisissons cette occasion pour évoquer un objet particulier provenant d’une des provinces du sud de la République Démocratique du Congo, le Katanga. Il s’agit de la croisette en cuivre. Depuis toujours, le Katanga a bénéficié d’une aura particulière grâce à sa richesse en gisements minéraux, ses mines de cuivre ont toujours été particulièrement renommées. Source: Réseau Documentaire International sur la Région des Grands Lacs africains, La récolte du minerai de cuivre se faisait pendant la saison sèche, vers la mi-mai. Les croisettes ont servi telles quelles comme moyen de paiement, d’échange, pendant plusieurs siècles dans beaucoup de sociétés d’Afrique centrale. Croisette du Katanga À la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle, les croisettes commencèrent à être utilisées lors des échanges quotidiens.