background preloader

Culture OpenData

Facebook Twitter

Pourquoi la Culture est devenue le mouton noir de l’Open Data en France. La semaine dernière, un atelier Open GLAM s’est tenu au centre Pompidou, organisé par Wikimédia France et l’Open Knowledge Foundation, autour des questions de réutilisation des données et contenus culturels. "Constatant en France un certain nombre de blocages vis à vis de ces sujets, notamment sur le plan juridique", ces deux organisations proposaient de rassembler des participants, issus à la fois d’institutions culturelles et d’associations œuvrant pour la libération des contenus, afin d’identifier les obstacles à la réutilisation des données dans ce secteur.

Black Sheep 1. Par Ionics. CC-BY. Dans ce cadre, il m’a été demandé de faire une présentation introductive, pour essayer de répondre à la question "Pour ou Contre l’ouverture des contenus et données culturels ? " Je me suis attaché à essayer de montrer en quoi les données culturelles disposent en France d’un statut particulier au sein des informations produites par les administrations. Like this: J'aime chargement… Internum | Réseau d'acteurs, d'artistes, de structures autour des arts et des cultures numériques. Compte-rendu de la rencontre Culture & Patrimoine. Bonjour à tous, Tout d’abord, merci à tous les participants de la rencontre culture, patrimoine, open data et open content qui s’est déroulée hier soir à la Cantine Numérique. Nous étions une trentaine de personnes, réunis autour de représentants de quatre acteurs culturels rennais (les Archives municipales, la Bibliothèque Rennes Métropole, la Criée et Transmusicales), et nous avons entamé des réflexions collectives autour des données et contenus ouverts, et des utilisations possibles dans l’avenir.

Introduction de la rencontre Le support de présentation de la rencontre est disponible ici. Nous avons commencé par rappeler rapidement les concepts d’open data (données ouvertes) et open content (contenus ouverts) qui se basent sur trois critères principaux afin que ces données et contenus soient accessibles et réutilisables : l’accès en ligne à ces données / contenusdes formats ouverts, réutilisables, interopérablesune licence libre qui autorise le plus possible les réutilisations Bibliothèque. Comment appliquer l’Open data à la Culture ? Une rencontre culture, patrimoine, open data et open content s’est déroulée jeudi 19 avril à la Cantine Numérique. Une trentaine de personnes étaient présentes, réunis autour de représentants de quatre acteurs culturels rennais (les Archives municipales, la Bibliothèque Rennes Métropole, la Criée et Transmusicales). L’occasion était donnée d’entamé des réflexions collectives autour des données et contenus ouverts, mais aussi des utilisations possibles dans l’avenir.

Lire le compte-rendu de la rencontre par @Exirel et @Auregann : Nous avons commencé par rappeler rapidement les concepts d’open data (données ouvertes) et open content (contenus ouverts) qui se basent sur trois critères principaux afin que ces données et contenus soient accessibles et réutilisables : – l’accès en ligne à ces données / contenus – des formats ouverts, réutilisables, interopérables – une licence libre qui autorise le plus possible les réutilisations When should I visit ?

Ces groupes avaient deux objectifs : De l’inutilité de l’exception culturelle en matière de réutilisation des données publiques. Aujourd’hui, la CNIL a publié une synthèse (Comment concilier la protection de la vie privée et la réutilisation des archives publiques sur Internet ?) Qui me paraît importante dans la mesure où elle confirme une intuition que j’ai depuis longtemps : l’exception culturelle prévue par la loi du 17 juillet 1978 (dite loi CADA) en matière de réutilisation des informations publiques est inutile et vide de contenu juridique réel.

De quoi s’agit-il exactement et pourquoi est-ce important ? Useless. Par laverrue. CC-BY. Source : Flickr Il y a un mois, la Fing dans un billet intitulé "La culture est-elle le parent pauvre de l’Open Data ? " Les initiatives « open data » dans le monde de la culture semblent en effet encore peu fréquentes. Et elle avançait une cause juridique pour expliquer cet état de fait : Il faut aussi dire que la législation n’encourage pas le changement puisque la loi de 1978 permet aux acteurs publics de la culture d’exclure de son champ les données culturelles. Like this: