background preloader

Catastrophe Nucléaire Japon

Facebook Twitter

Help. Fukushima reste moins grave que Tchernobyl selon l'ASN. Crise nucléaire au Japon : l'accident de Fukushima aussi grave que celui de Tchernobyl. L'Agence de sûreté nucléaire japonaise a annoncé mardi qu'elle relevait de 5 à 7, le niveau de gravité de l'accident de la centrale de Fukushima sur l'échelle des événements nucléaires et radiologiques (INES). Le niveau 7 caractérise "un rejet majeur de matières radioactives" entraînant "des effets considérables sur la santé et l'environnement". L'accident japonais est désormais classé au plus haut de l'échelle, rang auquel seule la catastrophe de Tchernobyl de 1986 figurait jusqu'à présent. Néanmoins, les autorités nippones se sont empressées de préciser que les émissions radioactives de la centrale endommagée représentaient seulement 10% du niveau d'émissions de la centrale ukrainienne. Ce relèvement annoncé par l'agence japonaise devra toutefois être validé par un comité international d'experts.

Le maintien des restrictions sur l'importation des denrées japonaises. Toutefois, le volontarisme du chef du gouvernement ne suffit pas. Une crise économique plus sévère que prévue. Japon. L’inconséquence mortifère. Erreurs, malversations, inconséquences… les charges s’accumulent à l’égard de Tepco (Tokyo Electric Power), exploitant de la centrale de Fukushima. Sa gestion, en amont et en aval du drame, est mise en cause pour expliquer l’ampleur de la catastrophe. Preuve de sa faillite intégrale ? La nationalisation du premier producteur mondial d’électricité est désormais évoquée par le gouvernement nippon.

Falsification de documents. En 2002, Tepco faisait scandale pour avoir falsifié des documents d’inspection afin de dissimuler des problèmes survenus sur des réacteurs, lesquels affectaient les centrales de Kashiwazaki-Kariwa et de Fukushima. Le PDG, le vice-président et le président du conseil d’administration de la compagnie avaient dû démissionner. Inconséquences face à l’urgence. Manque de transparence. Insuffisance des normes antisismiques. Japan Probes Smoke at Nuclear Plant. Catastrophe de Fukushima - événements et enjeux | Technoscopie. Cette page regroupe par thème, puis par ordre chronologique décroissant (les dernières d’abord) mes notes sur la catastrophe nucléaire de Fukushima, les questions de cette question pose sur nos choix énergétiques et informations connexes.

Consolidant des informations écrites « à chaud » dans différentes rubriques, elle complète les éléments plus rédigés que j’ai publié par ailleurs – veuillez excuser le style bref, adapté à la diffusion twitter / facebook initialement effectuée. Evénements à Fukushima Enjeux pour l’avenir énergétique, notamment en France Retour sur Tchernobyl – 1986 Perceptions artistiques Vidberg sur le nuage s’est arrêté à la frontière Le nuage s'est arrêté à la frontièreAgir pour le Climat, les niveaux de gravité des catastrophes nucléaires. Red - les différents niveaux d'alerte nucléaireRockin’squat, on n’a pas de pétrole mais on a des idées, écrit en 2010. Rockin’ Squat « On n’a pas de pétrole… » par Livinastro. Sciences : Nucléaire japonais : mieux comprendre les incidents.

INFOGRAPHIE - Les systèmes de refroidissement des réacteurs à eau bouillante de Fukushima Daiichi ont été endommagés. La hausse de température dans trois réacteurs fait craindre une catastrophe. Explications. Que se passe-t-il dans la centrale de Fukushima Daiichi ? Le tsunami et le tremblement de terre ont perturbé l'alimentation électrique de la centrale. Si le système d'urgence a permis d'arrêter en partie la réaction nucléaire, les pompes du système de refroidissement du réacteur ont été mises hors service et les systèmes de secours n'ont pas fonctionné correctement dans trois réacteurs. Rapide point de la situation dans chacun d'entre eux : Réacteur n°1 : Le bâtiment contenant ce réacteur a explosé samedi.

Réacteur n°2 : Le niveau de l'eau a baissé de manière inquiétante dans ce réacteur. Réacteur n°3 : Les autorités font «comme si» le cœur nucléaire avait déjà fondu. Les autorités tentent de refroidir à l'eau de mer les trois réacteurs. Que peut-il se produire maintenant ? 1. Le scenario de l'accident d'un réacteur nucléaire.

Chernobyl hero Iouli Andreev accuses Japan of putting profits before nuclear safety. Nuclear accident specialist slams nuclear industry Fukushima fire shows "Japanese were very greedy" Engineers running out of options at stricken plant Leaks trigger panic-buying of iodine pills Latest updates on the crisis at Fukushima Japan Ground Self-Defence Force soldiers gear up to wash away radioactive material emitted from Fukushima No.1 nuclear power plant. Picture: AP Source: AP ONE of the men brought in to clean up Chernobyl has accused the Japanese nuclear industry of putting profits before safety. As the radiation leaks from the stricken Fuskushima power plant sparked panic buying of iodine pills, Russian nuclear accident specialist Iouli Andreev said that greed in the nuclear industry and corporate influence over the UN's nuclear watchdog, the IEAA, may doom Japan to a spreading nuclear disaster.

He said a fire at Fukushima No 1 power plant involving spent fuel rods stored close to reactors pointed to a wilful disregard for safety. Nuclear critics come out. Obama et le nucléaire - Big Picture - Blog LeMonde.fr. Paradoxalement, Barack Obama, qui a relancé à son arrivée à la Maison Blanche l'idée d'un monde sans armes atomiques, n'a pas bondi sur l'occasion fournie par la catastrophe au Japon pour revoir sa stratégie de redémarrage de l'énergie nucléaire aux Etats-Unis (20 % de l'électricité du pays seulement). La Maison Blanche continue d'être pour une diversification des moyens de production de l'énergie. - "The United States needs a diverse supply of energy," a déclaré le secrétaire à l'énergie Steven Chu (après avoir confirmé devant une commission du Congrès que les Etats-Unis ont envoyé au Japon du matériel de détection de la radioactivité -pour faire leurs propres évaluations).

Mais les experts restent formels: un séisme aussi puissant qu'au Japon est inenvisageable en Californie. Corine Lesnes est correspondante du "Monde" à Washington depuis 2006. Cette entrée a été publiée dans Non classé. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien. International : Japon : les kamikazes du nucléaire sacrifient leur vie. Ils seraient une cinquantaine de héros, dans des conditions folles, à jouer le tout pour le tout dans la centrale de Fukushima afin d'éviter la fusion du cœur des réacteurs. Ce sont des héros. Ils jouent le tout pour le tout. Alors que le monde est actuellement confronté à la plus grande catastrophe nucléaire depuis celle de Tchernobyl en 1986, les salariés de la centrale de Fukushima, à 250 km au nord-est de Tokyo, seraient une cinquantaine à se battre.

En temps normal, ils sont 800 à travailler sur le site. Mais une partie a été évacuée. Munis de combinaisons protectrices, ces hommes, qui sont de véritables sacrifiés, ont notamment pour tâche d'injecter de l'eau de mer dans le réacteur pour en refroidir le cœur. À Fukushima, la situation est très préoccupante. Un choix volontaire Si un accident de ce type se produisait en France, des «intervenants en situation d'urgence radiologique» seraient prêts à intervenir. Japon: la catastrophe nucléaire avait été prévue. Nucléaire au Japon : les écolos sont-ils « indécents » ? Par solidarité avec les Japonais qui souffrent, il est donc « indécent » de soulever la question nucléaire. L’argument, d’abord émis par NKM et Besson, était repris au vol par Allègre lundi soir sur France 2, et par Royal, au même moment, dans un meeting. Un débat ?

Oui, un jour. Demain. A la vérité, ce débat, les nucléocrates n’en ont jamais voulu et n’en veulent pas. Le patron d’EDF a eu quelques heures, un samedi matin, pour proposer au gouvernement le nombre des centrales qu’il pouvait construire. Tout ceci est raconté dans un documentaire que nous avions diffusé, dans Arrêt Sur Images, en 1999, et qui prend aujourd’hui, alors que se fissurent les certitudes des nucléocrates à la même vitesse que les enceintes de confinement de Fukushima. Indécence, disait-on. Qu’est-ce qui définit l’indécence ? Mais, chers pourfendeurs de « l’indécence » des écolos, évitez d’appeler en renfort l’exigence de solidarité avec les Japonais qui souffrent.

Accueil - IRSN - Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire. Forte réplique près de la centrale d'Onagawa (7.1 Mw) suite au séisme du 11 mars 2011 Jeudi 7 avril 2011 à 23h32 heure locale (14h32 TU), un séisme de magnitude 7,1 s’est produit à quelques kilomètres de la côte Est de l’île d’Honshu au Japon, à environ 20 km de la centrale nucléaire d’Onagawa, et à 70 km à l’est de la ville de Sendaï. L’IRSN publie une note d’information sur les caractéristiques de ce séisme. L’Alliance Européenne en Radioécologie : une initiative pour une meilleure intégration des recherches menées en radioécologie en Europe Lors de la Conférence Internationale de Radioécologie et de Radioactivité Environnementale qui ouvre le 20 juin 2011 à Hamilton (Canada), huit organismes de recherche européens présentent une initiative pour intégrer les travaux de recherche en radioécologie conduits en Europe.

Position de l’IRSN sur les critiques de la CRIIRAD relatives à la surveillance environnementale en France après l’accident de Fukushima. Comment fonctionne une centrale nucléaire. Une centrale nucléaire est une usine de production d’électricité. Elle utilise pour cela la chaleur libérée par l’uranium qui constitue le "combustible nucléaire". L’objectif est de faire chauffer de l’eau afin d’obtenir de la vapeur. La pression de la vapeur permet de faire tourner à grande vitesse une turbine, laquelle entraîne un alternateur qui produit de l’électricité. Ce principe de fonctionnement est le même que celui qui est utilisé dans les centrales thermiques classiques fonctionnant avec du charbon, du pétrole ou du gaz… à cette différence que le combustible utilisé comme source de chaleur est constitué par l’uranium.

Le principe de production de l’électricité dans une centrale nucléaire peut donc être schématisé comme suit : Le processus de production d’électricité dans une centrale nucléaire à eau sous pression Schéma de fonctionnement d’un Réacteur à Eau sous Pression (REP) Le panache blanc des centrales nucléaires… Le pilotage d’une tranche nucléaire (EDF - Photo : G. Indécence (s) Par solidarité avec les Japonais qui souffrent, il est donc "indécent" de soulever la question nucléaire. L'argument, d'abord émis par NKM et Besson, était repris au vol par Allègre hier soir sur France 2, et par Royal, au même moment, dans un meeting. Un débat ? Oui, demain. Après-demain. Un jour. Quand les choses se seront calmées au Japon. Mais pour l'instant, c'est "indécent". A la vérité, ce débat, les nucléocrates n'en ont jamais voulu, et n'en veulent pas. Indécence, disait-on. Abonnez-vous ! Le scénario de la catastrophe de Fukushima.

Japon : niveau de radioactivité jusqu'à dix fois plus élevé que la normale. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Les deux nouvelles explosions survenues, mardi 15 mars, à la centrale atomique de Fukushima Dai-Ichi et l'incendie qui s'est déclenché sur le réacteur 4 ont provoqué dans la région, et cela jusqu'à Tokyo, une hausse du niveau de radioactivité. Ce niveau a "considérablement augmenté", a concédé le premier ministre japonais, Naoto Kan. Des substances radioactives ont été libérées directement dans l'atmosphère à la suite de l'incendie du réacteur 4, a confirmé de son côté l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Le niveau de radioactivité a ainsi augmenté mardi dans la capitale, où il était dix fois supérieur à la normale.

La mairie de la métropole – agglomération la plus peuplée du monde, avec 35 millions d'habitants – a toutefois affirmé qu'il n'y a pas pour autant de danger pour la santé de la population. L'Organisation météorologique mondiale minimisait aussi, mardi, les effets de la radioactivité au Japon. Nucléaire: pourquoi l'Etat français ne veut pas en débattre. Est-il possible de se passer du nucléaire? Est-il surtout possible pour le gouvernement de se poser cette question? Les écologistes affirment que non. Sur le plateau du 20h de France2 dimanche soir, Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre de l'Ecologie, a refusé de répondre à Corinne Lepage qui appelait à un "débat loyal, sans les lobbies, sur la question du nucléaire en France". Ce lundi sur France Inter, Eric Besson a déclaré qu'il serait bien d'attendre "la fin de la crise japonaise, ne serait-ce que par solidarité avec les Japonais, pour nous empoigner en France".

Cette absence de débat étonne François de Rugy, député Europe Ecologie-Les Verts (EELV): "Si les ministres étaient si sûrs de leurs convictions, ils n'auraient pas peur de les confronter. Or c'est tout le contraire, [...] la volonté du gouvernement est d'éviter tout débat". Préserver les intérêts d'Areva Pour Greenpeace, en réalité, le gouvernement doit gérer sa propre crise, celle de l'industrie nucléaire. Japon/nucléaire : une carte des niveaux de radioactivité en France disponible sur internet. Alors qu'une hausse des niveaux de radioactivité dans l'atmosphère est désormais évoquée au Japon, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) met à disposition du public les résultats de la surveillance radiologique du territoire français grâce à la carte Criter Japon.

Ce site internet permet d’accéder, avec un décalage d'une heure, aux mesures de rayonnement gamma dans l’air ambiant, transmises par les sondes du réseau Téléray, depuis le 14 mars à 14h20. Il s’enrichira dans les jours qui viennent d'autres mesures, comme celles effectuées sur les filtres aérosols ou les eaux de pluie. En effet, ces autres mesures sont effectuées en laboratoire à la suite de prélèvements individuels et ne peuvent donc être obtenues qu’en différé de quelques jours, précise l'IRSN.

Pour bien comprendre les indications fournies par Criter Japon : Accéder au site internet dédié Criter Japon Les identifiants pour se connecter au site sont les suivants : Le Grand Journal - Le Grand Journal du 14/03/11 - Partie 1. Nucléaire : Cohn-Bendit veut un référendum - une vidéo Actu et Politique. L'Allemagne est mûre pour sortir du nucléaire. Pas la France. Les événements au Japon relancent le débat sur le nucléaire. Plus en Allemagne qu’en France. Outre-Rhin, à lire les éditoriaux dans la presse, les blogs ou à entendre les réactions des auditeurs à la radio, le nucléaire, c’est « nein danke ».

Quand Sarkozy répète qu’il n’est « pas question de sortir du nucléaire », Angela Merkel joue une partie de poker serrée en annonçant pour trois mois un moratoire sur la prolongation de la durée de vie des centrales et la fermeture immédiate des sept réacteurs mis en service en Allemagne « avant la fin 1980 ». Le temps de faire le gros dos face à ce qui pourrait se transformer en orage électoral. Le 27 mars prochain se dérouleront les élections en Bade-Wurtenberg, deuxième Lander le plus peuplé du pays et fief du parti conservateur d’Angela Merkel (CDU) depuis près de soixante ans.

Or, les sondages prédisent un résultat serré. Sept autres élections régionales vont se tenir en Allemagne en 2011, peut-être huit. Regardons dans le rétro. Cinq jours de cauchemar à Fukushima. Tout est sous contrôle. Le "lobby nucléaire" existe à gauche comme à droite. Nucléaire : pourquoi ce long silence français.