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Papier/Tablettes

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Les journaux traditionnels auront disparu en 2040. Les journaux traditionnels sur papier auront disparu dans le monde d'ici 2040 et seront remplacés par des supports numériques, a prédit Francis Gurry, directeur général de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (Ompi), une agence de l'ONU basée à Genève. Dans une interview au quotidien suisse La Tribune de Genève, Gurry a déclaré que "dans quelques années il n'y aura plus de journaux imprimés tels qu'on les connaît aujourd'hui. C'est une évolution, ce n'est ni bien, ni mal, il y a des études qui annoncent leur disparition pour 2040, aux Etats-Unis ce serait pour 2017". Selon Gurry, il s'agit d'une évolution inévitable, puisqu'on vend déjà aux Etats-Unis plus de livres numériques que de livres en papier, et dans les villes on trouve de moins en moins de librairies.

Un des problèmes liés à cette évolution est la rémunération des journalistes, ajoute le responsable. (Source AFP) Tablettes, eReaders : sauveurs ou fossoyeurs de la presse ? – 9e CFPJ Lab. La question agitait le CFPJ Lab ce mardi 13 juillet, en compagnie d’Emmanuel Vacher, directeur marketing de Lagardère Active, et d’Hervé Bienvault, consultant indépendant et éditeur du blog Aldus. L’ébullition, provoquée par l’arrivée de l’iPad en mars dernier, a suscité bien des espoirs dans un monde des médias en mal de solution au problème de monétisation de l’audience sur le web. Pour le spécialiste du secteur de l’édition, Hervé Bienvault, les fonctionnalités des tablettes numériques et autres liseuses se rapprochent bien plus de l’expérience de l’imprimé que de celle de l’ordinateur.

Ces supports ont fait leur apparition dans la presse japonaise il y a quatre ans, et reposent sur des technologies développées par « les gens de l’imprimé », en particulier Amazon et son Kindle. Les principaux atouts de ces nouveaux supports : le rétro-éclairage et l’utilisation d’une encre électronique qui facilite la lecture immersive et ne provoque pas de gêne tant à l’usage continu qu’au soleil. Tablettes, smartphones : comment les innovations techniques chan. Les tablettes moins intéressantes pour les médias écrits, révèle une étude. Hugo PRÉVOST Si les tablettes électroniques se vendent, qu’en est-il du contenu journalistique payant qui prend d’assaut ces gadgets? Les résultats d’une étude réalisée par le Programme d’excellence en journalisme du Pew Research Center, qui ont été publiés en début de semaine, pourraient bien avoir l’effet d’une douche froide sur les enthousiastes des nouvelles numériques.

Au dire de cette étude, 11 pour cent des adultes américains possèdent désormais une tablette numérique d’une marque ou une autre, et ce après que l’arrivée du iPad d’Apple sur le marché eut fait exploser la demande pour ce type d’appareil. De ce nombre, un peu plus de la moitié (53 pour cent) s’en servent pour consulter les informations sur une base quotidienne, explique le Pew Research Center, avant de préciser qu’une majorité affirme ne pas avoir l’intention de s’en servir pour acheter de l’information à consulter sur ces tablettes. Les résultats de l’étude, toutefois, tendent à prouver le contraire. L’état d’esprit du papier. Comment produire des informations calibrées pour le mobile? Crédit: Flickr/CC/leppre D’ici 2015, la majorité du trafic sur Internet pourrait se faire à partir d’un terminal mobile, et non plus d’un ordinateur fixe. En France, déjà 16,1 millions de personnes se sont connectées à Internet depuis un téléphone portable.

«Le mobile n’est pas le prochain “gros truc”, déclare Ian Carrington, de Google . C’est déjà bien au delà de cela.» En plein essor, le téléphone distribue des contenus d’actualité, sous une autre forme et une autre temporalité que celle pratiquée sur les sites Web. Une nouvelle donne qui change, pour les lecteurs, la façon de consommer des informations. Premières ébauches de réponses. Accompagner la mobilité «Les lecteurs en mobilité veulent des bouchées d’information qui vont leur servir à l’instant T», estime le site Mashable. Alpaguer des lecteurs sollicités en permanence S’adapter au tout petit écran Taille d’un écran d’iPhone? En revanche, des photos de visages s’avèrent identifiables, même sur un écran de téléphone portable.

Papier contre Écran. Il y a un peu plus de cinq ans, j'ai publiquement déclaré avoir résilié mon abonnement au New York Times. Je n'avais alors aucun problème avec le Times en lui-même, sa ligne éditoriale ou sa façon de traiter le Moyen-Orient, les minorités ethniques, la religion et le sexe (entre autres sujets sensibles pouvant amener certains lecteurs à se désabonner).

Si je ne voulais plus de la version papier, c'était avant tout parce qu'avec son élégante nouvelle mouture, le site du New York Times était devenu un meilleur vecteur d'information que le quotidien papier en tant que tel. publicité Autre argument en faveur de la version Internet: le site était gratuit (la version papier me coûtait alors 621,40 dollars par an). Mais d'une manière générale, j'estimais que le nouvel habillage du site était mieux adapté à mon mode de vie, à mon travail. Nostalgie du New York Times papier Un moins bon souvenir des articles Mais non. Plus de souvenirs sur le papier qu'en ligne Un problème de hiérarchisation. L'iPad est-il un bon appareil pour la lecture ? Livres numériques, journaux, magazines, BD, blogs et sites internet, l'iPad sait (presque) tout lire. Si vous considérez comme moi que la lecture ne s'arrête pas aux ebooks, mais englobe aussi le surf sur internet, la consultation de journaux, de magazines, de BD....alors il semblerait que l'iPad est majoritairement utilisé en tant qu'outil de lecture.

Mais est-il bien adapté à cet usage ? Lire des ebooks : Pour lire un ebook, il vous suffit de choisir l'application qui vous plaît : Kindle, iBooks, Kobo, Barnes & Noble, sont les principales. Pour la première fois, vous pouvez avoir accès à tous les catalogues depuis une seule et même machine. Pour les ebooks, l'iPad est une petite révolution, mais attention quand même, s'il n'a pas les inconvénients des lecteurs e-paper, il n'en a pas non plus les avantages : il est lourd, il a une autonomie limitée, il provoque chez certains une fatigue visuelle en utilisation prolongée, et en extérieur, c'est un véritable miroir. Lire la presse :