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Nouveaux usages

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Médiathèques Montpellier Méditerranée Métropole - Empruntez un bibliothécaire. Biblio-connection. Réflexion sur les tablettes en bibliothèques. J’ai eu l’occasion d’intervenir ou de discuter à plusieurs reprises des tablettes en bibliothèques. On se rend compte que certaines questions reviennent assez régulièrement chez les collègues qui souhaitent mettre en place ce service. J’aimerais apporter quelques éléments de réponses qui, je l’espère, aideront celles et ceux qui veulent franchir le pas et proposer des ardoises numériques à leurs publics.

Evidemment, les réponses reposent sur mon expérience et sur ma conception de ce service. Vous n’êtes pas obligés d’être d’accord. 1) Le matériel : Apple ou Android ? Il n’y a pas de dogme. 2) Accès libre/prêt : La question de la forme de la mise à disposition est inhérente aux tablettes. 3) J’achète comment les applis pour mes tablettes ? Si je suis sous iOS, je passe par l’AppStore. A) Je pique celle d’un lecteur. b) Si la bibliothèque n’a pas de CB. 4) Les tablettes ne sont pas utilisées : Il peut arriver que les tablettes ne rencontrent pas le succès escompté. 7) Quels types d’ateliers ?

Numériser des VHS à la médiathèque, c'est possible - Un service original est proposé par la médiathèque de Lorient : A la médiathèque de LorientA l’Espace Culture Multimédia,nous mettons gratuitement à disposition du matériel et des logiciels pour vous permettre de numériser vos vidéos VHS.Il suffit de réserver un des postes dédiés … Un service qui est parfaitement légal, à condition bien sûr que les usagers numérisent leur propres films amateurs sur bandes magnétiques… et en aucun cas des VHS de films achetés dans le commerce (et là j’ai un doute : vous en connaissez vous des gens qui ont encore des films de vacances en VHS?

) En tout cas, j’aime bien cette idée de la bibliothèque comme espace d’accompagnement et de transition des usages ! Numériser des VHS à la médiathèque, c’est possible by Silvae is licensed under a Creative Commons Attribution-ShareAlike 4.0 International License. A quoi ressemble la bibliothèque des Français ? Bib’Invaders : le jeu vidéo à l'honneur. Qui a dit que le jeu vidéo n’était pas un truc de bibliothécaire ? Sûrement pas les animateurs multimédia et bibliothécaires de la Cub ! En effet, les médiathèques de Bègles, Blanquefort, Le Bouscat, Le Haillan, Mérignac, Pessac et Le Taillan ont pris le parti de « valoriser l'introduction de la culture numérique au sein des bibliothèques et médiathèques », et tout cela pour le plus grand plaisir des amateurs, qu’ils soient néophytes ou confirmés ! A noter dans les agenda : en mars 2013, Gradignan prend la relève avec 5 jours d'animations! Voir toute l'information ici! Pari tenu : d’octobre à décembre 2012, une programmation riche a permis de découvrir plusieurs facettes du jeu vidéo, du rétro-gaming (jeux des années 70, 80 et 90) aux installations interactives les plus modernes.

Des bornes d’arcade à côté des rayonnages… Et le public ? Photo : Ville du Haillan. Plusieurs partenaires pour une manifestation amenée à durer. La co-construction de savoirs (1/3) Pascal Desfarges, spécialiste des territoires et de la médiation numérique est le fondateur de l'agence Retiss qui accompagne les organisations culturelles et les collectivités territoriales dans une démarche résolument innovante, réticulaire et collaborative autour des enjeux et usages liés au développement des technologies et des cultures numériques. Il intervient régulièrement auprès des bibliothèques pour décrypter les nouveaux moyens d'innover dont elles disposent pour hacker, détourner, remixer, partager, participer et inventer la bibliothèque de demain.

Le point de départ de cet article est de questionner le croisement de deux identités en mouvance : l’une qui doit repenser ses modèles et l’autre qui en invente de nouveaux : la bibliothèque et le tiers-lieu de fabrication (FabLab, Hackerspace, Makerspace). Les bibliothèques en mutation et les tiers-lieux, dont les modèles sont pluriels et en devenir ont ils à voir ensemble ? Du design vers la bibliothèque spéculative Notes. Les Livres voyageurs à Argentan. L'information sur les réseaux sociaux de plus en plus consultée.

Médiamétrie livre une étude qui s'intéresse aux habitudes de consommation de l’actualité en France. Les médias traditionnels – télévision, radio, presse - occupent la première place dans le domaine de l’information : les individus s’informent en majorité via les journaux télévisés (8 individus sur 10), les chaînes d’information en continu (52%), les radios généralistes ou d’information (49%) et la presse (49%). L’usage des médias numériques – portails/pages d’actualité, pure players et réseaux sociaux – quant à lui progresse : en 2016, 38% des individus interrogés déclarent s’informer via les médias numériques contre 34% en 2013. En matière de contenu, l’actualité locale et internationale, les sujets santé/sciences et la culture sont les thèmes les plus appréciés par les Français.

Des pratiques différentes selon l’âge Que ce soit en termes de contenu ou de canal d’information, les pratiques de consommation de l’actualité diffèrent selon les catégories de la population. Un marché stable où livres numériques et imprimés coexistent. À l’occasion de la 16e édition des Assises du Livre numérique, les chiffres du 6e Baromètre sur les usages du livre numérique, présenté par la Sofia (Société Française des Intérêts des Auteurs de l’écrit), le SNE (Syndicat National de l’Edition) et la SGDL (Société des Gens de Lettres) sont sortis. L’enquête a été menée une nouvelle fois par OpinionWay, du 8 au 17 février 2016, auprès de deux échantillons de personnes. Quelles sont les informations à retenir et quelle conclusion en tirer pour le marché du livre numérique ? Entre le 8 et le 17 février 2016, l’enquête a été menée auprès de deux échantillons de personnes : d’un côté, un échantillon de 2006 personnes âgées de 15 ans et plus, représentatif de la population française (par téléphone), de l’autre, un échantillon de 502 utilisateurs de livres numériques (via le Web), constitué à partir des résultats du premier échantillon.

Voici les 5 grandes informations à retenir : 2. « Le lecteur de livres numériques est un lecteur assidu » 3. Compte-rendu de la rencontre jeux vidéo et bibliothèques. La deuxième rencontre doc@paris s’est déroulée le 11 janvier 2016, elle portait sur le jeu vidéo en bibliothèque. Plutôt que de revenir une énième fois sur la légitimité culturelle du jeu vidéo, deux points ont été abordés : 1) La création de jeux vidéo par le public, à travers une présentation des activités de l’association Gamelier par Alexandre Vaugoux ; 2) La question de la mixité dans les espaces jeu vidéo qui a été traitée par Colin Sidre.

Les activités de l’association Alexandre a cofondé l’association Gamelier qui est une communauté dédiée à la création de jeux (jeux vidéo mais pas seulement). Leur devise : « Learn, make, play ». Le Gamelier organise de nombreux ateliers et des rencontres informelles régulières avec des gens de tous horizons. Les activités proposées sont notamment les suivantes : Le Gamelier peut tout à fait servir de point ressource pour les bibliothécaires. Le jeu vidéo peut être un outil de connaissance Tout le monde peut créer des jeux 1. 2. 3. 4. WordPress: Les 7 grands clichés sur les bibliothèques. Dépassées les bibliothèques ? Oui pour certains en tous cas… C’est le grand danger et l’image qu’il faut s’atteler à changer avant que ces structures ne soient complètement délaissées.

Je reprends ici un article du Huffington Post ensuite repris aussi par ici. Alors, les bibliothèques sont-elles devenues « ringardes » ? Voici les 7 grands clichés qui leur collent à la peau et des moyens de les effacer en passant aussi par la communication et le webmarketing : 1. Même si la tendance est au changement sur ce point avec l’arrivée des « bibliothèques 3e lieu », votre dernier « chuuuut ! ➡︎ La bibliothèque municipale Annie Fratellini d’Angers a eu la bonne idée de faire une vidéo de cette animation et de la diffuser en ligne. « Piano et guitare à disposition du public » (Médiathèque François Mitterand des Ulis) 2.

Il n’est pas rare que les lecteurs se voient offrir le café et découvrent des livres mais aussi BD, CD et films qu’ils n’auraient pas eu idée d’essayer avant leur venue au club. 3. La participation des usagers à la bibliothèque. Il y a quelques semaines, nous avons reçu à la bibliothèque, un mail qui avait un petit parfum de sirop d’érable : « Bonjour,Je suis bibliothécaire aux Services aux milieux documentaires (SMD) de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ). […] J’aimerais savoir si vous seriez intéressé à faire une court exposé, en vidéo conférence, au sujet de la démarche participative que vous privilégiez à la bibliothèque Louise-Michel ? […] » Bon, nous étions un peu déçus qu’il n’y ait pas de billets d’avion en pièce jointe parce que nous serions bien allés parler de la bibliothèque directement à Montréal, mais le format vidéo, vous nous connaissez maintenant, ça nous correspond bien aussi.

Vous le savez (enfin on espère), à la bibliothèque Louise Michel, vous êtes invités et même incités à participer à l’organisation et au fonctionnement du lieu, parce que nous considérons que cette bibliothèque est avant tout VOTRE bibliothèque. Sur le même thème Louise sans Louise Dans "L'équipe"