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Valeur de la musique

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La valeur de la musique. (cliquez ici pour télécharger directement la présentation) Au cours du Midem 2010, j’ai modéré une table ronde sur les initiatives politiques prises à travers le monde pour réguler les relations entre le monde de la musique et celui de l’Internet. Ce panel a été à mon sens très instructif, grâce à la diversité et à la qualité des intervenants. Autour de la table étaient en effet réunis Antonio Guisasola, président de Promusicae (syndicat des producteurs espagnols), Eddie Schwartz, président de la Songwriters Association of Canada, Geoff Taylor, directeur du syndicat de producteurs britanniques BPI, Ludvig Werner, directeur de l’IFPI en Suède, et Patrick Zelnik, PDG du label Naïve et co-auteur du très médiatisé plan d’action en faveur de la création sur Internet.

La riposte graduée, panacée à valider La question de la “riposte graduée” a naturellement été au coeur des débats. Des signes encourageants ? Ces résultats sont-ils le signe d’une relance de ces marchés ? Revue de presse: Fun Fame and Fee, ou pourquoi la musique n'a plus de valeu. Le blog Retour au site jeudi 11 mars 2010 Fun Fame and Fee, ou pourquoi la musique n'a plus de valeur FFF ne veut pas uniquement dire Fédération Française de Foot... Chris parlait des communautés qui réussissent le mieux sur le Net comme étant, d'une façon ou d'une autre, à la convergence de ces trois qualificatifs.

Selon lui, mais également selon Seth Godin -le très populaire auteur de "Tribes-, la façon dont les contenus évoluent, est intrinséquement liée à leur potentiel FFF. Les communautés se structurent plus que largement autour des deux premiers F : Fun and Fame ; Facebook, Twitter et nombre d'autres sont généralement dans ce spectre. La musique n'échappe pas à la régle : pour être performant un titre doit être plaisant (Fun) et c'est seulement à cette condition qu'il pourrait devenir, dans une économie de l'internet, Famous... Le problème est que la relation entre ces trois FFF est largement déséquilibrée. - Accroitre l'interaction qui existe entre l'auditeur et l'oeuvre. Réactions : Que vaut la musique? A l'ère ou beaucoup semblent penser que la musique est gratuite -c'est une vraie question- , nous nous sommes amusés à la poser à deux populations distinctes.

L'une, une classe d'adolescents d'un collège du vingtième arrondissement de Paris (moyenne d'âge 13 et 14 ans), l'autre à des adultes bien murs, d'une quarantaine d'année. Pour faire bonne mesure, nous avons également demandé à ces groupes ce qu'ils étaient prêts à payer pour la musique, ainsi que pour des films, des SMS, et d'autres formes de contenus. Aux deux groupes nous avons donc attribué un budget de 100 euros, à dépenser sur chacune de ces expériences. Les résultats n'en sont pas seulement intéressants, ils sont édifiants. Il n'y a en effet que peu de relation entre le facteur émotionnel et ce que les gens sont prêts à payer pour le contenu à l'origine de l'émotion. Pour les adolescents, il est manifeste que l'accès aux contenus gratuits via internet a très fortement impacté la valeur perçue. [WE spécial #Zik] Le MP3 anachronique | Owni.fr. Ce week-end, l'équipe d'Owni vous propose une sélection d'articles autour de l'évolution de l'industrie de la musique.

Internet a joué un rôle important dans la fuite en avant de cette industrie, qui, en dix ans, est passée de l'âge d'or aux temps obscurs. Obscurs parce que soumis à la pression de millions d'internautes qui se sont mis à échanger en masse des oeuvres musicales sous format MP3. Journaliste au Monde Interactif à l'époque des balbutiements de ce format, Olivier Zilbertin revient sur la genèse de ce qui est à présent un état de fait, et ouvre quelques perspectives. Ce week-end, l’équipe d’Owni vous propose une sélection d’articles autour de l’évolution de l’industrie de la musique. Internet a en effet joué un rôle important dans la fuite en avant de cette industrie, qui, en dix ans, est passée de l’âge d’or aux temps obscurs.

Obscurs parce que soumis à la pression de millions d’internautes qui se sont mis à échanger en masse des oeuvres musicales sous format MP3. 10 bonnes raisons d’acheter des compacts disques | Owni.fr. La soucoupe est immensément fière d'accueillir Jean Gonzague Saint Broute, le célèbre futuriste multimédias, diplômé de la JGSB High School of Telematics, « Master of Musical Telematics & Digital Strategy en ligne » et fondateur de la société 3614 Music (ouf !).

Le CD n'est pas mort, nous apprend-il dans un billet salvateur. Photo CC Flickr The Artifex La soucoupe est immensément fière d’accueillir Jean Gonzague Saint Broute, le célèbre futuriste multimédias, diplômé de la JGSB High School of Telematics, « Master of Musical Telematics & Digital Strategy en ligne » et fondateur de la société 3614 Music (ouf !). Le CD n’est pas mort, nous apprend-il dans un billet salvateur. - Futuriste Multimédias - Diplômé de la JGSB High School of Telematics, « Master of Musical Telematics & Digital Strategy en ligne ». - Fondateur de la société 3614 Music. -Auteur de : - « Punk Rock : Savoir Gagner pour Réussir grâce aux nouvelles technologies de l’information. » (JGSB Editions) Outils sociaux interactifs : iTunes : hausse des prix, baisse des ventes. You Think 'Free' is About the Price? It's not. Analyse : plus la diversité de l'offre est grande, plus les vent.

Un ex-téléchargeur fou me confiait il y a peu avoir été sensibilisé par le débat sur la loi Hadopi et s'être remis, depuis quelques mois, à acheter des CD d'artistes qu'il avait à cœur de soutenir. Il n'est semble-t-il pas le seul dans son cas, si l'on en croit les derniers chiffres publiés par l'Observatoire de la musique pour le mois de janvier 2010. En janvier 2010, il s'est en effet vendu 6,3 millions de CD audio en France, soit une progression de 4,8 % sur un an en volume, la première observée de longue date sur le marché de détail.

Les ventes de CD audio continuaient néanmoins à baisser en valeur sur la période d'une année sur l'autre (- 4,7 %), mais beaucoup moins que sur l'ensemble de l'année 2009 (- 9 %), et moins encore qu'en décembre (- 7 %), en novembre (- 7,3 %) ou en octobre derniers (- 8,3 %). Le dernier baromètre mensuel de l'Observatoire de la musique renferme d'autres enseignements.

Dans l’ère post Myspace, Le musique dites libre a-t-elle encore. Alors qu’Electron libre annonce le licenciement des 15 employés de Jamendo suite à l’échec d’une levée de fond, le blog d’un artiste en développement dans un monde en crise s’interroge.Puisque que tout dans le petit monde de la musique semble désormais tendre vers les flux et le streaming, qu’il soit financé par la publicité ou par un abonnement, la musique dite libre aura-t-elle encore du sens demain ?

Pourquoi donner sa musique ? Les motivations qui peuvent pousser un artiste à diffuser sa musique par ce biais sont très diverses.. Définir la culture comme étant un produit devant être accessible à tous est une idée fort respectable. Enfin je trouve. Ce discours idéologique s’accompagne souvent d’un rejet de l’économie de marché, de l’industrie musicale et de TF1. Il faut préciser que les artistes ayant confié la gestion de leur droit à la SACEM sont en théorie entravés dans la diffusion de leur musique sur internet. La gratuité est elle encore un argument ?