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Musique : Google Lab India vous offre le catalogue Hindi. Jiwa sera relancé avec un "modèle économique nouveau" Le concurrent de Deezer Jiwa devrait renaître de ses cendres. La société Digiteka, spécialisée dans la distribution de contenus multimédias sur Internet, nous annonce qu'elle a été choisie par le tribunal de commerce de Paris pour reprendre les activités de Jiwa.

Deezer et Starzik faisaient aussi partie des candidats. Jiwa avait croulé cet été sous le poids des minima financiers imposés par les majors, dont l'Observatoire de la Musique prévenait cette semaine qu'ils sont "insurmontables financièrement, pour les PME européennes et françaises". La mort de Jiwa avait relancé le débat sur la mise en place d'une licence de gestion collective obligatoire, qui n'autoriserait plus les maisons de disques à choisir les acteurs auxquelles elles accordent le droit d'exister et de vendre leur musique.

En contrepartie, leur rémunération serait fixée par une commission, et égale entre tous les services en ligne. Pour freiner le piratage en Inde, Google lance un service de streaming musical. Google serait-il un service de streaming musical qui s'ignore ? Il y a deux ans, le géant du web avait conclu un partenariat avec l'une des principales plates-formes chinoises, Top100.cn, pour alimenter son moteur de recherche de résultats musicaux, de fichiers MP3 et d'outils dédiés. Limité aux internautes chinois, le principe a visiblement convaincu Google de réitérer l'expérience dans un autre grand pays en voie de développement. En effet, le Wall Street Journal rapporte dans son édition de mercredi que la firme de Mountain View a lancé un service sensiblement équivalent en Inde. Disponible à l'adresse Google.co.in/music, le site est la traduction du partenariat entre Google et trois plates-formes musicales indiennes, Saregama India, Saavn et le portail web In.com.

Ce partenariat doit fournir aux internautes un accès légal à des centaines de milliers de titres issus de l'industrie musicale indienne. Les services de streaming limitent le piratage » Article » OWNI_Live!, Musique en ligne : Jiwa ferme et accuse les majors. Est-ce la fin des sites de musique en ligne indépendants en France ? Après le rapprochement de Deezer et du géant Orange , Jiwa annonce sa fermeture. Son PDG accuse les majors du disque. La fermeture prochaine de Jiwa a été annoncée par ReadWriteWeb ce mardi matin. Jean-Marc Plueger, cofondateur et PDG du site, nous a confirmé que le tribunal de commerce de Paris avait prononcé la liquidation judiciaire de Jiwa le 29 juillet. Pour Jean-Marc Plueger, Jiwa a été victime des exigences des majors du disque. . « Pour ce type de sites, il faut pouvoir exploiter l'ensemble des catalogues, ceux des indépendants et des majors.

Selon Jean-Marc Plueger, ces minimums garantis représentaient « un million d'euros, pour un chiffre d'affaires de 300 000 euros ». Le principal site français de streaming, Deezer , va de son côté s'allier à Orange . Des sites indépendants peuvent-ils vraiment se développer sur le marché français de la musique ? Illustration : capture d'écran du site Jiwa.fr. Paradoxes du streaming. 1876, c'est le nombre de titres de musique que j'ai écoutés sur Spotify au cours du dernier mois, en auditeur compulsif de musique. Parmi lesquels 364 titres différents de 224 artistes au cours de la dernière semaine. Ni le CD, ni la radio ne m'auraient jamais donné accès à une aussi grande variété en terme d'expérience musicale. Mais à quel prix pour les labels ? La "variété", c'est précisément une des valeurs ajoutées des nouveaux services de musique en ligne.

Encore faut-il aller la chercher, au quotidien, ce qui fait de moi un auditeur à la fois compulsif et pro-actif. Mais c'est un autre problème. Et un des intérêts qu'il y a à fortement éditorialiser et socialiser ces services. Cette variété n'est pas toujours aussi élevée dans mes pratiques d'écoute musicale. C'est le scrobbler de Last.fm qui me permet d'établir ces statistiques (cf. mes charts hebdomadaires). D'abord sur ce que cette consommation effrénée de musique rapporte aux labels qui produisent les artistes que j'écoute. ElectronLibre.info. MySpace a annoncé le lancement prochain d’une nouvelle plateforme qui sera intégrée à son réseau social, entièrement dédiée à l’événementiel et à la vente de billets de concerts. Ses utilisateurs pourront accéder à un calendrier qui combinera les événements qu’ils ont retenus, ceux auxquels prévoient d’assister leurs amis, les dates de concert des artistes qu’ils suivent et d’autres événements promus par des annonceurs.

Un onglet dédié à cette partie événementielle leur permettra de naviguer parmi tous les événements programmés, y compris ceux qu’ils n’ont pas retenus dans leur calendrier et ceux auxquels ils ont été invités à assister sur Facebook. Les artistes, qui vont désormais pouvoir vendre directement des billets de concerts sur leur page de profil, via des liens vers Ticketmaster et d’autres billetteries en ligne, seront les premiers bénéficiaires de l’intégration de ce nouveau service.

Artistes, arrêtez de vous plaindre. Depuis que je tente de faire vivre ces colonnes numériques, je ne vous ai jamais caché mon agacement face à ceux qui viennent à intervalle régulier le petit doigt en l’air nous expliquer que nous ne comprenons rien. En ce dimanche matin , voici que mon ami Ben Pop, musicien vétéran de l’Internet et fondateur de musiciens.biz me fait parvenir un article qui me remplit de joie. Sur informationisbeautiful.net, David Mc Candless a décidé de mettre la tête des présomptueux donneurs de leçon dans la cuvette des chiottes numériques ! C’est donc tout naturellement que j’ai décidé de tirer la chasse. Vivre de sa musique en 2010 à l’heure du digital, this is it ou shit ? A vos calculatrices… - la vente de 2 033 singles sur Itunes France- la vente de 3 230 singles sur Itunes USA- la vente de 241 albums sur Itunes France- la vente de 260 albums vendus sur Virginmega- l’écoute de 412 381 écoutes sur Deezer - l’écoute de 144 333 écoutes sur musicme. Warner envisage de quitter tous les sites de streaming gratuits.

Le marché de la musique en streaming est en pleine ébullition. Alors que Jiwa ne propose plus les artistes de Warner Music (limités à 30 secondes d’écoute) depuis mardi soir, le patron de Warner a récemment affirmé que tous les sites de streaming gratuits pourraient être finalement concernés. La mort du streaming gratuit se met doucement en place Pour Warner, c’est bien simple, ces sites gratuits « ne sont pas positifs pour l’industrie ». En somme, ils ne rapportent pas assez d’argent. Une critique qui n’est pas nouvelle, d’autant plus que ce type de service s’est popularisé en un temps record, sans pour autant pousser massivement à l’achat, même si Deezer reste le partenaire n°1 d’iTunes en France. « Les services de streaming gratuits ne sont pas une bonne chose pour l’industrie et, aussi loin qu’ira Warner Music, nous ne leur accorderons pas de licence.

Les offres de streaming Premium, plus intéressantes que l'achat direct ? Wait & See. Nil Sanyas. La fin du modèle gratuit? Nombreuses sont, ces jours-ci les annonces de fin du modèle gratuit. Edgar Bronfman Jr (patron de Warner Musique) vient d'en dire autant de mal qu'il pouvait tandis que Spotify, qui cherche désespérément à entrer aux USA depuis cinq mois, bute d'après un négociateur proche du dossier, principalement sur ce point. Les Majors en ont assez du gratuit, et même du Frimium, combinant un produit d'appel gratuit, avec une offre plus qualitative, elle payante.

Quel est la raison de ce revirement? Plusieurs études semblent avoir montré que beaucoup de consommateurs se satisfont plutôt bien des offres gratuites telles qu'elles existent. Ces études mettent en avant un point plus ennuyeux pour les maisons de disques ; le gratuit renforcerait auprès des consommateurs l'idée que la musique ne se paye plus. Jusqu'à présent, les majors l'acceptaient à peu près. Ce qui aurait déclanché le feu au poudre serait, justement, la tentative de lancement aux USA de Spotify. Qui aura la peau d’Itunes ? | Owni.fr. Implicitement, ou explicitement, la question revient finalement assez souvent : y a t'il une alternative crédible à Itunes?

Quand vont-ils cesser de dominer le panorama de la vente digitale? Car c'est énervant à la fin cette suprématie, surtout pour les maisons de disques, qui ne peuvent pas négocier en menaçant de traverser la rue pour faire des affaires avec le concurrent... Voici donc une liste de prétendants au trône. Implicitement, ou explicitement, la question revient finalement assez souvent : y a t’il une alternative crédible à Itunes? Quand vont-ils cesser de dominer le panorama de la vente digitale? Car c’est énervant à la fin cette suprématie, surtout pour les maisons de disques, qui ne peuvent pas négocier en menaçant de traverser la rue pour faire des affaires avec le concurrent… Voici donc une liste de prétendants au trône… Sans préjuger pour autant de l’avenir.

Pandora ok, Pandora est minuscule. Les – : pas de possibilité de créer sa playlist, pas de on-demand. Lala prépare son déménagement vers iTunes. Lala, le service de streaming de musique racheté par Apple en décembre va cesser ses activités le 31 mai, avertit un message sur sa page d'accueil. Ce qui peut laisser supposer que le relais sera passé à iTunes dans la foulée. Cependant, aux dernières nouvelles remontant à la fin mars, il avait été suggéré que la mise en place d'une telle infrastructure pour iTunes n'était pas envisagée avant le troisième trimestre.

À ce moment-là, iTunes pourrait proposer une écoute en streaming de morceaux, ou la possibilité d'écouter librement, depuis n'importe quel navigateur web et à volonté, ceux que l'on a achetés par son entremise. Apple a d'ailleurs déjà renforcé la présence d'iTunes sur le web avec des pages de préécoute de ses morceaux qui n'exigent plus d'avoir l'application.

En face, les choses bougent aussi. Sur le même sujet :iTunes dans le nuage : pas avant la fin de l'été ? Via 9to5mac. Le flop iTunes LP. Présenté en grande pompe par Steve Jobs en septembre dernier, le format iTunes LP est un flop. Sur la section française d'iTunes, on dénombre une vingtaine d'albums à ce format, soit deux fois plus que lors de la présentation de cette nouveauté. iTunes US pour sa part en possède 29.

Longtemps présenté comme une grande innovation avant son lancement officiel (lire : Cocktail, la solution pour relancer les ventes de disques ? Et Cocktail : aller au-delà de la musique), iTunes LP apparait de plus en plus comme un gadget, qui n'a semble-t-il pas convaincu et les professionnels et le grand public. Les éléments fournis en bonus n'intéressent que les fans, et sont tout au plus regardés une fois. Pour expliquer ce bide, GigaOm affirme qu'iTunes LP n'est pas une idée d'Apple, mais une concession qui a été faite aux maisons de disques lors des négociations sur la nouvelle grille tarifaire d'iTunes. Le coût de production d'un iTunes LP serait élevé.

Les prix s'envolent sur l'iTunes Store suisse. Il semble qu'Apple ait changé la politique de tarification de l'iTunes Store suisse : le prix plancher pour un morceau seul semble être désormais de 1,60 CHF (1,12 €), au lieu de 1,50 CHF (1 €) jusque-là, et la plupart des albums s'affichent autour des 15 à 17 CHF (10,5 à 12 €), au lieu de 10 à 15 CHF (7 à 12 €) jusqu'ici. A 1,50 CHF, le tarif était déjà très légèrement supérieur au tarif français (0,99 € pour la plupart des morceaux), voire inférieur lorsque l'euro était à son plus haut. Le prix le plus commun pour les morceaux à l'unité est désormais de 2,20 CHF (1,54 €), au lieu 2 CHF (1,4 €), cette fois bien au-delà du 1,29 € qui est le prix maximal demandé pour un morceau à l'unité sur l'iTunes Store français (et le plus commun).

Plus inquiétant, il semble que lors du changement de la grille tarifaire, un bogue ait rendu impossible l'achat à l'unité de certains morceaux : il fallait alors acheter l'album entier. Via MacPrime Merci Christophe. Deezer, les actionnaires prêts à jeter l’éponge - Web 1,2,3 - El. Deezer pile. Deezer, ou les raisons d’un beau gâchis - Web 1,2,3 - ElectronLi. Avec le limogeage de Jonathan Benassaya à la tête de Deezer, le rêve de voir émerger un champion du streaming en France s’envole, et avec lui celui de transformer l’essai du succès d’estime incontestable remporté l’an dernier par les acteurs de ce marché, par manque de vision et d’investissement, dans le marketing et l’innovation logicielle. La nouvelle avait de quoi surprendre. Un confidentiel d’Electronlibre annonçait vendredi, à la veille de l’ouverture du Midemnet, le limogeage de Jonathan Benassaya à la tête de Deezer, fleuron de l’industrie du streaming en France. Un communiqué de presse sibyllin tentait de démentir l’information dans l’après-midi mais ne parvenait pas vraiment à lever le doute.

En fin de journée, Electronlibre, sûr de son fait, enfonçait le clou sur la foi d’autres sources, évoquant la déception des actionnaires de Deezer devant l’échec du lancement de la formule payante du service. Les raisons d’un échec Ce n’était plus vraiment une surprise pour grand monde. Deezer s'infiltre dans les McDo grâce à Sound Deezer. Le spécialiste de la musique en streaming Deezer a annoncé hier sans faire de bruit un partenariat important avec Mc Donald’s France. La chaîne de restauration rapide va ainsi intégrer petit à petit Sound Deezer, un système permettant de choisir grâce à diverses playlists une programmation musicale adaptée aux clients. 90 % des McDo d'ici un an Mc Donald’s compte 1161 restaurants à travers la France. 20 % appartiennent directement à la chaîne, tandis que les 80 % restants sont des franchises. Si Sound Deezer équipe (ou équipera d’ici peu) les McDo non franchisés, les autres restaurants suivront à leur rythme, et uniquement s’ils le souhaitent.

Or le niveau de réactivité des franchisés est très variable, et rien n'oblige ces entreprises indépendantes à utiliser le service de Deezer. Aujourd'hui, plus de 600 McDo utilisent déjà Sound Deezer, et la barre des 700 enseignes sera atteintes dans les semaines à venir. Sound Deezer dans d'autres McDo européens et d'autres enseignes Nil Sanyas.

Spotify n'est pas ce que vous croyez | slate. Il y a quelques jours, on a appris par un confidentiel de la Tribune relayé par Electron Libre, que Jonathan Benassaya, le PDG de Deezer devait quitter ses fonctions, «chassé» par ses actionnaires. Il s'est avéré assez rapidement que Jonathan Benassaya ne quittait pas vraiment Deezer, du moins, pas pour le moment. Dans la foulée, les commentaires nous ont assommé de «Spotify l'a tuer» ou d'«une autoroute pour Spotify»... Spotify est certainement l'un des meilleurs outils de streaming musical du marché. Mais il ne peut se contenter de simplement proposer une bonne qualité d'écoute et un gros catalogue pour convaincre ses utilisateurs, les labels et le marché. Passés la «hype» et le «buzz» en effet, on peut douter de la viabilité de Spotify. Ce dont les labels américains ne se privent pas. publicité Des doutes sur le modèle Daniel Ek lui-même, le fondateur de Spotify a reconnu, lors du Monaco Media Forum, la difficulté à stabiliser un business model mixant publicité et abonnement.

Musique gratuite et légale : Spotify et Beezik évoluent - PC INp. 310 - Technique Marketing. Spotify : l'offre de musique illimitée devient payante - PC INpa. Après les mobiles, Spotify s'affiche sur les téléviseurs - Numer. Spotify Finally Opens to Indie Bands | Epicenter  iTunes dans le nuage : les majors pas encore dans le cloud. Beezik, la troisième "voix" - So_cult’ - ElectronLibre.