Coopérative de transport maritime et aérien. Coopératives / Coopératives Coopérative de développement Centre-du-Québec/Mauricie (CDRCQM) : Coopératives et mutuelles. CoopAir: Nouveau service de nolisement d’affaires pour la région Bois-Francs Érable / Centre-du-Québec / Articles / La Vie rurale - La Vie rurale. Un modèle unique au Québec Si le modèle multiutilisateur est commun en transport aérien, la fondation d’une coopérative pour gérer l’utilisation d’un avion représente une première au Québec.
L’idée de former une coopérative est née d’un besoin marqué d’avoir accès à un transport aérien régional et d’un souhait de partager les coûts d’acquisition d’un appareil et son temps d’utilisation. À l’image du covoiturage, cette formule permettra aux entrepreneurs de la région de concilier leurs besoins de transport aérien par l’entremise de CoopAir. De toute évidence, cela se traduira par des économies en temps et en argent pour les entreprises participantes en plus de favoriser le développement économique régional, et ce, de façon distinctive. L’exploitation et la gestion du service de cette coopérative a été confiée à l’entreprise Aviation Bois-Francs et à son directeur M. Déjà cinq membres pour CoopAir… et d’autres à venir!
Les Constructions Pépin et Fortin inc. Acquisition d’un avion Source: Accueil. AVIATION - archives. Publié le 28/01/2012 à 00:00 En 2007, à Victoriaville, cinq entrepreneurs ont décidé d'unir leurs forces pour créer une coopérative de transport aérien.
Au lieu de noliser des avions depuis Montréal pour prendre leur envol, les membres de CoopAir ont acheté un avion dont ils partagent le temps et les coûts d'exploitation. «C'est difficile d'évaluer si on fait des économies d'argent, mais c'est concurrentiel, c'est sûr, et surtout, c'est plus flexible, plus simple et plus efficace. Et la coop fait ses frais», souligne son président Martin Sanfaçon, de Forages L.B.M., qui utilise l'avion de CoopAir un à deux jours par semaine pour des vols vers le Nord-du-Québec. La Gaspésie s'intéresse aussi à la formule coopérative concernant le transport aérien. CoopAir prend son envol avec cinq entreprises à son bord - Industrie du transport. Les entrepreneurs ont procédé à l’inauguration de ce nouveau service de transport, jeudi midi, à l’aéroport André-Fortin de Victoriaville, en présence de nombreux invités, dont les élus municipaux.
Ces industriels des Bois-Francs seraient les premiers au Québec à utiliser la formule coopérative pour satisfaire leurs besoins de nolisement d’affaires. La CoopAir a pris son envol avec cinq actionnaires à son bord, Constructions Pépin et Fortin, les Forages L.B.M., Sani-Marc, Vic Royal, quatre entreprises de Victoriaville et Roland Boulanger et cie de Warwick. Vers une coopérative de transport aérien en Gaspésie ? La nouvelle entreprise desservirait l’aéroport de Gaspé, mais pourrait s’étendre aux trois autres aéroports de la région.
«L’idée est que la Gaspésie puisse bénéficier d’un service de transport aérien autonome. La population gaspésienne est mal desservie et nous en venons à l’évidence qu’on en est rendu-là [créer une telle coopérative]», mentionne le directeur général du CLD de la Côte-de-Gaspé, Gaétan Lelièvre. M. Lelièvre juge «inacceptable» que les compagnies privées qui offrent des vols à partir de l’aéroport de Gaspé, notamment, fassent payer entre 800 $ et 1 500 $ pour un aller-retour à Québec. «On ne peut pas dire que c’est un service qui s’adresse à monsieur madame Tout-le-Monde. Un service de transport aérien trop coûteux est un frein au développement de la région, ajoute par ailleurs M. Un transporteur coopératif offrirait aussi des vols à bas prix entre les aéroports de la région, selon M. Des scénarios rentables Différentes avenues ont été étudiées par le groupe.
Gaspésie-Les Îles : un projet de coopérative de transport aérien à l'étude. Le centre local de développement (CLD) de la Côte-de-Gaspé travaille à implanter une coopérative régionale qui offrirait un service de desserte aérienne à Gaspé.
Étude à l'appui, l'organisme soutient que cette coopérative aérienne pourrait faire chuter les prix de moitié pour les passagers. Le CLD estime que les prix élevés actuels des transporteurs privés sont un frein au développement régional.