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Research & Bibliography

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Aux origines de la crise sociale, une crise financière - [Prospérité et Partage] Nous sommes à la fin des années 1990. Le marché immobilier américain est tendanciellement à la hausse. Les taux d’intérêt de la FED (Réserve fédérale) sont alors peu élevés. Assurées de la hausse progressive de l’immobilier et conscientes de la faiblesse des taux d’intérêt, les banques et les sociétés de prêts immobiliers se lancent dans la distribution de crédits immobiliers hypothécaires (ou mortage), à taux variables, et à hauts risques (subprimes) auprès d’une clientèle à bas revenus, et en situation précaire.

Avec la hausse, chacun espérait revendre plus cher. Pour se procurer des liquidités et conforter leur bilan, ces banques et sociétés de prêt revendirent leurs créances à risque auprès d’autres banques et de fonds spéculatifs 1 sur les marchés boursiers internationaux en les titrisant 2. Cependant, la FED commença à relever ses taux d’intérêt dans le courant de l’année 2004. Malgré ces nouveaux crédits, de nombreux ménages ne purent plus financer leurs crédits. 2. 3. 4.

Article "Silvio Gesel - Une monnaie pleine d'intérêt" " Silvio Gesell - Une monnaie pleine d'intérêt " MONNAIES LOCALES (Article du Hors-série "SILENCE - SEL : Pour changer, echangeons" - Pages 7) Ce hors-série est diffusée par Silence au prix de 6 euros + 2,5 euros de frais de port. Document se rapprochant de la présentation originale SilvioGesell_7.rtf (17 ko) Quelques explications sur le système de monnaie franche tel que Silvio Gesell l'a imaginé.

S ilvio Gesell naît en 1862 près d'Aix-la-Chapelle. Autodidacte, il se fixe à l'âge de 24 ans en Argentine où il fait rapidement fortune comme fabricant d'instruments dentaires. Jusqu'ici rien que de très banal. Mais, en 1900, Gesell, en pleine force de l'âge, se retire brusquement des affaires, quitte la vie active et se fixe en Suisse (Neuchâtel). Ni la force de travail ni les marchandises ne peuvent se conserver comme l'argent.

Aux antipodes des monnaies complémentaires : les monnaies virtuelles. Les expériences de monnaies plurielles - qu’on les appelle monnaies complémentaires, monnaies alternatives, monnaies sociales ou solidaires - poursuivent, avec un large éventail de nuances dans leurs méthodes, le même objectif global : participer à une transformation de l’économie et de la finance, contribuer à y intégrer des personnes qui en ont été exclues, desserrer les crocs d’une finance internationale pour lesquels pauvres et chômeurs n’existent pas ou peu(1). A leurs côtés se multiplient les monnaies à logique lucrative(2) liées à des activités commerciales, outils de promotion et de fidélisation, que sont les miles, s’miles et autres points de fidélité cumulables et convertibles en biens et services de l’enseigne émettrice. Mais une troisième catégorie de monnaie, tout aussi extérieures au système monétaire internationale et aux devises nationales que les deux précédentes, se structure sous nos yeux.

Inconvertibilité, affectation : deux limites en voie de disparition 1. 2. 3. 4. Il faut revenir au 100 % monnaie - [Prospérité et Partage]

Theory

Authors. Les usages de l'argent - Sommaire Numéro 23. La monnaie au service du développement durable (Olivier Rocca) « Économie Sociétale. L’objectif de cet exposé présenté au CERAM de Sophia Antipolis (école de commerce) est de montrer au lecteur que la réalisation des objectifs de développement durable annoncés par les grandes institutions internationales est indissociable d’un changement de paradigme économique, monétaire, financier, juridique et bien sûr politique qui devrait remettre en cause les fondements et les valeurs sur lesquels repose notre système capitaliste mondialisé. La démonstration qui suit se déroule en plusieurs étapes : - Mise en place d’instruments de valorisation économique du service rendu par les écosystèmes, basés sur l’idée selon laquelle nous ne pouvons pas gérer ce que nous ne savons pas mesurer. - Mise en place d’une nouvelle politique de crédit qui utilise la valeur économique des écosystèmes comme contrepartie légitime et suffisante à une création monétaire destinée à financer des projets à destination de ces écosystèmes.

A) Quel prix pour la nature ? Mais quel est le prix de la biodiversité ? Monnaie et Souverainete. Monnaie et Souveraineté A - La souveraineté mondiale (…) la monnaie est-elle un bien public ou un bien privé ? Face à cette privatisation du monde, deux postures se dégagent. La première est de dire que face à la mondialisation par le privé, il faut opposer une mondialisation par le public. La fonction de prêteur en dernier ressort est apparue à la fin du XVIIIe siècle et a été conceptualisée par Bagehot, banquier et économiste, en 1873.

" En cas de crise, le prêteur en dernier ressort assure la liquidité des banques de second rang, de façon à leur permettre de faire face à leurs engagements. Cependant, cette gouvernance mondiale ne règle pas le problème de l'émission anarchique de crédit. Dans un tel système, le banquier peut s'écrier " pile je gagne, face tu perds ". Face à cette impasse idéologique, il faut faire un retour à l'État national. B - Le droit régalien de battre monnaie Conséquences pour notre économie Pourtant cela s'explique très facilement. A – Moïse B - L'Antiquité. A travers la Banque du Peuple de P.J. Proudhon - [Prospérité et Partage] Création Monétaire. SOCIETALISME: Mouvement citoyen mondial ... Encyclopédie de L'Agora | L'anthropologie économique de Pierre Bourdieu.

Notes Olivier Favereau, « L’économie du sociologue ou : penser (l’orthodoxie) à partir de Pierre Bourdieu », in Bernard Lahire (sous la dir.), Le Travail sociologique de Pierre Bourdieu: dettes et critiques, Paris, La Découverte/poche, 2001, p.255-314; Alain Caillé, Don, intérêt et désintéressement, Paris, La Découverte, coll. « Recherches », 1994.

Norbert Elias, La Société de cour, Paris, Calmann-Lévy, 1974 (trad. française). Gary Becker, Accounting for Tastes, Cambridge, Massachusetts, Harvard University Press, 1996. Samuel Cameron, The Economics of Sin. Pierre Bourdieu, Questions de sociologie, Paris, Minuit, 1980, p.33. Marie-France Garcia, « La construction sociale d’un marché parfait : le marché au cadran de Fontaines-en-Sologne », Actes de la recherche en sciences sociales, 65, novembre 1986, p.2-13; Harrison White, From Network to Market, Princeton, Princeton University Press, 2002. Jacques Sapir, Les Trous noirs de la science économique, Paris, Albin Michel, 2000. M. P. P. P. P. P. La prospérité sans la croissance ? inventer une alternative           Paradoxe des temps modernes.

Les extraordinaires avancées des sciences et des techniques ont permis à l’humanité d’accumuler un savoir faire et une capacité de production à même de satisfaire la plupart de ses besoins, et pourtant cette richesse potentielle, loin de se traduire par l’accomplissement des promesses du progrès, s’accompagne aujourd’hui d’une inégalité toujours accrue, d’une énorme demande sociale non satisfaite, et d’une pression croissante sur les conditions d’existence au nom du sacro saint rendement compétitif. Mais rendement de quoi ?

Loin de permettre de libérer l’homme, l’intelligence, les énergies mobilisées, les efforts consentis, englués dans un système devenu inefficace, inadapté et dangereux, conduisent l’humanité à sa perte. Par Charles Siegel, Common Dreams, 28 avril 2009 Quand une commission du gouvernement britannique publie un rapport appelant à mettre un terme à la croissance économique, il semble tout à coup que notre monde soit en pleine mutation.