background preloader

Monde étrusque

Facebook Twitter

Qui sont les Etrusques ? - Histoire. The Mysterious Etruscans - Pre-Roman Civilisation in Italy. Où voir les Etrusques dans les musées d'Italie, de France et dans les autres pays. Alors que la Renaissance redécouvre les œuvres grecques et romaines, on trouve, sur le territoire même des Médicis, des statues d'une civilisation qui apparaît originale. Les trouvailles des tombes de Vulci, de Volterra, de Tarquinia viennent d’abord grossir les collections des Médicis, mais c’est aussi pour eux une chance politique : ils peuvent se présenter comme les successeurs des rois étrusques. Au XVIIIème siècle, les Etrusques n’échappent pas à la vogue des civilisations antiques et les tombeaux feront partie du "grand tour" romantique. On se passionne alors pour les fresques des tombeaux et les trésors qu’on y trouve. Cependant, l’Italie reste sensible à ses richesses, et ne se laisse pas dépouiller avec la même indifférence que l’Egypte. L'Ombre du Soir authenticité.

D.H. Lawrence, Croquis étrusques. Dès le printemps 1926, lors d'un séjour en Ligurie, D.H. Lawrence envisage de se rendre sur les hauts lieux de l'histoire étrusque avec l'intention d'écrire sur ce sujet, qui le passionne de longue date. La fascination de D.H. Lawrence pour l'Étrurie et pour la civilisation étrusque est déjà présente dans des textes antérieurs à cette époque. Ainsi du poème « Cyprès », rédigé en septembre 1920, ou d'une lettre adressée à la mère de Frieda Weekley, le 10 septembre 1921. « Voilà la Toscane, et nulle part ailleurs les cyprès ne sont aussi beaux, aussi fiers, pareils à des flammes noires venues des temps primitifs, avant l'arrivée des Romains, lorsque les Étrusques étaient encore là, élancés, beaux et sereins, d'une élégance nue, les cheveux noirs et les pieds étroits ». Désireux de pénétrer le secret, désormais « perdu », de ses « précieux » Étrusques, D.H. Cependant, dès la fin du mois d'avril 1927, D.H.

. « [...] La visite de Cerveteri est pour D.H. Angèle PaoliD.R. Les Etrusques. Les Etrusques et la Méditerranée. Cerveteri était considérée dans l'Antiquité comme "la plus prospère et la plus peuplée des cités d'Étrurie", ainsi que l'écrit l'historien grec Denys d'Halicarnasse. Cette cité, que les Étrusques appelaient Kaisra, les Romains Caere et les Grecs Agylla, est en effet emblématique de la grandeur de la civilisation étrusque : elle a occupé une place centrale en Italie et en Méditerranée tout au long du 1er millénaire avant J. -C. Ce sont ces quelques dix siècles d'histoire que l'exposition entend retracer : comment des communautés éparses ont progressivement formé une cité, comment cette cité ouverte sur la mer est devenue une des principales puissances méditerranéennes, et comment cette cité qui rivalisait d'importance avec Rome a finalement été dominée par cette dernière et absorbée au 1er siècle avant J.

-C. dans l'Empire romain naissant. Après le Louvre-Lens, l'exposition sera présentée à Rome, au Palazzo delle Esposizioni, du 14 avril au 20 juillet 2014. Les Étrusques et la Méditerranée - Wéo. Le secret professionnel du sourire des Étrusques - Arts & Spectacles. Tête votive de jeune homme - Musée national des Etrusques de la Villa Giulia © Mauro Benedetti "Un sourire flotte sur la France. C’est un sourire venu du Sud, il illumine le Nord ; la ville de Paris et la ville de Lens en particulier. Quand je vais dans une des capitales du Sud, Rome, l’une de mes visites presque systématiques est pour le musée de la Villa Giulia. Vous savez, en bas du Pincio, au bout de la viale delle Belli Arte où se trouvent la galerie nationale d’Art moderne et quelques académies étrangères, d’ailleurs, pas les musées les plus riches de Rome.

On contourne, on descend, et on arrive dans un autre musée où je n’ai jamais vu plus de dix personnes. Quel enchantement, dans un monde qui estime la qualité des musées au fait qu’ils ont dix millions de visiteurs par an ! Le musée de la Villa Giulia se trouve dans une belle maison dessinée par Vasari et Vignola pour un pape Jules, d’où son nom, et c’est le Musée national étrusque. Charles Dantzig Bibliographie :