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Enjeu : Produits pétroliers

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Le pétrole : un enjeu international : introduction. Gaz de schiste : «Le corps des Mines est la fois juge et partie» Le 14 septembre prochain, c'est la rentrée des anti-gaz de schiste. Une loi interdisant l'exploitation de cet hydrocarbure par «fracturation hydraulique» - une technique jugée hautement polluante - a été adoptée en juin dernier, après la révélation que des permis avaient été délivrés en catimini par le ministère de Jean-Louis Borloo en 2010. Le texte donnait deux mois aux industriels pour qu'ils expliquent comment ils comptent exploiter leurs gisements. Ils rendront leurs conclusions dans quelques jours, et pourraient bien en profiter pour contourner la loi, nous explique Marine Jobert, journaliste et co-auteur de l'enquête Le vrai scandale des gaz de schiste. Laquelle dénonce notamment le rôle central du Corps des mines dans ce feuilleton écologique. Dans votre ouvrage, vous montrez l'implication permanente du puissant corps des ingénieurs des Mines (1) dans les décisions relatives aux gaz de schiste.

«Tout était déjà dans la presse. Sables bitumineux : Ottawa cherche à contredire l'Union européenne. Sable bitumineux Le gouvernement Harper tente de se procurer de nouvelles munitions contre la directive européenne sur les carburants, défavorable aux sables bitumineux, en s'en prenant à la crédibilité de l'étude qui la sous-tend. Mais cette remise en question de la validité scientifique de la recherche européenne en fait sourciller quelques-uns. Ressources naturelles Canada a mis en ligne un appel d'offres afin de trouver une entreprise qui réalisera une nouvelle étude sur la pollution émise par le pétrole brut, catégorisé comme moins polluant par la directive européenne. « La directive sur la qualité des carburants, telle que rédigée actuellement, n'est pas basée sur la science [...] », a affirmé à La Presse Canadienne le ministre des Ressources naturelles Joe Oliver, par courriel. « Cette analyse indépendante fournira les bases scientifiques pour rendre la directive objective et efficace. » — Joe Oliver, ministre fédéral des Ressources naturelles Calcul de la « valeur d'intensité » M.

Underground oil spills in Alberta continue to poison land. Underground oil spills at an Alberta oilsands operation have been going on much longer than previously thought, according to new documents. Files released to the Toronto Star show the spills were discovered nine weeks ago, but new documents show that bitumen has been leaking since the winter. Canadian Natural Resources Ltd. operates the Primrose oilsands facility three hours northeast of Edmonton where four ongoing underground oil blowouts have contaminated forest, muskeg, a lake and have already killed dozens animals including beavers, ducks and birds. According to a government scientist who has been to the site, neither government or industry are able to stop the spills. Photo from CNRL shows a time-lapse of oil seeping to the surface from underground. (Credit CNRL/Emma Pullman) An engineering field visit conducted by CNRL in June to examine impacts from one of the four spills show oil staining over two feet up the trunks of trees, and some completely coated in oil.

Canada Oil Firm Still Unable to Stop Leaks. OilSpill Daily. Marée noire : Halliburton reconnaît avoir détruit des preuves. La plateforme Deepwater Horizon a explosé le 20 avril 2010. Photo : AFP/Getty Images/U.S. Coast Guard La firme américaine Halliburton a plaidé coupable à des accusations de destruction de preuve dans l'enquête sur la catastrophe environnementale qui a suivi l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique, en avril 2010. Halliburton, qui avait conçu le coffrage du puits Macondo, à l'origine de la fuite de pétrole qui a contaminé 1700 kilomètres de côtes en Louisiane, avait tenu à l'époque sa propre enquête sur l'événement.

Selon un communiqué du département de la Justice américaine, des spécialistes d'Halliburton ont réalisé au moins deux simulations par ordinateur liées à la solidité du coffrage de béton qui sécurisait le puits localisé à plusieurs milliers de mètres sous la surface de la mer. Or, ces simulations avaient ensuite été détruites par Halliburton, qui s'était du coup retrouvé dans l'incapacité de les fournir aux enquêteurs. Explosion à Lac-Mégantic: j’accuse! Connexion Rodolphe De Koninck - Géographe et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études asiatiques à l’Université de Montréal 25 juillet 2013 Politique / CanadaExplosion à Lac-Mégantic: j’accuse!

Photo : La Presse canadienne (photo) Paul Chiasson La tragédie survenue à Lac-Mégantic le 6 juillet 2013 n’a pas fini de susciter tristesse, indignation et interrogations. Comme l’ont affirmé plusieurs dirigeants et administrateurs politiques, dont quelques-uns proches de vous, Monsieur le Premier Ministre, les enquêtes devant permettre d’identifier responsables et responsabilités seront longues. On le conçoit bien, d’autant que tous ceux qui, comme moi, s’indignent et s’interrogent savent, ne serait-ce qu’intuitivement, que ces responsabilités sont largement partagées.

L’espace est insuffisant ici pour dresser ne serait-ce qu’une liste potentielle de ces causes et de ces donneurs d’ordres, encore moins des articulations qui les lient. Tant en commun Faire régresser la civilisation M. Lac-Mégantic: mesurer les conséquences de la tragédie - La MMA ne répond plus. Lac-Mégantic — La compagnie ferroviaire Montreal, Maine and Atlantic Railway (MMA) n’a pas donné suite à la mise en demeure envoyée mardi midi par la Ville de Lac-Mégantic, ignorant ainsi l’ultimatum de 48 heures fixé par la mairesse Colette Roy-Laroche.

La Ville a sommé la MMA de lui rembourser la somme de 4 millions de dollars qui a servi à payer les travailleurs dépêchés pour décontaminer et nettoyer le centre-ville de la municipalité sens dessus dessous depuis trois semaines. Lac-Mégantic avait avancé les salaires impayés des sous-traitants - dépêchés par nul autre que la MMA au lendemain de la catastrophe ferroviaire - afin de ne pas retarder la progression des travaux sur le site, où 47 personnes ont perdu la vie le samedi 6 juillet. Elle était incapable de préciser si de nouvelles factures devront être réglées par la municipalité afin d’éviter que les travailleurs ne tournent les talons ou menacent de le faire. Cinq dernières victimes introuvables Avec La Presse canadienne. Contamination dans la Chaudière: les versions divergent | Annie Mathieu | Environnement. Depuis l'explosion de wagons de la compagnie Montreal, Maine and Atlantic Railway (MMA) remplis de pétrole au centre-ville de Lac-Mégantic, le président de la SVP, Daniel Green, surveille attentivement les efforts entrepris pour décontaminer l'environnement souillé.

Et lorsque le ministère de l'Environnement a annoncé mercredi qu'il restait très peu d'hydrocarbures sur la rivière Chaudière, il est demeuré bouche bée. M. Green venait de se rendre à Frontenac, à l'est de Lac-Mégantic, où, avec un citoyen (voir autre texte), il a filmé d'importantes traces d'huile à la surface du cours d'eau. Celles-ci sont apparues après la chute du riverain dans la rivière, un accident qui a remué le fond de cette dernière et ainsi permis aux contaminants de refaire surface. C'est du moins l'hypothèse avancée par Daniel Green et les membres de son organisme. Pour faire valider ce qu'il avance, M. De l'eau potable bientôt? Un riverain inquiet et méfiant Avec La Tribune. Lac-Mégantic - Le pire déversement terrestre en Amérique du Nord. Connexion Alexandre Shields 24 juillet 2013 Environnement / Actualités sur l'environnementLac-Mégantic - Le pire déversement terrestre en Amérique du Nord Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Le déversement pétrolier survenu dans la foulée de la catastrophe de Lac-Mégantic serait le pire ayant eu lieu en sol nord-américain.

Au moins 5,7 millions de litres de brut ont été rejetés dans l’environnement, selon des données finalement divulguées par le ministère de l’Environnement du Québec. Plus de deux semaines après le déraillement et l’explosion du train chargé de pétrole américain, le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP) a fourni une « estimation globale » des quantités d’or noir déversées en plein coeur de la municipalité de Lac-Mégantic. Il s’agit d’une évaluation nettement supérieure à celle avancée jusqu’ici par le ministère. Sans précédent M. Le cas de Lac-Mégantic est toutefois différent.

Plus de transparence M. Site complet. Lac-Mégantic: Ottawa s'apprête à s'engager auprès des sinistrés. Après avoir été critiqué pour son manque d'engagement concret devant la tragédie de Lac-Mégantic, le gouvernement fédéral a annoncé lundi une aide de 60 millions pour remettre sur pied la petite ville défigurée par le déraillement d'un train meurtrier. Il s'agit précisément du même montant que le gouvernement du Québec s'est déjà engagé à verser. «J'ai vu des gens ici en pleine détresse, de dire: "où on s'en va avec tout ça? On perd tout pratiquement". Là, il y a une lumière qui pointe au bout du tunnel», a soutenu le député de la région et ministre du Développement international, Christian Paradis, en point de presse dans la municipalité. De ce montant, 25 millions seront versés directement à Québec dans les prochains jours pour couvrir les frais d'intervention immédiats.

Un montant subséquent de 35 millions suivra au cours des prochaines semaines pour appuyer la remise en état et la reconstruction des infrastructures. Bureaucratie S'il a rejeté ces accusations, M. Bilan Site complet. Size of Lac Megantic oil spill remains a company secret. Zoom As flames soared above Lac-Mégantic, Que., in the early hours of July 6, the railway company whose train had jumped the tracks and exploded hours earlier made an urgent phone call to Cornwall, Ont. That’s where the emergency dispatcher for Ottawa-based oil clean-up specialist Eastern Canada Response Corporation (ECRC) is located.

Later that day, ECRC was on the scene in Lac-Mégantic, using a complicated array of technologies to remove oil from the Chaudière River, which feeds into the St. Lawrence. Since then, the company’s booms, vacuums, skimmers, and trucks have removed about 100,000 litres of oil from the Chaudière, according to an estimate by the Quebec environment minister. The minister has said that in weeks, if not days, the ecological danger to the river will have passed. But as light crude continues to shimmer on the river’s surface and dead fish slick with oil continue to be pulled ashore, the true size of the spill remains unknown.