background preloader

53

Facebook Twitter

Sans-papier, soins de santé, prévention et répression. Ce sont là quelques-unes des photographies capturées par le photographe français Olivier Jobard et exposées dans la salle des voyageurs de la Gare du Midi à Bruxelles dans le cadre d’une exposition organisée par l’ONG Médecins du Monde pour illustrer « les conditions d’accès aux soins des personnes sans autorisation de séjour » en Europe. Des photos sombres, poignantes, tristes, paisibles, misérables et finalement tellement humaines. Il y bossait depuis une bonne décennie et voilà qu'il a bouclé la sauce pour venir l'étaler en pleine gare internationale de Bruxelles. « J’ai commencé en 2000 à faire des photos sur l’immigration, c’était au centre Sangatte en France, c’est là que j’ai été sensibilisé à cette problématique. Ensuite, Médecins du Monde a fait appel à moi pour travailler sur l’exposition Exit, Exit ? Peur d’aller à l’hôpital Des chiffres alarmants Contributeurs nets au système Plusieurs services de contrôle et des experts judiciaires se sont plaints aussi : pour les criminels.

Nous sommes tous les casseurs de cette société. Photo par Fabien Lamotte et Pierre-Jean Lamy Cette semaine, nous vous offrons une revue sur le camouflage. On ne va pas parler de mode ou de déco, mais du fait que le devoir de camouflage se fait sentir, parfois de façon assez insidieuse. Effacer son corps, ses idées, son genre, essayer de disparaître pour ne pas être ostracisé.e.s. Dans cette revue, on parle de l'école, des trans, des femmes, mais aussi de cette nouvelle série télé à laquelle on est déja accro, comme antidote à ce camouflage forcé... ♫ Transamazonia Homophobie : à l'école de l'impunité par Arnaud Alessandrin & Yves Raibaud - Lundi 10 mars 2014 Dans ce billet, nous souhaitons revenir sur les polémiques qui, depuis la rentrée scolaire 2013, font considérablement régresser l’idée d’une lutte forte et globale contre les discriminations à l’école.

[Lire la suite] Les Continuités du soin, ou le risque de la communauté par William Caroline - Dimanche 09 mars 2014 Nous nous racontons tellement d'histoires en baisant. [Lire la suite] Pays de vioques. Mais les vieux dont je parle sont ceux qui sont encore plus vieux, les séniors, les retraités. Ce sont des personnes angoissées par nature. C'est normal, elles voient la mort s’approcher. Les personnes âgées parlent de médicament et de nourriture, et c’est tout. Ils sont en France, mais ils vivent déjà comme en Floride. Une classe politique de vieux La classe politique est vieille, les médias dans leur ensemble sont vieux car achetés par des vieux, et tous refusent de partir, par pur égoïsme, par cupidité, ou par jem'enfoutisme de l’intérêt commun.

Nous voulons des jeunes. La place aux jeunes Il y a quelques années, je suis allé à Bilbao pour le premier mai, j’ai manifesté avec les Basques et quelques amis m‘ont amené au banquet annuel du syndicat ELA (Euskal Sindikatua) dans l’immense Palais des congrès de la ville. Déjà, le garçon qui avait organisé tous les bus en partance de Bayonne et du pays Basque français avait à peine 20 ans. Une vieillesse mal pensée Les vieux sont au pouvoir. “Nous étions entourés d’hommes en noir, capuche et écharpe leur servant à se couvrir le visage”… Alors lisons… Comme des millions de français, je suis allé manifester le samedi 16 octobre en compagnies de trois amis.

Après avoir rejoint le cortège à Bastille, nous nous somme dirigés en compagnie de la foule compacte vers Nation. Dans la rue, l’ambiance était bon enfant, familiale et la présence policière se faisait à peine remarquer. Arrivés Place de la Nation, les appels à la dispersion se sont multipliés et nous avons décidés de rester là un moment, à chanter, en mangeant un “frites-merguez” avec les chars immobilisé.

Nous n’étions pas pressés. Une trentaine de minutes plus tard, nous avons vu une banderole qui faisait deux fois le tour de la Place, entrainant dans son sillage au moins trois cents personnes. Ce jour là, j’étais particulièrement remonté. Ce samedi, j’ai tout de suite senti que c’était différent. C’est à ce moment là que ça a commencé à dégénérer. Ndgb Il s’agit de cette vidéo… Sur le moment, c’est allé super vite et j’ai arrêté de me poser des questions. Minorités. Photo par Fabien Lamotte et Pierre-Jean Lamy.

Alors qu'en général on n'aime pas trop réagir à chaud à l'actualité, là nous n'avons pas résisté: le monde entier suit les grèves en France, le désir de baston des CRS et le tabassage de jeunes par la police —politique, désormais— de notre très cher Président, et surtout le silence assourdissant de la gauche. La plupart des médias étrangers reprennent sans aucun recul la fable des Français paresseux qui ne veulent pas travailler et des jeunes vauriens qui détruisent « la propriété privée », et pourtant dans les commentaires on peut lire régulièrement des réactions du genre « les Français font ce qu'on n'ose pas faire ! » Un pays qui frappe ses jeunes est mal barré, mais le revers de la vieillesse, c'est que la mort n'est jamais loin.

La question est donc: quels seront les dégâts d'ici là ? Pays de vioques par Didier Lestrade - Dimanche 24 octobre 2010 La France est un pays de vieux. [Lire la suite] par Mehmet Koksal - Lundi 25 octobre 2010.