background preloader

35

Facebook Twitter

TCA: Alan Ball: ‘True Blood’ is not a metaphor for gay people | Show Tracker | Los Angeles Times. HBO’s next drama, “True Blood,” is based on the Charlaine Harris series of books set in the backwoods of Louisiana, in a world where vampires and humans co-exist but vampires are treated as outcasts. When asked if vampires stood in for some underlying message about gay rights, executive producer Alan Ball told reporters Thursday afternoon at the TV press tour no. “I really don’t look at the vampire as a metaphor for gays,” he said.

“For me, part of the fun of this whole series is that it’s about vampires, so it’s not that serious," he said. "However, they do work as a metaphor for gays . . . for anyone that’s misunderstood. At the same time it’s not a metaphor at all. " Ball said he didn't come to the project as a vampire enthusiast. So he took pains to ground his vamps in the real world. “We went to great pains to depict the fangs," Ball said. The center of the show is rooted in a romance between a young waitress and a rather old vampire. Yikes! --Denise Martin. Identité (homo)sexuelle, guerre des générations? Ainsi l'éducation du petit garçon consiste à en faire le contraire d'une fille: on lui interdit tous les jeux et apparats féminins, quand bien même l'enfant aurait une tendance naturelle à découvrir chaque chose, à s'approprier chaque chose.

On lui explique que les Barbie c'est pour les filles, les cheveux longs et les jupes aussi, les talons hauts et le maquillage, c'est pour les mamans (comprendre pour sa future femme). Pas pour lui, lui c'est les voitures et les jeux de baballe, le bricolage et les trucs de garçons, comme papa. Pour exprimer son attirance vers ces choses interdites (avec l'excitation et la honte qui en découlent de fait), l'enfant devenu adolescent n'aura pour seule possibilité que de s'intéresser de près à la gente féminine, s'y intéresser en tant que garçon déjà éduqué et formé en tant qu’homme-personne-différente, j'entends. Baballe vs poupée Pour l'enfant fille, c'est le même topo.

Clivage méta-sociétal homme / femme (Notre ?) Non au gay-tto ! Sexe, sang : les vampires ont-ils des droits? Oui, oui, oui, on a vu la même série : les scènes de cul incroyablement charnelles (et parfois frisant le grotesque); le mini-suspense sur l’identité du tueur; la romance passionnée entre Sookie, la blonde télépathe à l’accent bizarre: mi-cajun, mi-néo-zélandaise, et Bill le vampire assimilationniste névrosé; Lafayette le « thug » black gay, et résilient jusqu’à l’os, etc. Il y a tout ça. Mais la scène d’ouverture du pilote parle bien de politique. Un couple de gamins hétéros tout fraîchement sortis de leur springbreak débarque en 4X4 dans un supermarché du Bayou, et demande au caissier s’il sait où se procurer du sang de vampire, la nouvelle drogue à la mode. En arrière fond à la télévision, sur le plateau de l’émission Politically Incorrect, un représentant des vampires s’explique face à Bill Maher.

Retour entre les rayons du supermarché, le caissier vêtu de cuir et de bagues gothiques joue avec les nerfs du couple en se faisant passer pour un suceur de sang. Une série conservatrice ? Le sida, tout de suite ! Après vingt années pendant lesquelles nous nous sommes battus contre l’idée du « cancer gay », le concept réapparaît à nouveau. Merci le relapse et le bareback. Avec une petite différence.

Avant, le « sida gay », c’était un truc de blancs. Aujourd’hui, le « sida gay » est un truc de noirs. Une nouvelle étude publiée le 25 mars dernier montre qu’un homosexuel sur sept est séropositif dans la région de Washington, DC. C’est 14 fois plus que pour le reste de la population de l’Etat. Cette étude menée par l’Administration HIV/AIDS de Washington surveille depuis 2008 les hommes à la gym, dans les bars et les clubs. Se faire dépister 2 fois par an ? Oui, vous avez bien lu.

Après tout, cette montée des résistances aux ARV n’est pas nouvelle. On arrive au sujet Pour ceux qui ne le savent pas, ou qui l’auraient oublié, dans le sida, la tendance thérapeutique est de traiter fort, le plus tôt possible. Mais, hey, les antirétroviraux sont beaucoup moins toxiques de nos jours. La START war Tous ? Minorités. Photo : Fabien Lamotte et Pierre-Jean Lamy. Le sida, tout de suite! Par Didier Lestrade - Jeudi 06 mai 2010 Parfois, je ferme ma gueule sur le sida pendant un mois ou deux, pour voir ce qui se passe.

Après avoir somnolé durant tout le Sidaction 2010, mortel d’ennui (non, en fait, je crois bien avoir dormi, merci), je me suis dit que ça serait bien d’annoncer des news plus intéressantes. [Lire la suite] Sexe, sang : les vampires ont-ils des droits? Par Richard Mèmeteau - Samedi 08 mai 2010 L’avantage des séries (et pour l’instant, massivement, des séries américaines) est qu’elles sont toujours à petite échelle des laboratoires théoriques, où l’on teste la solidité des choix des personnages, épisode après épisode. [Lire la suite] Identité (homo)sexuelle, guerre des générations? Par Mike Nietomertz - Samedi 08 mai 2010 L’identité sexuelle (du genre / sexuée) c’est la référence extérieure (vue par les autres) du genre de son sexe génétique, au choix limité femme / homme. [Lire la suite]