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Entrepreneur, êtes-vous visionnaire. L’entrepreneur est essentiellement un visionnaire. Il peut visualiser une chose et, ce faisant, il voit comment la faire arriver. [Robert L. Schwartz] Lors d’un précédant article, nous avons vu ensemble que l’entrepreneur était en fait, pas seulement un créateur d’entreprise, mais aussi une personne qui partageait un état d’esprit et des soft skills (dites « compétences douces ») : - Vision - Audace - Énergie - Accomplissement Etes-vous vous aussi d’accord qu’un entrepreneur doit être visionnaire ? Reprenons l’exemple de la demoiselle qui crée une association d’aide à l’insertion de personnes en difficultés, de personnes dépendantes entre autre (nous avons pris cet exemple dans mon précédent article). Mais encore plus ! Devenir ou être visionnaire ? Nait-on ou devient-on visionnaire ? Mais comment ? Voici quelques petits exercices qui pourraient vous aider à développer votre aptitude de visionnaire. Quelques astuces pour développer votre vision Connaissez-vous les 5 « pourquoi » ?

Pourquoi ? Auto-entrepreneur, avantages et inconvénients. L’auto-entrepreneur, régime créé en 2009, c’est plus de 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires cumulé et plus de 600 millions euros de recettes fiscales. Assez positif comme bilan. Ce régime a été mis en vedette fin 2011 dans le rapport de McKinsey&Company publié lors du G20 YES (Young Entrepreneur Summit) comme un atout majeur pour la promotion de l’entrepreneuriat et c’est la mesure du quinquennat Sarkozy que les Français préfèrent (à 73%). Tout a été dit ou presque sur ce régime mais quelle est la réalité ? Les points positifs - L’inscription et la dissolution de l’entreprise se font très simplement, directement sur internet. - Il n’y a pas d’immatriculation au Registre national du Commerce et des Sociétés (RCS) ou au Registre des Métiers. - Le chiffre d’affaires se déclare très simplement en ligne, de façon mensuelle ou trimestrielle. - La comptabilité est réduite au minimum : un livre de recettes, un livre de dépenses et pas de déclaration de TVA.

Les points négatifs. 400 (nouveaux) programmes d'entrepreneuriat. Bonne nouvelle : depuis le début des années 2000, les programmes de sensibilisation, les formations diplomantes et les premières structures d'incubation ont explosé au sein des établissements d'enseignement supérieur. L'OPPE en recense 450 en 2011. 9 sur dix n'existaient pas en 2001 ! Cet Observatoire des pratiques pédagogiques en entrepreneuriat (OPPE) fête ses dix ans ce premier décembre. Mission actuelle :mutualiser les échanges autour des pédagogies entrepreneuriales au service des établissements, des enseignants, des étudiants et des réseaux d'accompagnelment à la création d'entreprise. Sur les 450 programmes recensés, 9 sur dix ont vu le jour après 2001. La bulle internet a au moins eu un mérite : développer l'intérêt des étudiants pour l'entrepreneuriat ! "Depuis trois ans, le type d'établissement est de moins en moins discriminant en matière d'offres de programmes", note l'étude réalisée par l'APCE.

Temps de travail des chefs d'entreprise. "Le dirigeant est le premier capital immatériel de l'entreprise. " Or, poursuit Michel Meunier, président du Centre des jeunes dirigeants (CJD), la question de la santé des dirigeants est souvent reléguée au second plan, et la réponse : " je n'ai pas le temps d'être malade " a été entendue des milliers de fois. Le sujet est pourtant aussi important que celui de la santé des salariés, plus particulièrement dans les petites structures. Car lorsque le chef d'entreprise est 'défaillant', les répercussions sur l'activité sont décuplées...

Pour aborder cet épineux problème, le groupe de protection sociale Malakoff Médéric, l'Observatoire Amarok et le CJD ont lancé une expérimentation commune (en trois temps) *, destinée à repenser et développer les pratiques de santé préventive dans les TPE/PME. Malgré le contexte incertain et la charge de travail...Selon l'étude, 66 % des patrons travaillent plus de 50 heures par semaine, et 57 % travaillent au moins 6 jours par semaine. ... Femme Entrepreneur de l’année 2011. La deuxième édition du concours Femme Entrepreneur de l’année est déjà enclenchée. Huit femmes entrepreneurs ont été présélectionnées, en attendant la grande soirée de remise des prix le 10 novembre prochain. Elles brillent chacune dans leur domaine respectif. Leur point commun : l’entreprenariat. Zulaika Sunthbocus, Margaret Pan Sin, Ashni Nandee, Carole Blatch, Sophia Mahon, Alexandra Schaub, Anju Hawoldar et Shameema Ayoob Cassim ont été présélectionnées pour la deuxième édition du concours Femme Entrepreneur de l’année.

Cette initiative de Visa, société mondiale de technologie de paiement et du magazine Essentielle, a pour but de valoriser et de reconnaître les femmes entrepreneurs qui ont réussi dans leur approche. Au total, plus d’une quinzaine de dossiers ont été reçus et ce sont les noms mentionnés plus haut qui ont été retenus. En attendant de découvrir le profil de chaque candidate dans le magazine mensuel Essentielle, présentation de chacune des huit présélectionnées. 1. 2. 3. 4. 5.

Perception des entrepreneurs. Dans l’esprit des Français, les premiers termes associés à la création-reprise d’entreprise sont encore et toujours l’épanouissement personnel (43 %), immédiatement associé aux notions d’autonomie et d’indépendance que sous-entend l’expression “être son propre patron” (42 %).

C'est ce qui ressort du premier baromètre(1) de l’envie d’entreprendre des Français créé par l’association Créativallée, sous son programme Donner envie d’entreprendre avec le groupe Humanis, le Conseil national supérieur du notariat, Netco Group, le Réseau Entreprendre et la Fondation Entreprendre. Les résultats, publiés le 8 novembre, font également état de représentations négatives classiques : complications financières et juridiques figurent en bas de classement (10 %).

Les freins à la création/reprise d’entreprise Le manque d’intérêt pour l'entreprise et l’absence avouée d’esprit entrepreneurial atteignent ensemble plus d’un tiers des réponses (36 %). I love startups.