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Megaupload

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Kim Dotcom dévoile les premières images de Mega. 01net le 10/12/12 à 12h17 C’est devenu un rendez-vous. Cette semaine, Kim Dotcom a encore tweeté à propos de Mega, son service de partage qui, à la différence de Megaupload, ne devrait pas le conduire au bagne puisque chaque abonné sera responsable de ce qu’il y dépose et partage.

S’approchant du lancement de Mega, qui doit avoir lieu le 19 janvier 2013, Kim Dotcom a dévoilé les premières images de son service. Si ce message s’adresse à de futurs « clients », il est surtout destiné aux autorités américaines et aux sociétés de production. Cette date n'a pas été choisie au hasard puisqu’il s’agira du premier anniversaire de l’assaut donné par le FBI et qui a conduit à la fermeture de Megauplaod et au début de ses déboires judiciaires. Mega est en phase de test L’une des images représente la page d’accueil du site avec un formulaire de création de compte.

Du côté de la justice américaine, cette opération de communication n’a fait l’objet d’aucun commentaire. Mega, le nouveau Megaupload, pourrait être le cauchemar d’Hollywood. 01net. le 19/10/12 à 07h47 Dans une interview exclusive à Wired, et après avoir commencé à en dévoiler les contours en août 2012, Kim Dotcom est allé dans le détail de ce qui sera son prochain service, le nouveau Megaupload. Il s’appellera Mega, ou en tout cas, c’est comme ça qu’il est nommé pour l’instant, comme on raccourcit le nom de quelqu’un qu’on aime bien. Chiffrement des documents Il reposera sur un triptyque : résoudre la question de la fiabilité des services de stockage dans le nuage, renforcer les droits à la vie privée des utilisateurs sur Internet et leur fournir un nouveau outil simple d’utilisation.

Et Kim Dotcom d’aller davantage dans le détail, pour répondre de manière anticipée à une des critiques récurrentes qui voudrait que Mega ne soit que la version adaptée aux contraintes légales de Megaupload. Avertissement du FBI en page d'accueil du domaine Megaupload.com Indéchiffrable Redondance et ouverture Et pour la question de fiabilité des serveurs ? Daté d'août 2012. Megaupload. The company's founder, Kim Dotcom, has denied any wrongdoing, and the case against Dotcom, who is a resident of New Zealand, has been the subject of controversy over its legality.[5] The US judge handling the case has expressed doubts about whether the case will come to court.[6] Company and services[edit] The company's registered office was in Room 1204, on the 12th floor of the Shanghai Industrial Investment Building in Wan Chai, Hong Kong.[9][10] The company web services included: (a) Megaupload.com, a one-click hosting service; (b) Megapix.com, an image hosting; (c) Megavideo.com and Megalive.com, video hosting services; (d) Megabox.com, a music hosting service.

Other services included Megaclick, Megafund, Megakey and Megapay, all of which were advertisement and financial services. Two additional services, Megabackup and Megamovie, were in development before their closure.[11] Statistics[edit] Software[edit] Mega Manager[edit] Mega Manager screenshot Megakey[edit] Megabox[edit] Filebox[edit] Dotcom. Megaupload used a freemium model which made it affordable for individuals and small businesses to use and "try out" the Internet cloud technology and only pay if they desired faster bandwidth and more robust storage.

Megaupload's free cloud storage services were innovative, robust, and generous. Megaupload had a copyright agnostic user rewards program limited to, amongst other things, small files under 100 MB - to help introduce users to the cloud storage service. The rewards program did not promote copyright infringement and the small file size limit was a strong deterrent against program misuse.

The amounts paid out were small and when the program was discontinued many months before the US action, it had no material effect on site traffic or revenue. Allegations made by the US that Megaupload did not have significant capabilities to store private content long term are false. Etude : le piratage sur Megaupload profitait à l’industrie du cinéma. 01net. le 26/11/12 à 13h02 Si la plupart des études universitaires ou privées démontrent que l’industrie du cinéma souffre beaucoup du piratage et du partage de fichiers illégaux, certains travaux essaient d’aborder la situation sous un autre angle, démontrant que la population de « pirates » est majoritairement constituée de gros consommateurs de biens culturels.

Ils piratent donc ce qu’ils ne pourraient pas acheter ou se servent des plates-formes de téléchargement comme d’un moyen de découvrir de nouveaux produits culturels. Effets bénéfiques de Megaupload Une étude menée par deux chercheurs, l’un de la Munich School of Management et l’autre de la Copenhagen Business School, tend à dessiner une troisième voie. Après avoir surveillé les sorties en salle de 1 344 films, dans 49 pays pendant plus de cinq ans, les deux chercheurs sont arrivés à des conclusions intéressantes. Le piratage, un porte-voix Repenser les modèles ? Affaire Megaupload, vers un abandon des charges contre Kim Dotcom ?

01net. le 26/11/12 à 10h39 Après la perquisition chez Kim Dotcom jugée illégale, l’affaire Megaupload n’a pas fini de révéler de nombreux dérapages, et pas forcément du côté des accusés. Dernier rebondissement en date, le FBI aurait piégé Kim Dotcom pour le faire tomber, lui et son service dans le cloud. Le FBI mal intentionné Ainsi, en 2010, dans le cadre d’une enquête sur un site Web, nommé NinjaVideo, qui stockait des films pirates sur Megaupload, 39 fichiers ont été identifiés violant les droits de la propriété intellectuelle. Alerté par le FBI de l’existence de ces fichiers, Megaupload s’est proposé de les effacer. Mais selon Kim Dotcom, dont les propos sont rapportés par le New Zealand Herald, « nous avons été informés (par le gouvernement américain) que nous ne devions pas interférer avec l’enquête en cours. Super jackpot pour Kim Dotcom Cette nouvelle information est devenue disponible depuis qu’une partie des documents officiels a été ouverte à la consultation.

De bonne foi. La fermeture de Megaupolad a fait baisser le box-office mondial. D’après une étude menée conjointement par l’école de gestion de Munich et l’école de commerce de Copenhague, la fermeture de MegaUpload le 19 janvier dernier aurait entraîné une baisse du box-office mondial. L’étude porte sur les données de 1344 films dans 49 pays, sortis entre juillet 2007, lors de la mise en ligne de MegaVideo, et août 2012. Si elle souligne l’impact positif de l’opération pour les principaux blockbusters sortis dans plus de 500 salles, elle constate également l’affaiblissement de la plupart des films au box-office depuis janvier. « Dans tous les cas, nous avons découvert que la fermeture a eu un effet négatif, bien que parfois insignifiant, sur les revenus du box-office », affirme l’étude. Un résultat qui s’expliquerait par un bouche à oreille plus faible pour les films les moins visibles : « Le partage de fichiers agit comme un mécanisme permettant de diffuser des informations ».