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MegaUpload: What Made It a Rogue Site Worthy of Destruction? Yesterday a massive operation took down MegaUpload, one of the world’s leading file-storage services and one of the world’s biggest sites, period.

MegaUpload: What Made It a Rogue Site Worthy of Destruction?

While the timing came as a huge post-SOPA protest surprise, the fact the site was targeted was not – for many months there have been rumblings behind the scenes that something might be “done” about MegaUpload. Nevertheless, the manner in which the action was taken and the language used by the authorities in doing so was utterly unprecedented. So the key question this morning is this – What made MegaUpload a rogue site which deserved to be completely dismantled and its key staff arrested? The answers lie in the 72-page indictment and show just how the authorities (with the massive assistance of the MPAA, no doubt) framed Mega’s activities in such a way as to strip it of any protection under the DMCA.

In the U.S., online service providers are eligible for safe harbor under the DMCA from copyright infringement suits by meeting certain criteria. High-Tech : «Le système Megaupload alimente des petites mafias» Megaupload: Bruxelles dénonce les actions de la justice américaine. Le site Megaupload, avant sa fermeture. - La commissaire européenne en charge des nouvelles technologies Neelie Kroes a jugé vendredi «mauvais» les projets de loi antipiratage aux États-Unis et la décision de fermer Megaupload.com, la plateforme controversée de téléchargement direct sur l'internet.

Megaupload: Bruxelles dénonce les actions de la justice américaine

«Nous n'avons pas besoin d'une mauvaise législation mais plutôt de protections pour un réseau ouvert», a-t-elle affirmé dans un message sur son compte Twitter en référence au SOPA, le projet de loi antipiratage en discussion aux États-Unis pour renforcer la protection des droits d'auteurs. «La réglementation sur l'internet doit être efficace, proportionnée et préserver les bénéfices d'un réseau ouvert», a-t-elle estimé dans un second message en réaction à la fermeture de Megaupload. «Les excès de vitesse sont illégaux, mais on ne place pas des ralentisseurs sur une autoroute», a-t-elle commenté dans un troisième message. La coupure de Megaupload.com illustre la mainmise américaine sur internet. La fermeture par le FBI du site Megaupload.com remet en lumière la main-mise des autorités américaines sur la gouvernance du Net et et le fait qu'elles peuvent, sur injonction de leur justice nationale, désactiver en deux minutes n'importe lequel des 95 millions de sites en .com.

La coupure de Megaupload.com illustre la mainmise américaine sur internet

Accusée de violation des droits d'auteur, la plateforme emblématique et controversée du téléchargement direct ou en streaming a été désactivée jeudi soir et des serveurs informatiques hébergeant des données liées à son fonctionnement ont été saisis. «S'attaquer à des serveurs hébergés dans plusieurs pays équivaut à couper la tête à une hydre. Mais intervenir sur un nom de domaine, c'est taper au coeur du dispositif névralgique», explique à l'AFP Loïc Damilaville, directeur général adjoint de l'Association française pour le nommage internet en coopération (Afnic), l'office d'enregistrement officiel du .fr. MegaUpload.com fermé par le FBI pour violation des droits d'auteur. Le site est accusé de violation des droits d'auteur.

MegaUpload.com fermé par le FBI pour violation des droits d'auteur

MegaUpload et l'ensemble des sites de son réseau ont été fermés jeudi soir par le FBI et le ministère de la Justice américain. La police fédérale américaine a aussi arrêté 4 suspects en Nouvelle-Zélande dont le fondateur du site de téléchargements gratuits, un Allemand surnommé Kim Dotcom. Considéré comme l'un des plus grands sites de téléchargement de fichiers au monde, MegaUpload est accusé par les autorités américaines d'enfreindre les lois sur la protection des droits d'auteur.

Cette fraude représenterait un manque à gagner de 500 millions de dollars pour les ayant-droit selon les enquêteurs. Le dossier accablant du procureur contre MegaUpload. L'opération aura pris un an à être montée.

Le dossier accablant du procureur contre MegaUpload

Jeudi, 76 officiers de la police de Nouvelle-Zélande assistés de quatre agents du FBI ont procédé à 6h30 du matin à l'arrestation de Kim Dotcom, le fondateur et dirigeant de l'empire Mega, qui s'est soudainement écroulé. Sa demande de remise en liberté sous caution a été rejetée, et l'homme doit désormais attendre le verdict de la justice néozélandaise sur sa probable extradition vers les Etats-Unis. Comme l'a décidé le Grand Jury du tribunal d'Alexandria, en Virginie, il y sera jugé pour de multiples chefs d'accusation et risque jusqu'à 60 ans de prison par le jeu du cumul des peines. La lecture des 72 pages de l'acte d'accusation (ci-dessous) révèle que les enquêteurs ont eu accès aux e-mails des dirigeants de MegaUpload et aux mouvements financiers sur pas moins de 64 comptes bancaires saisis par les autorités. Le FBI fait fermer Megaupload, son fondateur inculpé. De notre correspondant à Los Angeles >> Pour la riposte du collectif Anonymous, c'est à lire ici.

Le FBI fait fermer Megaupload, son fondateur inculpé

La justice américaine ferme Megaupload ! Megaupload, l’un des plus gros sites de partage de fichiers a été fermé par le gouvernement américain après que son créateur ait été accusé d’avoir enfreint les lois sur le copyright.

La justice américaine ferme Megaupload !

Le FBI a accusé le site d’avoir coûté aux ayant droits des artistes plus de 500 millions de dollars en revenus. De son côté le géant du partage de fichiers assure avoir été coopératif et avoir répondu à toutes les plaintes concernant les fichiers piratés. D’après le Wall Street Journal, il n’y aurait aucun lien entre cette fermeture et la récente mobilisation contre les lois visant combattre le piratage de contenus (SOPA) qui ont généré une grande polémique outre-atlantique et ailleurs. La justice américaine ferme le site de téléchargement Megaupload.

Le FBI ferme le site Megaupload. Megaupload : "Nous ne sommes pas un site pirate, seulement un prestataire de services" - - Le Nouvel Observateur. Megaupload, simple site de stockage en ligne, est devenue en quelques années une vaste nébuleuse sur internet.

Megaupload : "Nous ne sommes pas un site pirate, seulement un prestataire de services" - - Le Nouvel Observateur

Dans sa récente publicité, le site affirme totaliser un milliard d'utilisateurs, soit 4% de l'internet mondial. Un chiffre astronomique. De quoi en faire l'un des sites les plus visités au monde, tandis que Megaupload multiplie les dérivés, dont le plus célèbre Megavidéo, site de streaming de vidéos. Les détracteurs accusent la galaxie "Mega" d'être fondée sur le téléchargement illégal et d'engranger des centaines de millions d'euros de profit. Faux, "nous sommes seulement un service de stockage en ligne, simplement basée à Hong Kong ", rétorque-t-on. Megaupload, Sopa, etc. Le site de partage de fichiers sur Internet, Megaupload, 13e site le plus visité au monde, a été fermé par le FBI et 7 personnes employées risquent jusqu’à 60 ans de prison (oui oui, vous avez bien lu).

Megaupload, Sopa, etc.

Le site Megaupload (désormais, il existe de nombreux sites similaires déjà largement utilisés) est basé à Hong Kong mais possède également des serveurs aux États-Unis et dans d’autres États. C’est pour cela que la légalité des arrestations du FBI partout dans le monde pose déjà question est a fait polémique quelques heures seulement après leurs interventions. Pour rappel, Megaupload (dont les créateurs ne sont pas exempts de critiques) permet à un internaute de mettre en ligne n’importe quel type de fichier dans la limite de 1 Go. Tout cela se fait dans le contexte de l’examen de la loi SOPA (Stop Online Piracy Act) au Congrès américain, considérée comme liberticide et dangereuse pour l’Internet libre.

Cette loi est scandaleuse et va encore plus loin que le dispositif Hadopi.