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Médiapart

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Comment Finance Watch monte en puissance. La suppléante de Balkany dénonce ses «avances» répétées. Grèce: le chantage de la BCE. La crise continue, la chasse aux coupables aussi! Le «bon bilan» d'Atomic Anne: une ardoise de 5 milliards. Graffiti: une mémoire en danger. Karim Boukercha, auteur de livres sur le graffiti (1) et scénariste, lance un appel sur Mediapart pour la sauvegarde des books de plusieurs graffeurs interpellés en 2002.

Graffiti: une mémoire en danger

Appel signé par les graffeurs Mode2, Rap, Azyle, Vices, Comer, Jay, Fuzi, et par Costa-Gavras, Antonio Seguí, Virginie Despentes, Vincent Cassel, Oxmo Puccino, Fabrice Bousteau, Michel Deguy, Maurice Olender... et déjà plus de 3500 signataires. Au début des années 2000, le commandant Merle, de la brigade des chemins de fer, lance de grandes enquêtes visant le milieu du graffiti «vandale»(trains, métros, voies de chemins de fer...). Investigations, recoupements d'informations, analyses de relais téléphoniques, écoutes et délations: en juin 2002, la brigade va démanteler une quinzaine de groupes très actifs (environ soixante personnes).Surpris par les moyens déployés pour leur arrestation, la majorité des interpellés va reconnaître les faits, être déférée et mise en examen à l'issue de leur garde à vue.

Musulman, mais pas trop. Le Samu social de Paris ferme ses portes aux femmes. Victime de restrictions budgétaires drastiques imposées par l'État, le seul centre d'hébergement d'urgence capable d'accueillir des femmes va fermer très prochainement.

Le Samu social de Paris ferme ses portes aux femmes

Julia Peker, bénévole au Samu social de Paris, tire la sonnette d'alarme. Le 30 juin 2011, le Samu social ferme le Centre d'hébergement d'urgence parisien Yves Garrel, qui accueillait 57 hommes et 38 femmes. Ces locaux extrêmement vétustes étaient mis à disposition par la Ville de Paris. En attendant la construction d'ici 4 ou 5 ans d'un nouveau centre, un bâtiment provisoire a été trouvé dans le XVème arrondissement pour accueillir les hommes. France Télécom: «Le harcèlement était organisé au plus haut niveau» En Grèce, le système PASOK est «en ruines»