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Google menace de pénaliser le référencement des "mauvais" e-commerçants. Le moteur de recherche a annoncé ne plus vouloir voir remonter dans ses résultats les e-commerçants suscitant une "mauvaise expérience".

Google menace de pénaliser le référencement des "mauvais" e-commerçants

Un changement d'algorithme dans ce sens pourrait intervenir dès cette année. Mauvais e-commerçants, tremblez : Google est sur le point de chasser les mauvaises boutiques en ligne de ses résultats. C'est ce qu'a annoncé Matt Cutts, responsable de la lutte antispam chez le moteur de Mountain View, lors d'une conférence qui s'est déroulée au SXSW. Il a même évoqué un lancement imminent de cette sanction. Répondant à un e-commerçants indigné de voir remonter "un mauvais e-commerçants" plus haut que lui dans les résultats, Matt Cutts a en effet affirmé que Google voulait changer cela, en prenant notamment en compte la qualité des commerces en ligne. Matt Cutts n'a cependant donné aucune précision sur ce qu'il entendait par "mauvaise expérience".

Les bad-buzz sont-ils inevitables sur les médias sociaux ? Internet est un carrefour synergique sans limites.

Les bad-buzz sont-ils inevitables sur les médias sociaux ?

Outil de partage, de recommandation et de sociabilisation, il joue un rôle d’informateur universel et de phare immuable, aiguillant les explorateurs du web vers des lieux très fréquentés, mais également vers des contrées peu arpentées… Face aux compteurs qui ne cessent de grimper, les entreprises tentent de plus en plus de faire parler d’elles pour jouir d’une partie de ce butin 2.0. Elles devinent que les médias sociaux représentent un levier indéniable pour générer du business. Alors elles tentent d’innover, de faire réagir et de surprendre, quitte même à se faire elle-même surprendre. Des maladresses, des fautes graves ou des silences pesants qui constituent désormais des composants sulfureux de la culture web.

Heureusement, une lecture est à conseiller pour ne plus avoir à rester immobile face à des études de cas “horrifiques”. Un ouvrage qui démontre que l’on peut anticiper et gérer les crises sur les médias sociaux. D’avance merci. Les critères d’un contenu facebookable. Crédit: Flickr/CC/dkalo Il y a les titres «Google friendly».

Les critères d’un contenu facebookable

Maintenant, il y a les contenus «facebookables». Encore un mot anglais que j’aurais pu ajouter au jargon des journalistes en ligne. Selon le dictionnaire urbain, cet adjectif signifie que le contenu vaut la peine d’être publié sur Facebook et peut générer de l’intérêt auprès des 500 millions de membres et quelques du réseau social. Alors que le réseau social de Mark Zuckerberg vient de lancer une page intitulée Journalists on Facebook, de la même façon que Twitter répertorie les meilleures pratiques journalistiques, il faut croire qu’il y a une audience, sur Facebook, intéressée par la consommation d’informations.

«Qui vous dit d’aller voir cet article?» Sauf que, d’après les expériences menées ici et là, les contenus d’informations ne vont pas tous de pair avec Facebook. Critère numéro 1 : Le contenu doit être visible dans le newsfeed de Facebook Le edge rank repose sur trois éléments: 1. Les contenus les plus partagés?